Si vous ne connaissez pas encore La Mélancolie de Haruhi Suzumiya alors ce coffret est une occasion en or de découvrir cette très sympathique série aux personnages attachants. S’adressant aussi bien aux garçons comme aux filles de tous les ages cette série lycéenne aux accents S.F. est remplie de mystère. Si tous les épisodes ne sont pas du même niveau, le film La Disparition de Haruhi Suzumiya devrait mettre tout le monde d’accord. Un véritable chef d’oeuvre de l’animation japonaise certainement pas assez connu qui arrive à nous captiver de bout en bout malgré une durée colossale de 2h43 qui vous rendra accroc à Haruhi et ses camarades. [lire la critique complète sur le site]
La première saison de La Mélancolie de Haruhi Suzumiya est un véritable Ovni. La série met en scène Haruhi une jeune fille autoritaire, solitaire et assez excentrique qui s'ennuie à mourir et aimerait que le monde recèle de choses paranormales et extraordinaires. Elle décide de monter un club et recrute sans le savoir un être psionique, une interface humanoïde et une voyageuse temporelle. Seul Kyon (en quelque sorte le personnage principal) est un étudiant normal sans capacité particulière. Il va devoir calmer comme il peut les excès de Haruhi. La série commence de façon tout à fait normale en s'emboitant dans un cadre réaliste. On suit la vie des étudiants dans un lycée, on fait la connaissance de Haruhi et on assiste à la fondation du club. Mais ça ce n'est qu'au début, tout vire très rapidement à la science fiction. Et c'est ce mélange qui surprend. L'ambiance est très ordinaire la plupart du temps et quelques évènements extraordinaires viennent ponctuer l'intrigue. C'est un peu déstabilisant au début mais on s'y fait très vite. Les personnages sont assez sympathiques et Haruhi nous offre des moments de franche rigolade lorsqu'elle maltraite Mikuru. J'aime beaucoup Kyon qui subit en permanence les délires du club et doit endurer bon nombre d'épreuves juste parce que Haruhi l'a choisi. L'ambiance est très agréable, visuellement c'est très beau et le tout sort assez de l'ordinaire. Malheureusement cette première saison manque de rythme et à quelques passages à vide. L'intrigue traine un peu en longueur du fait qu'on ne veut pas nous dévoiler trop de choses. Des épisodes ont ainsi peu d'utilité ou sont trop lents (le double épisode sur l'île par exemple). D'autres sont très fun (le concert, la bataille spatiale contre le club informatique, le petit ami disparu....). L'épisode qui présente le film amateur du club est quant à lui très amusant. Une introduction originale, colorée qui met de bonne humeur mais qui manque cependant de rythme.
Sans doute l'animé le plus original dans sa conception et dans sa chronologie, et de plus, une intrigue complètement folle et imprévisible qui alterne entre références et actions. Racontant la rencontre entre Kyon, l'ado le plus sceptique et le plus réaliste du monde, et Haruhi Suzumiya, la fille la plus extravagante qui puisse exister, mais de cette rencontre, il va découvrir que cette Haruhi n'est pas aussi folle qu'elle en a l'air et qu'elle est vraiment très spéciale..., un pur condensé d'humour, d'énergie et une sorte de joie de vivre contagieuse qui fait suivre la série jusqu'au bout avec le même plaisir et sans lassitude. Tous les personnages deviennent très vite attachants et détournent les codes classiques des personnages de manga, comme des caricatures simple mais très efficace, on les aiment tous au final ! Un animé original, créatif, a la narration folle et au contexte toujours imprévisible, que ce soit les situations ou les personnages.
Avant tout: Chara Design au top. Haruhi est une jeune fille jolie, mais surtout excentrique! Et c'est ce qui la rend encore plus attachante. Il se dégage, dans cette série au scénario très original et drôlement intriguant une fraîcheur et une bonne humeur agréable, dont seul les Japonais ont le secret (L'aspect comique prenant le dessus sur le mystérieux, ou s'y mêlant tout simplement) et aussi un ending (terme désignant les chansons de fins d'animés japonais) plûtot entrainant.Esperons que la saison 2 saura trouver son chemin dans l'Hexagone...
