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Legion666
28 abonnés
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Critique de la série
5,0
Publiée le 31 décembre 2017
Une de mes séries cultes des 80's, 90's! Tous les épisodes ne sont pas du même niveau, certains sont devenu très kitch, d'autres par contre reste géniaux et d'actualité! La 3ème saison est vraiment au dessus du lot. Rien a voir avec les comédies du même nom sorties au cinéma, ici il y a parfois de l'humour (surtout avec Penhal) mais les sujets abordés sont la plupart du temps grave et traités de manière intelligente.
La série aurait du se terminer pendant qu'elle était encore intéressante, car ici chaque épisode fait clairement "épisode de trop" et est vraiment soporifique (même avec une bonne volonté sincère, je me suis endormie devant chacun des épisodes, immanquablement...). L'action est inexistante dans cette continuelle intrigue de "drogue et violence en milieu juvénile"... Presque pas de rebondissements hors intrigues (mise à part le neveu de Penhall, son frère qui débarque pour palier au départ de Ioki et Hanson...). Car, oui, le problème est surtout là : on ne retrouve plus du tout notre équipe adorée ! Depp s'en est allé à ses longs-métrages (il fallait bien qu'il décolle un jour, certes, mais la série aurait dû éviter de le remplacer par une myriades de "beaux gosses" qui ne font que passer...) et notre cher Ioki, dont on aurait aimé creuser encore l'histoire, n'est plus. Ne reste que Jodie, qui est la constante courageuse de chaque épisode ; de temps en temps le capitaine lorsqu'il manque de nostalgie dans l'épisode, et ponctuellement Penhall (ancien) qui vient faire coucou sous les rôles de professeurs de sport (car il ne passe plus pour un ado, c'est certain...). Même le générique est lassant avec cette succession de noms qui changent à chaque épisode en fonction des remplaçants trouvés au pied levé. Pas de final, pas d'adieu, on se moque du spectateur. La série est complètement morte il y a bien longtemps dans les saisons, déjà... Je resterai avec le souvenir d'une première saison déjantée et brillante, une bonne série à ses débuts qui termine comme un soap qui ne sait pas comment abréger nos souffrances...
Peut-être la meilleure saison avec la première (et la deuxième, jusqu'à un certain point) tant les épisodes sont bons ici. Fini le train-train ennuyeux de la saison 3, avec des acteurs qui semblaient ne plus y croire, ici on a droit à une folie ambiante délicieuse (l'épisode Vive les Vacances est hilarant), mais aussi à des histoires plus matures et dures (le viol de Judy qui est très avant-gardiste par rapport à notre société actuelle qui commence à peine à ouvrir les yeux sur ce crime ignoble, l'aventure tragique de Doug et de Martha, puis avec le pauvre Clavo... les intrigues intéressantes et soutenues fusent !). Johnny Depp semble savoir qu'il sera libéré à la fin de la saison, car il nous offre un jeu d'adieu très enthousiaste, qui nous fait oublier ses rôles placides de la saison 3, et nous fait souvent mourir de rire. L'un des épisodes que j'ai préféré est "Comment j'ai sauvé le sénateur", car la succession de points de vue narcissiques est hilarante, et pour quelqu'un qui adore les Chaplin/Lloyd/Keaton...l'historiette de Hanson est du pain-béni. Seul reproche à faire : vers le milieu de la saison, on a tenté de faire du remplissage : des épisodes transgressifs qui ne servent à rien (celui qui fait une embardée futuriste avec chaque membre vieilli qui raconte sa vie - que l'on connaît déjà, si l'on a suivi la série... - heureusement le bêtisier de fin d'épisode est drôle et nous donne un court aperçu des coulisses de cette série qui semble amusante à tourner !), ou même des vieux épisodes que l'on n'avait jamais réussi à caser dans les premières saisons (on le repère à l'ancien générique, et surtout au fait que Sal et l'équipe se découvrent mutuellement !). Quelques épisodes vous sont donc dispensables, mais en général, cette saison m'a beaucoup emballée, entre ses gags efficaces, ses intrigues passionnantes et ses histoires transversales qui marquent chaque personnage, un jeu d'acteurs plus entraînant que la saison précédente, et même des clins d'oeil à des films que j'apprécie énormément. Une belle sortie pour Depp et N'Guyen.
