Avis Six Feet Under - Page 9

Excellente série, probablement une des meilleures. J'en ai pour une semaine à m'en remettre ^^…

Quel meilleur sujet pour parler de la vraie vie qu'une série qui tourne autour de la mort ??? Six Feet Under est une série furieusement originale dans ses scénarios comme dans sa réalisation et en même temps très réaliste.
De plus elle a le mérite de présenter de manière totalement non conventionnelle un tas de thèmes de sociétés ( la mort, le deuil, l'homosexualité d'un des héros principaux...)

Si on y ajoute un casting incroyable ( sans exception aucune malgré ma préférence pour Michael C Hall et Rachel Griffiths dans le rôle délicat de Brenda Chenowith ), on a surement l'une des plus séries qui regorge le plus de qualités...ah oui et le fameux générique tellement fabuleux !!!

Tendre, irrévérencieuse, délicate, brutale, vraie, sensible... Une série qui m'a profondément marquée de part ses acteurs ainsi que le sujet, manié d'une main de maître.

A l'heure actuelle la meilleure série. Je ne verrai plus jamais les pompes funèbres de la même façon. Le contact avec la mort n'est pas déprimant, il renforce au contraire cette idée que nous avons de la chance d'être en vie. Une série qui se finit en apothéose avec ce dernier épisode de la saison 5, ces dernières longues minutes sur la musique "Breathe Me" de Sia qui feraient pleurer n'importe qui..

Quand on voit une série comme SFU pour la première, l'on en sort dérouté, boulversé, choqué et troublé pendant un bon moment. Jamais une oeuvre audiovisuelle ne m'avait autant atteint au plus profond de mon être. Et pourquoi? Parce qu'elle parle sans tabou, de la vie et de la mort.
A l'écran, dès le première épisode, on comprend directement ue l'on a à faire à une série d'exception. Et cette impression, grâce au génie d'Allan Ball, ne nous quitte pas... Jusuqu'au dernier épisode. Et quel épisode, quel conclusion... J'en tremble encore et à chaque fois que je la regarde ( car je la regarde en boucle en ce moment) mon coeur bat la chamade. Je ne saurais réellement expliqué pourquoi... Ce qui est sûr, c'est que voir ces personnages magnifiquement interprétés tout simplement exister à travers chaque épisode, les voir naître, les voir mourrir... Jamais je n'aurais penser que cela me toucherai autant. eT JE CONCLUERAI en disant que Six feet under, nous parle sans arrêt de la mort pour faire, au final, une magnifique apologie de la vie.

Une série culte qui en seulement 5 saisons, s'est imposé parmi les meilleurs dramas de ces 20 dernières années. Les épisodes sont formidablement bien écrit et ne perdent pas en intensité, ni en profondeur au fil des saisons. Les acteurs sont fantastiques, avec pour ma part une préférence bien sur pour Michael C.Hall (avant Dexter), très "juste" dans son rôle et Peter Krause que j'ai découvert véritablement dans Six Feet Under. Une série incontournable et inimitable!

Six Feet Under : 18/20 : Six Feet Under, c'est avant tout l'histoire de la vie des membres d'une famille : La famille Fisher. Il faut dire qu'elle a une profession particulière : pompes funèbres. Mais Six Feet Under est avant tout une série avec de vrais personnages. Ceux ci pourraient très bien être des gens comme vous et moi. On arrive très facilement à s'identifier à eux et dès le début. On s'y attache et on a du mal à s'en séparer. Au cours des cinq saisons, vous prendrez conscience de la valeur de votre vie et vous apprendrez à l'apprécier. Aussi, vous apprendrez très vite le sens de l'expression "la vie ne tiens qu'à un fil". Les décès au débuts de chaque épisodes sont souvent loufoques. Parfois il nous dérangent, d'autres fois il nous font rire. Six Feet Under c'est le must de l'humour noir. Aujourd'hui encore, entendre les premières notes de piano de "Breathe Me", morceau accompagnant les dernières minutes de l'épisode final, me file des frissons...Cette série est vraiment unique en son genre. Alors qu'attendez-vous ? Plongez vous dedans !

Et voilà. Cette série a été créée il y a 10 ans et pourtant elle fait encore frémir des gens comme moi. Je viens de voir le dernier épisode et mon dieu... que dire ? L'une des séries les plus touchantes et abouties qui soit. Indéniablement LA série la plus réaliste qui soit.
Si vous recherchez du surnaturel, de l'action, des énigmes, du suspense, Six Feet Under n'est pas fait pour vous.
Mais si vous recherchez de l'authenticité, de la simplicité, une réflexion profonde et constante concernant la vie, la mort, le monde, les gens ou plutôt Votre vie, Votre mort, ... Regardez ce chef d’œuvre.
Peut être vous ennuierez vous à certains moments. Peut être n'y verrez vous pas un grand intérêt. Seulement, l'intérêt est là, à long terme, car cette série nous fait grandir de l'intérieur.
Et rares sont les séries à influencer pour de bon notre vision des choses.
Six Feet Under en est une.