En fait, il n'y a pas de scenario dans cette série, juste un défilement de situation et de comportement exagéré au possible qui voudrait se faire passer pour de l’excentricité et de la créativité. Le "design character" est bon et la réalisation aussi, mais ça ne fait pas tout. La saison 02 est la pire.
alors je suis assez mitigé sur cet anime, en étant objectif j'aurai dit que c'est un anime avec une intrigue très intéressante mais mal exploitée avec des scènes prévisibles et répétitives, on peut noter surtout les 8 épisodes consécutifs qu'on a droit, est-ce un manque d'imagination où est-ce que l'auteur a voulu entreprendre un Moov spécial jamais vu dans d'autres animes, pour approfondir l'aspect de l'ennui et la routine ? En étant subjectif j'aurai dit, c'est un anime qui mérite son succès, avec des personnages attachants, et une intrigue vraiment originale, il est vraiment captivant, inoubliable à mes yeux car il fait partie des premiers anime que j'ai regardé, je ne tiens pas rigueur de l'aspect brouillon de l'histoire car ce n'est pas vraiment le but recherché. 4/5 est amplement mérité.
On dit beaucoup de chose sur l'originalité de cette série, mais c'est du flanc! Primo, c'est long, inintéressant, ça semble ne jamais vouloir démarrer malgré un premier épisode se moquant des sentaï façon vidéo amateur et plutôt drôle. Secondo, il n'y a aucune intrigue, aucun développement des personnages, la série sent la redite, et le formatage pour ado. Cette série broie un vide incroyable : Épisode 2 : en 20 minutes, Haruhi a eut l'idée de créer un club (de quoi?) et trouve une salle. Épisode 3 : elle se procure un ordi et enlève une bishojo (belle fille) pour la forcer à rejoindre son club. Difficile d'accrocher, en plus d'avoir un narrateur qui ne sait pas se faire oublier, vampirisant le show. À éviter.
Succès phénoménal mais aussi jolie réussite. Le premier attrait de la série vient de son beau character design et de son héroïne complètement frappée, mais tout en offrant au fan ce qu'il attend (un concert au festival culturel, des tenues cocasses...) la série aborde certains thèmes de façon sensible et assez inattendue. Le meilleur moment est pour moi après le concert, lorsqu'on découvre toute une facette du personnage d'Haruhi, étonnamment touchante (personnage tsundere certes, mais qui dépasse le simple cliché). Et finalement c'est elle qui nous renvoie le plus à nous même avec ses angoisses existentielles et son besoin d'être exceptionnelle, et pas le narrateur. La série n'est pas si drôle que cela et a parfois des coups de mou (les deux épisodes de l'île) mais en plus d'un ludisme évident, elle a vraiment quelque chose à dire sur l'adolescence et le monde.
En 2006 sort au Japon une série animée qui remporte tous les suffrages. Série hors norme, drôle, prenante et inventive, « la Mélancolie… » est destinée avant tout à un public qui n’est pas novice en matière d’animé japonais, tant les références sont nombreuses et la construction déroutante, mais les néophytes y trouveront leur compte. Les héros sont très attachants, l’animation est exemplaire, le générique de fin a fait le tour du monde et de nombreux fans reproduisent sur Internet la chorégraphie des héros ! Un pur moment de folie...
Un incontournable. Le manga est très originale (les épisodes ne sont pas dans l'ordre !), l'histoire est un vrai puzzle que l'ont reconstitue au fur et à mesure, les persos sont très attachant (j'adore Yuki). Quant à la qualité de l'animé, elle dépasse souvent de loin certain autre animé, pourtant bien plus populaire.
Cette série est une vrai perle que l'on trouve que trop rarement.