Avis Le Prisonnier (2009) - Page 3

Quelle deception....
Si on a pas vu l'original, je pene que personne ne peut rien comprendre.
Beau, mais c'est tout.........

Le business des remakes est un business juteux! Il consiste a utiliser la renommé et le succès d'une oeuvre passé pour se l'atribuer. Beaucoup s'y sont essayé et beaucoup se sont trompés (Mission impossible, karate kid, transformers, psycho....), encore une fois, le remake n'a pas su égaler le mythe de l'original. Malgré Ian McKellen (Gandalf, Magneto...), le film est extremement ennuyeux. Le rôle du numéro six est attribué à un américain, ce qui résume l'ambiance générale du film : américaine! La bande son, les décors, le village, la boule blanche, le numéro 2.... tout reste pas pâle! A l'image de the Office qui a été américanisé, la franchise a perdu son âme. Heuresement Patrick McGowan n'a pas vécu assez longtemps pour voir ses successeurs spoiler son chef doeuvre!

Bonjour
Série pas désagréable. On retrouve l'idée générale du "Prisonnier" avec quelques "mises à jours" de notre époque. La série se laisse regarder.
Seul regret qui laisse une impression de désagréable, limite dégout : la présence Ruth Wilson qui aurait pu être charmante s'il elle n'était pas afflubée de ces horribles lèvres de canard, résultat sans doute d'une chirurgie esthétique majestueusement ratée!

Certes il faut s'accrocher pour ne pas décrocher mais le final n'en est pas moin réussis ,Jim caviezel est super en num 6 et Ian Mckellen en num 2!

ça commence tellement bien, univers riche et hygiéniste, situation mystérieuse. Et finallement c'est comme les bonbons qui explosaient dans la bouche que l'on mangeait en étant enfant , on se rend compte qu'une fois la surprise passée , ça à vraiment mauvais gout . de plus les episodes sont aussi mous et lourds qu'un dessin animée en pate a modeler . Le Mechant de la serie est tellement mechant qu'il en devient caricatural . A recommander pour un public aimant les univers neurasthéniques..

Comme wesleybodin, la première chose qui m'a marqué c'est l'erreur de montage. La chemise noire devient rose puis bleu en l'espace de 20 secondes. Assez effarant et cela ne laisse rien présagé de bon.

Je ne suis qu'a second épisode de la série, et on ressent déja le manque d'action, de rythme de la série. J'espere que il y a bien des réponses à toute ces questions....

Je suis fan de la série... de Patrick Mc Goohan... mais pas de cette pseudo version 2009. J'ai vu le premier épisode et les dix premières minutes du deuxième de la version 2009. Cela ressemble à une banale série américaine. J'ai finalement arrêté de la regarder et sorti les dvd de celle des années 70. Y a pas photo, l'atmosphère y est cette fois ci. Bonjour chez vous !

Une série à l'esthétique très travaillée, comme peu de séries. Une histoire extraordinaire autour du pouvoir de l'esprit et du rêve.

En regardant cette série, je m'attendais à voir un remake de la vieille série Le Prisonnier, et je crois que c'est là qu'est l'erreur. Les points communs entre les deux séries se limitent au fait qu'un homme se retrouve dans un village ou tout le monde porte un numéro plutôt qu'un nom et qu'il cherche à s'échapper.
Ça aurait pu être pas mal si ça n'avait pas prétendu être un remake du Prisonnier.
Point négatif également pour les personnages principaux à la sensibilité exacerbée qui ne font que subir le scénario.

Cette série est un pur bijou et un remake intelligent.
C'est l'utopie à l'état pur: un Village parfait ou l'identité est réprimée (il n'y a pas de nom que des numéros), en dehors du temps et de l'espace. L'interprétation est parfaite, le tandem MacKellen/Caviezel fonctionne à merveille et les seconds rôles ont parfaitement trouvé leur place.
Mais le point le plus remarquable est sans aucun doute l'utilisation du spectre des tours jumelles et de la menace terroriste qui plane sans cesse.
Le final est égal à celui de la saison 1 de Fringe, et fait du Village un endroit presque idéal.