Six Feet Under, l'une des séries phares du réseau HBO si ce n'est la série-phare, croule sous les critiques élogieuses et les mérite amplement. Le simple fait de s'intéresser à une famille dont le quotidien touche de près la mort est certes une idée saugrenue, mais originale qui promet des initiatives inconnues sur le petit écran. Certains épisodes nous confronte à des morts difficiles comme celle d'un nouveau-né comme d'autre morts enthousiasmantes (c'est-à-dire dans la tournure que l'enterrement prend) impliquant par exemple un biker; ces décès ne sont pas placés par pur hasard mais font écho à des problèmes cruciaux passés actuels ou passés des personnages principaux par lesquels ils se remettront alors en question, voire tomberont en dépression. Ne nous leurrons pas, sur cinq saisons, il y a bien évidemment certaines baisses de tension, mais Six Feet Under est le genre de série à regarder dans sa globalité pour être réellement appréciée, nous relevons tout de même certaines intrigues dénuées d'intérêt. Les acteurs, au-delà des nombreux guests comme Kathie Bates, Mena Suvari ou Richard Jenkins sont toute simplement prodigieux: Frances Conroy qui arrivé malgré un rôle difficile à imposer une grande palette d'émotions en toute subtilité, Michael C. Hall excelle dans son rôle de l'homosexuel tentant de s'affirmer dans une Amérique puritaine sans céder à la caricature ainsi que la ravissante et rayonnante Lauren Ambrose et le cabotin Freddy Rodriguez sans oublier les performances notables de Matthew St Patrick et Rachel Griffiths. Les interprétations qui ont surtout retenu mon attention sont celles de Peter Krause, personnage borné, qui s'acharne à vouloir mener la vie dont il rêve mais qui sera semée de nombreuses embuches et James Cromwell, touchant dans ce personnage pathétique qui me fit passer des rires aux pleurs. Nous notons en plus de cela, un final parfait concluant à merveille la série, nous laissant dans un sentiment de satisfaction complète et surtout aux sanglots. Alan Ball a su s'arrêter à temps, évitant ainsi les répétitions qui auraient fait crouler la série dans l'ennui; les personnages nous restent ainsi profondément gravés dans l'esprit. Une série remarquable pas parfaite, mais pas si loin non plus, qui aura, je dois bien être sincère marqué ma vie à jamais.

La série Six feet under (Six pieds sous terre) d'Alan Ball est un phénomène télévisuel sans précédent, digne du Prisonnier de Patrick McGoohan (1967). Pour commencer, les acteurs sont excellents: Peter Krause (Nathaniel Fisher), Michael C. Hall (David Fisher), Frances Conroy (Ruth Fisher), Lauren Ambrose (Claire Fisher), Rachel Griffiths (Brenda Chenowith), Jeremy Sisto (Billy Chenowith), Lili Taylor (Lisa Kimmel Fisher), James Cromwell (George Sibley) et bien d'autres... Si le synopsis ne paye pas de mine (le quotidien d'une famille de croque-morts), on était loin de se douter qu'il s'agirait d'un arrière-plan, lequel laisse la place à des thèmes majeurs qui sous-tendent la vie et la mort. Drôle, dramatique, émouvant, pathétique, noir, cynique, cette oeuvre composée de 5 saisons (pour 63 épisodes au total) est unique, et émerveille autant qu'elle nous ouvre les yeux sur ce qui importe dans la vie, sa simplicité, et son issue inexorable. Pas un épisode de trop, pas une scène qui lasse, un arrêt en plein succès, voilà de quoi est capable HBO. Rendons hommage aux scénaristes et aux réalisateurs (dont Alan Ball lui-même) qui se sont succédés à la tête de ce projet artistique hors du commun. Six feet under est un fleuve humanitaire qui joue habilement de ses notes pour nous transmettre des valeurs profondes et essentielles.

Vraiment une très bonne surprise!
Une série intelligente, qui parle de la mort sans tabou, elle sonne vrai.
De l'humour noir en somme, mais diablement efficace. On peut voir une dizaine d'épisodes sans se lasser!

Une série qui contient tout en matière de d'émotions. Des personnages marqués, que l'on voit réellement évoluer, qui se retrouvent face à des problèmes actuels. Des acteurs incroyables, qui tout en restant fidèles à leurs personnages savent toujours le réinventer. Puisqu'elle dure cinq saisons, elle n'a pas le temps de s'essoufler. Elle baigne dans une ambiance de dédramatisation de la mort tout à fait réconfortante. Le dernier épisode ouvre tout simplement sur la vie en général, un véritable envol.

Les séries HBO se démarquent de ce que l'on a l'habitude de voir, Six Feet Under ne déroge pas à la règle. Dans un environnement morbide quotidien, une famille se rattache à ce qu'il y a de meilleur. Sur 5 saisons, la quatrième reste en deçà des autres ce qui a surement précipité la fin de la série. Mais dans son ensemble, les interprétations sont excellentes et l'histoire très fournie. L'humour prend une place importante également et l'on devient réellement dépendant. Et la dernière saison, ainsi que le tout dernier épisode, s'avère être absolument magnifique.Indéniablement une série qui marquera l'histoire de la télévision...

Meileure série de tous les temps. Point.
A la ligne : Mention spéciale à Michael C. Hall qui joue David. Un des acteurs les plus talentueux de sa génération.

Un pilote formidable qui pose les bases d'une première saison étonnante et passionnante. Les intrigues sont très bien traitées et les acteurs impeccables. Ayant découvert Dexter avant Six Feet j'ai eu un peu de mal à m'adapter au personnage de David incarné par un Michael C. Hall aux antipodes de Dexter. Une première saison de grande qualité qui augure une suite prometteuse.