Régalée. De A à Z, la première saison de 21 Jump Street m'a offert un service délicieusement dynamique et déjanté comme on aimerait en voir davantage aujourd'hui. Je n'ai pas connu la série lors de sa diffusion et la découvre donc avec presque trente ans de retard...car mes parents ont adoré à l'époque, que je voulais redécouvrir Johnny Depp avant son statut de star internationale, et que comme les acteurs de la série, je suis sur mes 21 ans... Trois bonnes raisons qui m'ont poussées à voir une série dont le scénario est certes souvent résumé en une ligne, dont les scènes ne sont pas toujours très crédibles et dont les acteurs en sont à leurs débuts en terme de jeu... Mais qu'importe ! La fraîcheur, le côté "j'en foutre" adolescent qui file toute la série, l'action et les gags, les personnalités fortes des personnages et surtout un manque de moyen qui pousse à la créativité, tout ceci fait que l'on passe un moment génial devant 21 Jump Street ! Et ce générique... Impossible de s'en sortir... "Say Jump ! Down on Jump Street..."
Clairement je ne ressens plus l'esprit de la série 21 Jump Street des débuts, à la fois "dynamique et décontracté, sans prétentions", car ici on devient de plus en plus " série bankable qui ne fait que ce qui se vend bien "... Donc, le public aime les intrigues liées au trafic de drogue chez les jeunes, très bien, on ne fait plus que ça comme histoire... De même, le public veut des " beaux gosses" qui prennent la pose en gros plans ? Parfait ! On intègre définitivement le nouveau Dom Juan à l'équipe (Danny) et on ne demande plus que des regards ténébreux dans le vague aux acteurs... Tant pis pour ceux qui aimaient le côté "sans le sou et on ne se prend pas la tête avec" de la première saison, ici cela fait presque surfait et "bling-bling"... J'ai eu du mal à terminer la troisième saison, et me questionne sur le potentiel intérêt de la suite... Déçue par ce retournement de veste qui m'enlève la bande de jeunes dingues et mal fringués qui faisaient tout le charme de cette série au générique inoubliable... Qui a été remplacé ! Maintenant, on vous donne deux secondes pour lire le nom des acteurs avec des bruits de coups de feu sans arrêt... Vous avez dit " bling-bling" ?
La série commence à avoir des moyens, et cela se ressent sur la créativité... Sans être mauvaise du tout, on préfère largement la première saison à la seconde, car si les premiers épisodes de cette suite restent frais et inventifs dans leurs scénarios, les derniers sont assez redondants : une affaire de drogue chez les jeunes, les flics s'infiltrent dans le gang, ils se font pincer. Vous tenez là les trois quart des derniers épisodes... Le "pompom" restant surtout ces épisodes entiers qui ne servent à rien ! Par exemple, l'épisode "Saint Valentin" n'est qu'une succession de flashbacks amoureux de chaque membre de l'équipe ! Rien de plus...et je m'y suis donc bien ennuyée. Dommage car la série compte son lot de bons épisodes (celui avec l'adolescent séropositif m'a tiré une larme, certainement le meilleur de la seconde saison), et l'histoire secrète d'un des membres de l'équipe qui se dévoile va vous scotcher... Un grand dommage, car on sent peu à peu que la série devient "snob", c'est-à-dire perd en créativité et inventions d'intrigues au profit du " bankable" ou "ce qui se vend bien" en français (il n'y a qu'à voir l'arrivée du nouveau Danny, placé dans la série seulement pour faire des gros plans sur son faciès de beau gosses... Juste pour rivaliser de "beau profil" avec les mâles déjà présents...). Le début reste très sympathique, la fin moins.
Des Policiers en civils se fait passer pour des écoliers s'infiltrant dans des groupes de jeunes suspectaient de trafics, ou autre... Un générique et une musique excellent qui met la pèche. Une des séries cultes tantôt pour la générations des années 80' mais aussi par ses acteurs qui vous plait à tout point de vue.
