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Shelby77
163 abonnés
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Critique de la saison 5
4,0
Publiée le 26 juin 2018
Pas grand-chose à ajouter. La série est fidèle à elle même, les épisodes s'enchainent parfaitement. Bon ils se ressemblent quasiment tous, mais on ne boude pas notre plaisir. Le fil rouge toujours présent avec le mytère autour de l'identité de Red John (en vf John le Rouge) est palpitant.
J'ai vraiment adoré cette série, je me suis attaché aux personnages de la série, en plus des enquêtes policières, chaque personnage à une histoire propre à lui à raconter, des secrets. L'intrigue est toujours aussi présente . La mise en scène est parfaite . Même si l'ultime saison sentait l'essoufflement, elle est encore au niveau.
Une série pleine d'humour pour passer de très bons moments. Patrick Jane est remarquable, complètement décalé mais le plus enquêteur de tous. Un Hercule Poirot des temps modernes ^^
J'ai pas tout suivi la série à la lettre mais je trouve cette série super. Le Mentalist est pour moi un des plus hypnotisants des séries policières. Bien joué Patrick !
J'ai suivi les 4 saisons qui sont passées sur TF1, et j'ai apprécié ! Simon Baker est tout simplement formidable et donne une touche d'humour au public. Les autres personnages de la série sont aussi convaincants. Les enquêtes apportent beaucoup de suspens, d'actions. D'autres épisodes bons mais aussi moins bons, c'est normal car cela est une série policière.
Fan de la série, je pense que cette saison est la celle de trop. Jonh le rouge ayant disparu la saison précédente, la tension de la traque tombe, et le vide la remplace. Des épisodes plats et sans enjeux s'enchainent péniblement. La fin de saison est de loin une des pires fin de série américaine que j'ai vu, à peine digne d'une série de TF1. En deux mots : Décevant et sans intérêt.
Objectivement, "le Mentaliste" n'est pas une bonne série TV : voici un "feuilleton" qui fonctionne "à l'ancienne", sans avoir rien appris de la série moderne, et sans même avoir la décence de traiter son sujet avec le minimum de sérieux (à la différence des "Experts", série à laquelle "le Mentaliste" s'apparente largement, qui a au moins le mérite de "parler boulot" avec un peu de compétence…). Voici des scénarios écrits à la truelle, avec des intrigues qui ne tiennent la plupart du temps pas la route, et dont la résolution est soit totalement improbable, soit futile. D'ailleurs, plus la saison avance, plus c'est une véritable bérésina au point de vue scénario, au point que quelques épisodes frôlent le ridicule. Et pourtant, et pourtant, on aime "le Mentaliste" pour Patrick Jane, superbement interprété par le nonchalant et ironique Simon Baker, qui arrive à créer l'un de ces personnages improbables, hauts en couleurs, incroyablement attachants, qui restent dans les annales. Pour lui, pour la sensation de ravissement qu'il engendre, et en oubliant toute la médiocrité du reste, cela vaut la peine de suivre "le Mentaliste".
Je viens seulement de découvrir la série... et, malgré le raté de certains épisodes ou la répétition de certaines intrigues, le personnage principal (Jane) est touchant... Simon Baker joue le jeu à merveille et réussi à combler les imperfections de cette série... Bref, en un mot j'ai adoré du début à la fin (mention spéciale pour l'épisode 2 de la saison 5, celui où le Jane boit spoiler: par erreur de la belladone et commence à avoir des hallucinations... commence un dialogue avec sa fille Charlotte pourtant morte 10 ans plus tôt) ... épisode que je trouve très touchant et la musique est juste sublime (thème pour Charlotte)... le regard du mentalist spoiler: quand "son hallucination" s'en va et à qui il demande de rester traduit toute la tristesse que l'on peut ressentir lorsque l'on perd un être cher... Le casting est impeccable pour le reste de l'équipe... (bon, je trouve que le jeu de "Van Pelt moyen moyen mais bon) Ah j'oubliais un petit bémol :spoiler: les derniers épisodes où Jane et Lisbon sont en couple, j'aurais préféré que ça se fasse vraiment au dernier épisode parce que toute la saison 7 j'ai eu l'impression de voir par moment des scènes du style de cette série des années 80 "Pour l'amour du risque"...
5 étoiles pour ma part... et j'aurais bien aimé qu'elle ait plusieurs saisons de plus...
Sept saisons notées trois étoiles : voilà une moyenne simple à calculer ! D'ailleurs, il faut reconnaître que « Mentalist » parvient plutôt bien à durer sur la longueur et à nous tenir en haleine presque jusqu'au bout, ce qui n'était pas écrit d'avance. Alors évidemment il y a beaucoup d'épisodes (trop?), si bien que le fil rouge est loin d'être omniprésent (un peu comme a pu l'être, à son époque, « Le Fugitif ») et permet donc de le doser au maximum afin que celui-ci plane sur la série sans que cette dernière ne grille toutes ses cartouches trop vite. Cela permet aussi aux épisodes rentrant dans le vif du sujet de réellement se démarquer et de faire forte impression, d'autant que ceux-ci montent en puissance et en tension dramatique au fil des saisons. Il n'y a pas tant de vrais bons méchants de séries : l'invisible Red John en fait incontestablement partie, à condition de spoiler: fermer très fort les yeux sur sa pathétique sortie de scène. Pour le reste, les enquêtes, bien qu'un peu anodines et inévitablement inégales, sont souvent habilement ficelées et se regardent avec plaisir. Les personnages, sans être hyper-originaux, loin de là, sont bien typés et solidement écrits, la qualité des dialogues et l'humour souvent présent étant un plus évident. Enfin, si Robin Tunney n'est pas loin d'être irrésistible, que dire de Simon Baker, charismatique au possible et portant une grande part de l'attachement que nous avons à la série ses ses épaules. Et si la dernière saison est clairement un cran en-dessous, elle ne remet nullement en cause (enfin, juste un peu alors!) l'intérêt et le réel plaisir que l'on a eu à suivre les aventures de notre héros durant sept années : malgré les temps faibles et une indigente conclusion, on retiendra avant tout les bons moments de cette série populaire de qualité. So long, Patrick.