rien a voir avec l'ancienne série culte et la meilleure en fantastique, j'ai laissé tombé au bout de 3 épisodes, il m'a fallu du courage

le manque d'action globale et incroyable, le numéro 6 n'a même pas daigné se relever de sa tombe, il a bien fait

il y aurait trop a critiquer donc je me tais et vais revoir "le général"

bonjour chez vous

Une étoile pour le casting, les effets spéciaux, les décors, la photographie.
Malheureusement, les attentes suggérées par la bande-annonce de la série sont très en-dessous de ce que nous livre réellement le show.
En dépit d'avoir un univers accrocheur, des idées intéressantes, la mini-série de 6 épisodes ne restera pas dans les mémoires.
Ses créateurs étant incapable d'exploiter avec brio tous les atouts à leur disposition, livrant une série médiocre, n'arrivant jamais à développer un quelconque thème en profondeur malgré ses 6 heures de programmes...
On sent que les Américains sont encore à des années-lumières de maîtriser les notions de philosophies (la liberté, la relativité du libre-arbitre, la notion ambiguë de bien et de mal, la confrontation du désir et de son assouvissement, la possibilité d'un monde alternatif, la relation réalité/rêve, etc.) contrairement à certains réalisateurs japonais qui ont sût donner un réelle dimension à ces réflexions et les inclure brillamment dans leur récit (Anno pour ne citer que lui).
Cela reste de la philo de comptoir de bar, avec des explications floues, et un ending qui contredit tout le reste de la série.
Il manque une réelle intensité, de l'action, de l'humour, du vrai mystère, quelque chose de "concret".
Dommage car le schéma narratif des épisodes se répète jusqu'à la fin : Deux fourbi un plan contre Six qui essaye de le déjouer tout en apprenant un peu plus sur le Village...
"Tant pis" sera le mot qui vient à l'esprit et définit le mieux cette série.

J'ai toujours su que les séries anglaises étaient meilleures. Bref, un remake qui est plus qu'à la hauteur de mes attentes. La série originale était déjà vraiment très psychologique et poignante, là le suspens est toujours là mais avec les moyens techniques, la pureté de l'image, du coup 6 semble encore plus torturé avec un Jim Caviezel perdu, 2 est carrément génial avec un Ian McKellen bluffant et même 313 que je ne connaissais pas du tout semble aussi réelle que n'importe qui. Très bonne surprise aussi pour 11-12 :'). Une série qui vaut le détour :').

Après les excellentes Mad Men et Breaking Bad on pensait pouvoir faire confiance à AMC presque aveuglément à propos de The Prisoner dont l'annonce a fait un peu scandale chez les fans de la série originale de 1967. Je ne comparerai d'ailleurs pas cette nouvelle série avec celle de McGoohan, je préfère prendre The Prisoner pour ce qu'elle est surtout qu'elle n'a pas grand chose à voir avec son ainée. D'ailleurs c'est plutôt une mini-série car elle ne compte que 6 épisodes. Je commencerai par les points positifs et plus particulièrement par le casting où l'on retrouve Jim Caviezel et Ian McKellen respectivement dans le rôle de numéro 6 et de numéro 2. La photographie et les décors sont tout simplement magnifique, j'ai adoré l'ambiance qui s'en dégage et on comprend le total dépaysement de numéro 6 en arrivant au Village. Pour tout dire les 4 premiers épisodes sont vraiment très bons et restituent à merveille cette sensation d'enfermement et d'étouffement ainsi que l'impression d'être toujours espionné et ne n'avoir aucune emprise sur quoi que ce soit. On regrettera le manque de cohérence entre certaines scènes (on passe parfois d'une scène à l'autre sans vraiment comprendre le pourquoi du comment) et des flashs pas toujours bien placés mais ces 4 premiers épisodes sont globalement de qualité. Le fait que numéro 6 ne pose pas souvent les questions adéquates ou décisives qui lui permettraient d'en savoir plus frustre un peu cela dit, il n'est pas très curieux. Malgré cela on passe un bon moment même si tout s'enchaine trop vite sans prendre le temps d'approfondir les choses. Mais à partir de l'épisode 5 tout part en sucette. L'intrigue est confuse, les évènements s'enchainent sans que l'on comprenne vraiment où les scénaristes veulent en venir et donnent un résultat très brouillon. Le dénouement déçoit et ne remonte en rien le niveau global des épisodes 5 et 6, bien au contraire. Dommage il y avait du potentiel mais les scénaristes n'ont pas su bien l'exploiter.

La tâche de remettre au goût du jour la série "Le Prisonnier" créée par feu Patrick McGoohan était quasi impossible et l'intelligence de cette nouvelle série est de ne pas vouloir imiter l'originelle. Elle n'en reprend que les codes primordiaux et joue sur un tableau à la subjectivité enivrante. Cette subjectivité est à la fois le point fort de cette série (qui surnage au milieu d'une vague du tout commercial) et son principal point faible car nous sommes à deux doigts de penser que la chaîne a voulu faire "du compliqué pour faire du compliqué". Heureusement, les jeux du n°6 (Jim Caviezel,) et du fascinant n°2 (Ian McKellen) nous font apprécier l'esthétique de ce tableau et parvient à nous faire oublier un tant soit peu sa lourde subjectivité.