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Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 9 janvier 2010
J'accroche pas et c'est pas faute de perséverer ! L'analyse des esprits et des scenes de crime est un thème très en vogue actuellement dans les séries tv, surtout quand le héros est "spécial". Pourtant celle-ci n'a rien de spécial...
Une assez bonne série policière avec un bon acteur. Cependant l'idée principale ressemble étrangement à d'autres séries telles que Profiler etc. L'originalité ,pour Mentalist, est que ce sens de l'observation est un don. à suivre.
Sans etre follement originale, "The Mentalist" se laisse regarder facilement. La premiere chose qui me vient a l'esprit a la vus de la série, c'est le ton assez enjoué, c'est parfois comique, parfois dramatique et les enquetes tiennent la route. Ajouter a cela des acteurs sympathiques et on n'obtient l'une des plus belles surprises de cette nouvelle saison (aux cotés de "My Own Worst Enemy", "Fringe", "Knight Rider et "Life On Mars").
Sympathique serait le mot approprié pour decrire la série!
J'en avais beaucoup entendu parler et je n'ai pas été déçu quand j'ai commencé a regarder. Avec un Patrick Jane piquant a souhait. Super série a suivre de toute urgence !!!
Série très sympa, avec un bon fil rouge (John le Rouge), et des meurtres pas évidents à élucider. En fait, on s'en fiche un peu de savoir qui l'a fait, on veut juste savoir comment Patrick Jane le découvre (souvent très tôt en plus). Simon Baker est très charmant dans son rôle, son personnage est charismatique, et ses coéquipiers apportent eux aussi une petite touche d'humour qui fait que les épisodes sont agréables à suivre.
Excelente série!! Le théme du personnage qui a un sens de l'observation, la logique et surtout limite medium (meme si il dit que ca n'existe pas) est excelente!! Sous la quéte de sa vengeance a l'encontre du tueur de sa femme et sa fille, cet homme hyper attachant, sans prétention et surtout hallucinant est vraiment et je me répéte trop bien trouvé! L'équipe au complet est excelente et attachante! Ils ont tous leur caractére propre et un role défini!! Bref les acteurs sont bon , les intrigues , qui démarre comme souvent pas un meutre, sont interressante du aux personnage de Patrick Jane ! Bref une formidable série, a voir et franchement génial!!
Voiçi la nouveauté à ne pas rater, The Mentalist égale et même surpasse plusieurs autres séries en une seule saison grâce au ton du show mais aussi grâce aux enquêtes particulièrement réussi. Mais le bon point de la série reste le personnage principal de la série, interprété à merveille par le fabuleux et trop rare Simon Baker, qui possède de nombreuses qualités. Rien à voir avec un héros, il n'est d'ailleurs même pas courageux, Patrick Jane possède un incroyable sens de l'observateur qu'il va mettre aux services du CBI (même si sa principal motivation est tout autre). Un personnage drôle, charmeur, très enfantin par moment, mais surtout qui possède une histoire sombre qui est le fil conducteur de la série, puisque cette événement tragique (le meurtre de sa femme et de sa fille) le relie à tout jamais avec un tueur en série: Red John (ou John le Rouge pour les français). Cette élément clé est l'une des principales qualité de cette série puisque l'on suit ces enquêtes au fil des épisodes, mais en parallèle cette quête pour trouver ce tueur, si chère à Patrick Jane. Le reste de la série est lui aussi très réussi; les scénarios sont très bons et assez ingénieux, les autres personnages sont très réussit malgré le peu d'informations sur leurs vies et la réalisation et plus que convaincante. The Mentalist reste donc la bonne surprise de cette année 2008, qui va probablement et surement continué sur plusieurs autres saisons. Une grande série se distingue à l'horizon et elle est très convaincante pour ces débuts.