Aventures de Patrick Jane : cinquième. Comme d'habitude, il y a peut-être un peu trop d'épisodes et certains sont inévitablement plus faibles, faisant parfois traîner le fil rouge légèrement en longueur. Mais bon, rien n'y fait : les saisons passent et je suis toujours autant sous le charme de Simon Baker, ses répliques souvent savoureuses et sa capacité à encore et toujours nous surprendre (un peu) dans son comportement et ses raisonnements. Je trouve presque que cette saison est celle de la maturité : plus sombre, plus tourmentée... Cela a beau rester très grand public, il y a quelque chose de plus en plus intrigant, voire troublant au fur et à mesure que l'étau se resserre autour de Red John, ce qui est loin de me déplaire. Après, rassurez-vous : l'humour et la légèreté sont loin d'avoir totalement disparu (notamment dans la relation Jane - Lisbon, toujours aussi piquante), mais l'heure de la « récré » a presque sonné, comme le témoigne un dénouement d'une cruauté et d'une force assez inattendue. Bref, mêmes qualités, mêmes défauts, mais avec une montée en puissance aussi réelle que palpable et parfois une émotion inhabituelle : vivement la sixième.
Ça y est, cette fois c'est fini ! Patrick Jane tire définitivement sa référence et, soyons honnêtes : il était temps. Ô surprise, cette septième saison est clairement la plus faible, et tous ceux qui auront suivi un tant soit peu depuis le début devineront aisément pourquoi. Déjà que la conclusion spoiler: de l'affrontement entre l'ami Patrick et sa nemesis n'était pas à la hauteur (euphémisme), mais alors maintenant spoiler: que cette dernière n'est plus là , c'est carrément la routine. Plus réellement de tension, juste une série policière quasi-lambda. Pourtant, je lui accorde trois étoiles TRES indulgentes. Parce que malgré tout, on ne se fout pas de notre gueule. Certes le cœur de l'intrigue n'est plus là, mais au moins, à défaut d'être très originales, les enquêtes restent agréables à suivre spoiler: (avec notamment le retour tant attendu (du moins me concernant!) de Morena Baccarin) et pas si mal menées, Bruno Heller trouvant les ressources pour soigner ce qui faisait en grande partie le charme de l'entreprise : son humour et ses dialogues souvent savoureux. On retrouve même le plaisir des saisons passées durant un très bon épisode, l'avant-dernier... avant que le suivant et sa conclusion indigne spoiler: (Lisbon est enceinte : lol. Et je ne vous parle même pas des répliques dignes des pires bluettes) nous convainc définitivement qu'il était temps de passer à autre chose. Sois heureux, Patrick, et même si on t'en veut un peu de nous quitter de cette façon, tu nous auras quand même fait passer de bons moments.
Qu'est-ce qui fait qu'une série ordinaire devient d'un coup une "bonne" série ? C'est la question que nous pose la troisième - et surprenante - saison de "The Mentalist", une série qui nous est devenu du coup très attachante... Une "révolution" de son fil rouge (Red John) qui passe du statut de serial killer standard (bâillement) à celui de menace paranoïaque ; une ambiguïté croissante de Patrick Jane, joliment incarné par Simon Baker - qui, à partir d'une version moderne du personnage éternel de Sherlock Holmes, compose un anti-héros de plus en plus déviant, voire schizophrène ; un approfondissement des personnages périphériques, de mieux en mieux "croqués" (la palme revenant à l'impayable Cho) ; des scénarios régulièrement bien bouclés, souvent excitants et relativement crédibles ; un épisode final sidérant... Oui, la saison 3 de "The Mentalist" a tout cela, et nous voilà emballés, bientôt accros…
La sixième saison du Mentaliste, qui aurait du, en toute logique, être la dernière, est sans aucun doute la meilleure de toutes. On y assiste à une résolution fort satisfaisante de l'énigme de Red John, ce qui surprend joliment par rapport à ce que proposent la plupart de séries lorsque les scénaristes se sont eux mêmes englués dans des complexités sans appel (bon, je ne dis pas que tout soit logiquement "blindé", mais enfin, la solution est astucieuse et cohérente)... au cours du premier tiers de la saison ! Alors qu'on se demande bien quelle mouche a piqué le show runner, après un bel épisode de transition, la série repart dans un nouveau contexte, avec des nouveaux personnages plutôt bien croqués, et même quelques épisodes bien menés qui tranchent sur la routine qui avait toujours menacé cette série consensuelle et grand public. Le meilleur restera peut être le dernier épisode, qui s'aventure dans la franche comédie (voire la rom com) et offre à la midinette qui sommeille en nous une jolie conclusion à la tension amoureuse entre Patrick Jane et Lisbon. Bien joué ! Maintenant, après ce quasi sans faute, pourquoi diable fallait il poursuivre la série avec une septième saison ?