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    Sons of Anarchy
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    21 critiques spectateurs

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    Psydered
    Psydered

    48 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Après un final inattendu on l'on croyais tous que Jax avait trahit le club, cette quatrième saison commence fort. Des tentions apparaisse entre Clay et les autres membres, Opie se rapproche de plus en plus de la vérité en ce qui concerne sa femme. Avant d'achever la saison on a ce que l'on prévois depuis le début, Jax deviens président des Sons avec Boby comme vice président. Le tout parfait pour une saison 5 épique.
    kal-el 02
    kal-el 02

    114 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2014
    Encore une saison riche en evenement dans cette saison 4 qui descent un peux d'un cramp , la saison 3 etait mieux mais cette saison est super aussi rien a dire . . Le SoA rentre dans le marchandage de drogues et s'attire des ennuis. Autant le contexte est assez classique, autant tout ce qui gravite autours de cette idée est totalement génial. On voit dans cette saison que les SoA sont loin d'être invincible et la tension monte d'un cran quand les problèmes internes s'intensifient comme le probleme entre clay et jax qui commence a dégénéré . Et un final moin explosive ques les 3 premieres saison mais on vois que jax fini president du club .
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2016
    D’année en année, les caractéristiques primaires d’un show télévisé digne de ce nom ne périssent pas. C’est le cas des Sons of Anarchy, de Kurt Sutter, qui revient à chaque rentrée plus vigoureux, plus audacieux. S’il s’agit ici d’une série purement commerciale, bâtie pour FX sur les fondations laissées par The Shield, les nombreux atouts dans la manche de Sutter lui permettent de ne pas se fixer de réelles limites narratives, lui permettent la grande éclate, torturant incessamment la conscience et les corps de ses personnages, les confrontant toujours au pire, à pire, en tentant maintenir la cohésion au sein du monde qu’il incarne. Si jusqu’alors, les Sons, en dépit des épreuves, sont toujours restés soudés, ici, les actes de certains, leurs conséquences, signifient un retour en arrière impossible. La cohésion générale est mise à mal, et cela, nous l’attendions.

    Toujours plus impitoyable envers son ramassis de criminels en blousons de cuir, à l’image du traitement réservé au personnage qu’il incarne dans sa série, Kurt Sutter semble à tous les coups savoir vers quel chaos les mener tous. On sait d’avance que les choses tourneront mal, d’où parfois la naïveté de certains dialogues rassurants, toujours les mêmes. L’intérêt réside, tout le temps, dans le fait de découvrir comment le club s’en sortira, qui y restera, qui verra son destin changé. C’était le cas des flics pourris jusqu’à l’os de Shaw Ryan et c’est le cas des motards de Kurt Sutter. Impossible de s’y tromper.

    Ici, les confrontations initiées durant la seconde saison entre Jax et Clay prennent une tournure dramatique, le passé agissant comme moteur de tous les doutes, de toutes les tensions. On nous parle depuis longtemps du brave John Teller, mais jusqu’alors, avouons que nous nous en fichions un peu. Là, impossible de faire l’impasse tant les révélations quant au passé du club viendront bouleverser le présent. C’est solide, c’est dramatique, violent et limpide. Un modèle du genre qui ne souffre que de petits aléas, des seconds rôles parfois patauds voire un peu pénibles, des dialogues pas toujours à la hauteur de l’enjeu, une réalisation trop téléfilmique… Peu importe.