« 21 Jump Street », la série, a marqué son époque en abordant des thèmes sociaux cruciaux à travers le prisme des jeunes policiers infiltrés dans des lycées. La série a été saluée pour son casting solide, avec notamment Johnny Depp, qui a catapulté sa carrière vers le succès mondial. L'exploration de sujets sensibles tels que la drogue, la violence, et la discrimination a permis à la série de se démarquer comme une émission qui ne craignait pas d'aborder des problématiques difficiles. Cependant, malgré son impact culturel significatif, « 21 Jump Street » n'est pas sans défauts : des dialogues parfois clichés et des épisodes qui tombaient dans le schéma typique des séries policières. De plus, le déclin de la série après le départ de certains acteurs principaux a perdus en attractivité. « 21 Jump Street » reste une série mémorable pour ceux, comme moi, qui l'ont suivie à l'époque, mais pour les nouveaux spectateurs, elle pourrait sembler datée. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Quel magnifique série c'était une vrai merveille un casting d'enfer des épisodes supers vraiment une série inoubliable des années 80-90 sans oublier un johnny deep excellent à ces debuts
des sujets grave ou des plus comique sont les effets apporté à cette série culte. Johnny Depp qui est la révélation de la série et qui fera une longue carrière cinématographique n'est pourtant rien à envier des autres protagonistes de la série à savoir Peter Deluise qui sera réalisateur d'un épisode culte de la série "nos jeune années" et celui de Stargate sg1 et qu'on retrouvera dans le film de la série avec Hanson. holly robinson et Dustin Ngyuen seront malheureusement oublié à part holly qui fera un rôle régulier dans la série dédié au Jackson five et l'apparition dans le film. Steven williams quand à lui fera les beau jour d' X-files, de stargate sg1 et de Los angeles heat. RESTE des scénaristes et réalisateurs dont on remarquera la similitude avec la série avec Mulder et Scully. Cinq saison seulement et pourtant le sentiment de ne jamais oublié, et j'ai acheté les coffret dvd et quand je les regarde je me replonge dans mon enfance quand dépêché de rentré de l'école pour avoir la joie de regarder juste un épisode me revient à l'esprit. Merci à Patrick Hasburgh et Stephen J.Cannell avec sa machine à écrire d'avoir créé la série, et au générique où Holly Robinson prêtera sa voie pour toujours
Très bonne série, très bons acteurs, génial ! La série a un peu vieilli, mais pour ceux qui connaissent depuis le commencement, c'est toujours un plaisir de revoir un épisode. Vraiment rien à redire, à part peut-être un concept un peu réchauffé.
Probablement la saison de trop. Judy et Doug sont maintenant trop âgés pour se faire passer pour des lycéens, ce qui ne colle plus avec l'idée de départ de la série. Le départ de Hanson ainsi que celui de Ioki n'est absolument pas évoqué, on fait entrer de nouveaux personnages, dont deux nouveaux inspecteurs qui vont disparaître rapidement. Arrive alors l'officier McCann d'abord trop sûr de lui, sombre, renfermé mais au fur et à mesure, il gagne en humour et légerté. Puis Doug quitte la série pour s'occuper de Clavo à plein temps après avoir failli être tué et laisse sa place à son frère Joey Penhall, rebelle et en complet décalage avec le milieu de la police mais très professionnel. Le capitaine Fuller et Judy font de leur mieux pour maintenir la série à flot mais pas suffisant et malheureusement aucun épisode ne m'a plu. Le final ressemble à un épisode banal, aucun au revoir, aucun aboutissement, vraiment dommage pour une série qui était sympa au début.
Longue et qui s'essouffle, on sent que le départ de Johnny Depp est proche, il est beaucoup moins présent. Je me suis lassée des scénarios bien que certains épisodes soient vraiment sympa comme le premier où Booker va tout faire pour innocenter Hanson, ça marquera également son départ (il fera l'objet d'un spin-off qui fut un échec), l'épisode 3 est bien, Tom se retrouve en face de son premier amour. Durant cette saison Doug Penhall rencontre son grand amour Martha mais leur histoire sera de courte durée puisqu'elle repartira au Salvadore où elle se fera tuée. La quête de Doug avec Hanson en Amérique du Sud lors d'un épisode complet était vraiment réussi, on y verra comment Doug se retrouve à élever Clavo son neveu. Cette 4e saison fut assez rude pour Judy car lors de l'épisode 8 la jeune femme est victime d'un viol, l'occasion de voir à quel point l'équipe est soudée et proche. En revanche le flash back de l'épisode 15 était vraiment trop bizarre. Un gros coup de coeur pour l'épisode 21 qui met en avant l'univers du handicap.
21 Jumpstreet, c'est une de mes séries cultes, j'en suis fan depuis mes 4 ou 5 ans donc ça fait un bail :) J'ai toujours trouvée géniale cette capacité à s'infiltrer incognito dans un lycée pour pouvoir mener des enquêtes, mais le meilleur c'était quand ils révélaient leur identité, j'adorais :) Et je dois dire que j'adore toujours :) Je crois que je vais m'acheter les dvd zone 1...