Je suis septique sur cette série depuis que j'ai vu le premier épisode et ce jusqu'à la fin de la saison 2 car elle innove pas. Pourtant elle donne l'impression avec la présence de Patrick Jane, le "mentaliste", mais faut se rendre à l'évidence : ça ne suffit pas. Le problème est que le personnage ne prend pas le dessus sur le reste, il semble délaissé et ne sert que de prétexte à la résolution des enquêtes. La comparaison avec Dr House est inévitable, les deux personnages sont intéressants mais un seul arrive à convaincre. Au final on se retrouve avec un début et une fin de saison qui sont intéressants et entre temps du classique, à savoir des enquêtes qui s'enchaînent sans trop d'intérêts où l'on s'ennuie fortement, la faute aux personnages principaux qui ne sont pas assez mis en avant ce qui les rend peu attachant et peu présent. Assez paradoxal pour une aussi petite équipe.
Mentalist, vous allez dire que c'est encore nouveau cop show. C'est exact, sauf que celui-ci réussit à nous focaliser sur son personnage principal, Patrick Jane, interprété par l'australien Simon Baker. Sa faculté d'analyser et d'estimer comportements et évènements font de lui un atout indispensable pour le CBI, le Californian Bureau of Investigation. Dans un certains sens, cette série touche au groupe des 'characters shows' comme Monk, House et Californication. Mais pour se démarquer de nombreuses autres séries policières, James Heller a savament dosé l'humour et les intrigues, revenant à des enquêtes plus humaines et des résolutions d'énigmes alliant l'astuce, l'inventivité et la manipulation du Mentalist, face à la rigueur tout policière d'une équipe d'enquêteurs, et sans jamais tomber dans les excès technologiques des séries comme les experts ou d'autres ou des avocats et juges s'affrontent sans mercis face à une glace sans tain. Certes les énigmes ne sont pas d'une grande prétention, mais l'intérêt constant ainsi que l'inventivité du personnage font qu'on se prend petit à petit au jeu, à en redemander chaque semaine. C'est ce qui fait de ce show un des plus regardées aux USA, une des plus grandes réussites en terme d'audience en 2009, et maintenant sur votre petit écran en France Post-scriptum: peut-être vous demandez-vous si le CBI existe vraiment? Et bien oui, il existe!
Une très bonne série policière ! Nous avons ici une intrigue centrale intéressante, au beau milieu de routine d'enquêtes. Bruno Heller a su adapter cette trame principale en élargissant les connaissances, telle une spirale. Il nous apprend petit à petit la construction d’un univers étroit d’une équipe au charme unique en son genre. On porte alors une attention particulière sur le personnage Patrick Jane, tenu par le charisme de Simon Baker. Autant sournois que pragmatique, il illustre la parfaite harmonie entre l’humour et le sérieux des affaires. Son passé dramatique forge le développement d’une intrigue très bien ficelé, sans laisser n’importe quels indices, plus ou moins exploitables. L’action ne prime plus autant qu’avant, laissant la réflexion et la surprise émerveiller les divers dénouements. Les autres membres se distinguent par leur diversité de caractères. Teresa Lisbon (Robin Tunney) est d’une justice implacable, Grace Van Pelt (Amanda Righetti) est l’âme sensible du groupe, Wayne Rigsby (Owain Yeoman) et le plus comique de tous et Kimball Cho (Tim Kang) est expressivement le dur à cuire du groupe. On les voit comme une équipe soudée, sans faille. Au fur et à mesure du temps, on se détache de cette idée pour se convaincre qu’ils formeront très vite une famille. On file directement vers une série de trop, dirait-on. En dehors de l’aspect banal des enquêtes, leur résolution est bien des plus divertissantes. Le personnage de Jane mène la psychanalyse qui séduit le spectateur stupéfait de cette intelligence, grandement négligée dans les autres séries. Cette dernière démonstration a alors prouvé qu’elle avait une place majeure et instructive. De ce personnage plein de bon sens, on en apprend davantage sur les valeurs d’une vie et de la justice qui en découle… Mais il est trop tôt pour enterrer le mythe de « Mentalist ». Emily Swallow (Kim Fischer) et Rockmond Dunbar (Dennis Abbott) viennent rafraichir le casting des deux dernières saisons. Sans doute les meilleurs épisodes, du fait d’une créativité bien recherché où l’ensemble du casting semble être mieux gérer. De plus, Heller s’est essayé à une nouvelle recette qui ne perdait pas la série dans une redondance infernale. Plus on avance, plus la complexité s’installe pour un final grandiose.