    Pour sa quatrième cuvée, Kurt Sutter fait les choses bien, retorses et sans pitié, comme on les aime. Confrontant cette fois-ci le club aux cartels mexicains, Sutter parvient à étendre son concept d’origine en lui faisant prendre les virages nécessaires. On pressent donc, au terme de cette quatrième saison, qu’il y encore de quoi remplir quelques soirées durant les années à venir. 17/20
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mai 2016
    Une saison 4 en deçà des trois premières, on avait plutôt l'impression d'assister à une transition vers une nouvelle ère spoiler: : celle de jacks
    . Le cartel, le nouveau shérif, l'histoire des lettres et l'acharnement sur Juice, tout cela étalé sur une seule saison, m'ont paru interminable. Vite cette nouvel ère !
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2018
    Après une saison trop un peu molle mais sauvée par un dénouement sacrément audacieux, "Sons of Anarchy" saison 4 reprend son cours au moment où les membres des Sons emprisonnés sont libérés. Désormais surveillés par un nouveau shérif en ville et ciblés par l'enquête d'un assistant du procureur particulièrement tenace, ils doivent se tenir à carreau... Tandis que Jax se verrait bien quitter le SAMCRO pour partir avec Tara, Clay conclut un accord avec un cartel mexicain qui met à mal tout l'équilibre du groupe et qui l'entraîne dans une spirale de violence. Une spirale d'autant plus inéluctable que Clay semble prêt à tout pour mettre la main sur les lettres écrites par John Teller et désormais en possession de Tara. Beaucoup d'ennuis pour les Sons donc dans cette nouvelle saison bénéficiant de 14 épisodes et qui ne laisse guère de répit. C'est bien, parfois même un peu trop tant certaines intrigues souffrent de légères répétitions notamment au niveau de Juice. Reste tout de même l'indéniable qualité de la série à rebondir en trouvant sans cesse de nouvelles ficelles, se montrant parfois étonnamment violente voire inattendue, la saison se basant tout de même sur les prémisses d'un événement qui n'aura jamais lieu ! La force de "Sons of Anarchy", au-delà de certaines ficelles pas toujours fines et de la réalisation pas toujours belle, se trouve toujours dans ses personnages. Des personnages incarnés par des gueules, des monstres de charisme comme Charlie Hunnam, Ron Perlman, Katey Sagal, Kim Coates, Mark Boone Junior. Même dans le choix de ses seconds rôles (Danny Trejo, Rockmond Dunbar, Ray McKinnon), la série sait faire mouche et offrir au spectateur une galerie de gueules burinées toujours attachantes malgré leurs défauts, malgré la violence qui les habite. Des personnages qui savent nous accrocher et qui nous maintiennent dans une série imparfaite mais résolument attachante, sans cesse surprenante et qui a, il faut bien le dire, du cœur.
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2021
    Les Sons passent la vitesse supérieure dans le trafic d'armes et de drogue en s'associant au cartel mexicain. Evidemment, tout se corse. Clay continue dans sa démarche personnelle et criminelle pour écarter les dangers dus au pétrin dans lequel il a mis son club. Il en paiera les conséquences. L'intérêt est toujours soutenu par les nombreux rebondissements.
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 740 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2024
    Nouvelle règle, nouveau personnage, nouveaux enjeux. Rarement une saison à pu aussi bien accueillir un "évènement" pouvant à se point compromettre l'intégral d'un business aussi juteux. spoiler: Comment faire d'un nouveau shérif nettement plus droit, plus attaché aux règles et voulant tous faire tomber l'ennemi N°1 du club et ses alliés ? Parfaitement incarné par Rockmond Dunbar ("Prison Break", "Mentalist"...) dont le charisme est toujours d'une merveille absolue, ce dernier à toujours su incarne des personnage de loi et donc d'ordre quitte à se faire bien détester. Marquer aussi par la présence "Guest" du 2ème plus américain des mexicains (du moins ce qu'il laisse penser à chaque fois), Danny Trejo en leader de trafic sous la réelle casquette d'agent infiltrer, réel double jeu impeccable d'un homme qui, là aussi, à toujours su jouer les gros bras armer ("Machete", "Spy Kids"...) avec humour et total décalage satirique. Pour nos routards, les relations s'échauffent et sont de plus en plus tendues, leur célèbre collaboration avec les "porn star" fond, les arrangements entre clubs explosent peu à peu et certaines romances finissent (Impeccable duo Winter Ave Zoli / Ryan Hurst dont les échanges et l'évolution furent un régal). Surtout, cette mi-saison marque le tournant hiérarchique, la défaite de son illustre leader, Ron Perlman dont le jeu impeccable et parler devenu légende sera tomber de son piédestal. Les secrets passés, l'arrogance d'un chef ne supportant pas "l'humiliation" et les critiques de sa femme (l'excellente Katey Sagal) sur la gestion globale ainsi qu'une curiosité trop invasive de notre éternel Doc (Maggie Siff), auront révéler la part sombre de l'homme, du père jusqu'à l'instant fatidique. Un fin de saison particulière, issue cruciale modifiée au dernier instant, la fin donne lieu au "nouveau groupe", nouveau leader (ou plutôt, nouveau couple leader) pour annoncer un futur tout aussi panacher et gourmand en situations plus folles mais toujours plus décisives.
    L'anarchie ne serait elle pas "enfin" à porté de main ?
    schumiforever
    schumiforever

    7 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Nouveau shérif, nouvel agent ATF, nouvelles alliances forgées sous la contrainte, le vent du changement s'apprête à souffler pour les Sons à leur sortie de prison. S'engageant dans des activités trop ambitieuses pour leur petit club, ils sont en désaccord sur la route à suivre, mais l'appât du gain est si fort (surtout pour Clay) que les risques encourus semblent raisonnables... Grosse erreur, et SAMCRO devra lutter toute la saison pour survivre face aux cartels, aux fédéraux, aux traîtres (le tout plus ou moins bien raconté) et surtout aux secrets du passé qui peuvent être révélés à tout moment. Ce fil rouge s'étire en longueur et perd de son intérêt, mais conduira certains à des choix sans retour, cruciaux pour l'avenir du club.
    Ano N
    Ano N

