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Un visiteur
1,5
Publiée le 20 août 2017
Après deux saisons où l'univers semble prendre en cohérence, cette saison est une grosse déception. On aurait pu s'adapter au format si l'humour était bien présent, mais les personnages tombent dans la caricature d'eux-mêmes et passent leur temps à hurler. Très peu de profondeur d'ailleurs et un John de plus en plus enfantin. J'ai vu l'ensemble de la saison en esquissant seulement quelques sourires ; c'est là que ça coince avec une série humoristique. Seuls quelques héros sont au rdv : Capt'ain sport extrême, le seul à m'avoir fait rire ; Burt et Klaus m'ont touché. Bref, une déception énorme. Et puis quelque chose me dérange, on dirait que l'objectif était de se rapprocher de certains épisodes de Kaamelot, mais pas les meilleurs, ceux où tout le monde gueule, et ceux avec Méléagan, ceux que je n'ai pas aimé.
Une série "d'auteur", originale, débordante d’humour réalisée par Simon Astier, également scénariste et acteur. Cette saison nous propose 33 épisodes très couts de 5 à 7 minutes. Une saison 3, moins drôle que les précédentes, mais plus mystique, plus orientée vers l’aventure. Les dialogues sont toujours aussi savoureux. Dans cette saison découvrons de nouveaux personnages : Arnaud Tsamère dans le rôle de Capt. Sports Extrêmes et Stéphanette Martelet dans celui de Miss Moore la nouvelle gérante de HC. Nous retrouvons bien sur toute la bande de John, le super héro, qui cherche à maitriser ses pouvoirs. Nous découvrons enfin Laurence, l’invisible héros, en la personne de Didier Bénureau toujours aussi fantasque.
Un peu long à démarrer, le tout s'enflamme dans un dernier acte intelligent et profond. Manque une pointe de folie plus présente pour en faire une grande saison.
Après une saison 2 réussie, on retrouve nos "héros" après celle ci. Des personnages ont disparu sans trop d'explications, le scénario part en cacahuète et le nouveau format très court ne rend pas hommage à cette série. La saison 4 a débuté, en rectifiant le tir j'espère...
J’ai encore eu grand plaisir à me plonger dans cette histoire, des couples se forment et se brisent, les pouvoirs se développent, il y a de nouveaux costumes et ce qui m’a dérangé mais aussi intrigué c’est le comportement de John, beaucoup plus distant que sur les autres saisons ce qui m’a fait douter sur sa position de chouchou… Les effets spéciaux sans être digne d’un film américain sont largement correctes! Et pour finir une fin terrible qui, je l’espère, va s’arranger dans la saison 4!!
Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé. Saison 1 petit budget, beaucoup de bonne volonté, des blagues rigolotes. Bref la série sympa. Saison 2 : on capitalise, série rigolote aussi, plus de guests, l'humour est toujours là.
Et la saison 3 ? patatras, plus d'humour, on n'essaie même plus de faire rire. Le seul passage rigolo de toute la saison met en scène Jonathan Cohen, ultra drôle dans son rôle de Julien. Mais bon, ça dure 2-3 minutes pendant un seul épisode. Pendant tout le reste de la saison on assiste aux pseudo états d'âme du héros, plus une seule vanne, bref c'est devenu chiant comme la mort.
Et ça ne s'arrange pas pendant la saison 4, visiblement. A part deux ou trois passages avec le toujours drôle Jonathan Cohen, Je ne sais pas si je vais aller au bout tellement c'est pas drôle non plus.
Il faut changer le genre sur la page de la série, ce n'était une comédie que pendant les deux premières saisons. Les saisons 3 et 4 sont juste... sans intérêt. Alors si on retire l'humour d'une comédie, bin il reste la psychologie des personnages, et là, c'est du gratiné. Complètement inutile....
Si vous n'êtes pas d'accord, donnez moi les n° d'épisodes et le code temps où on rigole parce que les blagues, les vannes, les dialogues rigolos, les situations marrante, bin là je les vois plus...
C'est vraiment dommage, ça partait bien pendant les deux premières saisons...
[...]Pour les amateurs de la série et du genre, vous allez retrouver dans cette nouvelle saison, tous les ingrédients des saisons précédentes: humour Astier, situations improbables, dialogues poilants, paradoxe de genre. Les épisodes font en moyenne 7 min, les rendant faciles à suivre et à regarder. Le revers fait qu’il y a certain problème de montage rendant les liaisons entre certains épisodes difficiles; donnant un effet décousu entre certaines scènes. On sent également que la production a eu plus de budget. Comme remarqué entre la saison une et deux, de nouveaux effets visuels arrivent donnant du corps à la série. On reste sur quelque chose d’assez simple, loin des grosses productions Hollywoodiennes. La saison 3 reste un bon moment de détente est un très bon exemple de ce que sont les séries humoristiques françaises !
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