    7 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2021
    C'est amusant de constater que durant la s04e13 à 29:08 on peut voir que Charlie Hunman oublie de dire une réplique à Chibs. On voit bien qu'il se rend compte qu'il a oublié de dire une réplique et la dit face à la caméra en marchant, ce qui n'était pas prévu dans le script je pense ! Le 4ème mur est brisé on peut dire, en tout cas l'immersion est rompue. Mais c'est amusant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 décembre 2017
    La saison 3 m'avait un peu laissé sur ma faim, et je songeais même à arrêter la série en voyant que je n'y trouvais plus vraiment mon compte. Cependant, j'ai quand même lancé la saison 4 et je crois bien avoir assisté à la meilleure saison du show jusqu'à présent. L'intrigue prend (enfin) une tournure vraiment intéressante, les axes autour des personnages secondaires n'ont jamais été aussi bons (en particulier ceux de Juice et de Piney), les tensions entre Jax et Clay sont enfin sérieuses (fini les fausses menaces de mort et les confrontations verbales à deux francs de la saison 2) et John Teller devient un peu plus qu'un simple fantôme du passé, il se transforme en véritable moyen de pression de par ses écrits au cours de cette quatrième saison et en dépit de certains autres personnages. Une très bonne quatrième saison qui, je l'espère, prépare le terrain de la cinquième qui s'annonce captivante.
    Pleymo210
    Pleymo210

    49 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 décembre 2011
    Après une saison 3 un peu décevante il est très agréable de retrouver cette 4ème saison beaucoup plus mature que les précédentes et bien meilleure que la 3ème. Beaucoup de "neuf" dans cette saison et il était temps car la saison 3 donnait l'impression que la série arrivait déjà à bout de souffle. Les nombreux nouveaux personnages et ceux qui disparaissent donnent un souffle nouveau sur la série. La fin de la saison est un peu décevante et on sent que les scénaristes veulent tirer sur la corde pour faire une 5 ème saison. Qu'à cela ne tienne, la saison 5 promet d'être tout aussi bonne mais néanmoins un gros regret sur le dernier épisode de la saison 4. "Sons of anarchy" nous avait habitué à des épisodes final très stressant avec action au rendez vous et où toute l'histoire de la saison se démêle en un épisode. Et bien pas pour cette 4 ème saison qui nous offre un final très dispensable...
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 109 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2012
    (...) Sons Of Anarchy ne s’est jamais perdu à essayer d’introduire un nouveau thème à chaque saison mais au contraire est restée fidèle à son axe premier : voir l’éclatement lent mais inévitable de cette grande famille.
    Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-serie/critique-serie-sons-of-anarchy-saison-4/
    Tbo L
    Tbo L

    22 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2011
    Très bonne série, narration excellente, histoire réaliste et plus que captivante, on se prend d'affection pour quasiment chaque personnage.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2014
    Après deux saisons qui avaient des bad guys extérieurs aux bikers, c’était le grand retour annoncé de la lutte de pouvoir entre Jax Teller et Clay Marrow dans la quatrième itération de Sons of Anarchy.

    Force est de constater que Kurt Sutter et ses scénaristes se sont mis au boulot et que c’est totalement ce qu’ils nous offrent ici. On retourne enfin à l’essence de la série, tout en y ajoutant des intrigues secondaires pour quelques membres. Cette saison, c’est pour Juice, dans un arc scénaristique plutôt intéressant qui dévoile une nouvelle part d’ombre de SAMCRO : le racisme latent envers les minorités. On nous rajoute aussi 4 personnages importants, joués par 4 excellents acteurs (Rockmond Dunbar, Ray McKinnon, Benito Martinez et l’inénarrable Danny Trejo) qui trouvent chacun leur utilité. Tout ceci serait parfait si justement le scénario n’était pas si redondant : Drea de Matteo revient, Katey Sagal nous refait le coup de la matriarche, les gangs sont de nouveau ennemis... On est clairement dans une saison de transition où l’on supprime les personnages en trop et où on prépare l’explosion du club qui aura probablement lieu dans les prochains épisodes. Les acteurs sont toujours aussi bons, avec un petit plus pour Dayton Callie cette saison, qui a un rôle extrêmement différent que sur les trois premières saisons et dont il se sort avec brio. Pour les guests stars, c’est toujours classe, avec David Hasselhoff et Tom Arnold.

    La quatrième saison de Sons of Anarchy a beau être très plaisante à suivre, on est quand même dans une saison de transition pure, ce qui n’est pas étonnant quand on sait que Kurt Sutter avait prévu de faire sept saisons…
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    92 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2012
    Encore une bonne saison pour Sons of Anarchy qui est fidèle à son esprit et à sa narration même si l'on peut s'appercevoir d'un léger essoufflement. Il serait peut-être temps de dynamiser un peu tout ça et de rajouter quelques scènes d'actions supplémentaire comme la course poursuite de la 2ème saison. Toutefois, le niveau reste bien supérieur à la plupart des autres séries.
    L'intrigue n'hésite pas à sacrifier certains personnages lrsque cela peut être bénéfique à l'histoire e qui est un bon point car on est toujours surpris par les différentes péripéties. Et maintenant que j'arrive à mettre un nom sur chaque tête, je m'apperçois de l'univers immensément riche de cette série. Donc encore une fois, merci Kurt Sutter pour ce travail formidable !
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