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Note moyenne
4,3
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Votre avis sur Sons of Anarchy ?
5
399 critiques
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215 critiques
3
59 critiques
2
32 critiques
1
14 critiques
0
3 critiques
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Clairement l'une des meilleures série jamais produite, rythmée du début à la fin, avec des schémas d'épisode qui se retrouvent quelques fois mais sans rendre le tout monotone. Le scénariste alterne des tas d'histoires en parallèle, et fait se rejoindre tous les chemins au final d'une main de maître. Les personnages sont attachants, la musique joue également un grand rôle et est excellente toute la série durant, l'atmosphère globale est unique et par dessus tout, l'esprit prédominant de cette série (sens de la famille, bande de potes indissociables) parle immédiatement et termine le tableau. Le dernier épisode de la série est magistral, rien à redire, cette série est une œuvre d'art.
La première saison du show de Kurt Sutter fût une bonne surprise, synonyme de jours fastueux pour la chaîne FX, alors que la concurrence semble imparable. Cette seconde saison, suite directe des treize premiers épisodes, logiquement, sans être mauvaise, paie sans doute le tribut d’un trop plein de bonnes volontés. Rythmée, particulièrement retorse, cette seconde volée souffre sans doute d’un symptôme propre aux shows qui veulent tout et tout à la fois, l’accessibilité, la puissance narrative et le suspens devant être maintenu de bout en bout. Kurt Sutter ne fait donc pas faux, mais il en fait vraisemblablement trop, bien trop lorsqu’il enchevêtre les intrigues, lorsqu’il capitalise sur des contours drastiques dans le scénario. Ici, à chaque épisode son retournement, son avancée dans le récit général. Si tout s’enchaîne dans une certaine forme de logique, tout semble clairement s’appondre à la force des biceps, dans une tentative sympathique mais clairement visible d’en montrer un maximum.
Sutter nous ayant laissés dans la tourmente, au terme de la première saison, le showrunner semble infatigable et rajoute des couches à la pelle. Chaque protagoniste est ici amené au sacrifice, à la confrontation, à la violence, oui même la belle doctoresse jusque-là réticente à intégrer l’univers du club. Décidément, tout n’est pas facile lorsque l’on est un motard trafiquant d’armes. Si ce mode de fonctionnement, soit pied au plancher, est salutaire pour l’audience, comprenez l’accès à la série par un public d’avantage habitué aux univers des séries des Majors, la crédibilité du show en prend un coup. Oui, si tout est attrayant, si tout est possible dans ce type de série, il n’en reste pas moins que les raccourcis sont aussi voyant que les emblèmes cousus à volonté sur les cuirs de bikers.
Bref, inutile de faire la fine bouche face à un tel rouleau-compresseur de l’audimat, du divertissement télévisuel. Sons of Anarchy fonctionne comme une bonne vieille montre suisse, machine à divertir rendue d’autant plus efficace du fait de ses protagonistes, aussi variés que cruels, aussi malins que bêtes à manger du foin. Alors que Charlie Hunnam et Ron Perlman mènent la danse, en fanfare puisqu’ils passent quasiment ici tout leur temps à se tirer la gueule, si ce n’est à se cogner, les autres intervenants, aussi nombreux qu’insolites, ont tous leur petit moment de gloire durant la saison. Ou soulignera l’importance logique de Gemma et Tara, l’importance de la condition féminine déjà esquissée durant la première saison et ici clairement ajoutée à l’équation.
Voici donc du divertissement à fort taux d’adrénaline et d’hémoglobines, un pur produit de l’Entertainment qui ravira bon nombre. Les fans sont nombreux, et il est aisé de comprendre pourquoi au terme de cette seconde saison, un final qui annonce, là-encore, bien des ennuis pour la suite. Suspens, attitude cool, rebelle, violence, belles bécanes, Kurt Sutter a donc réussi à convaincre qu’il n’était pas qu’un simple artisan parmi d’autre du légendaire The Shield. Si je ne suis pas forcément tendre, ici, avec les SOA, j’attends tout de même avec impatience la découverte de la troisième saison. 14/20
Sutter nous ayant laissés dans la tourmente, au terme de la première saison, le showrunner semble infatigable et rajoute des couches à la pelle. Chaque protagoniste est ici amené au sacrifice, à la confrontation, à la violence, oui même la belle doctoresse jusque-là réticente à intégrer l’univers du club. Décidément, tout n’est pas facile lorsque l’on est un motard trafiquant d’armes. Si ce mode de fonctionnement, soit pied au plancher, est salutaire pour l’audience, comprenez l’accès à la série par un public d’avantage habitué aux univers des séries des Majors, la crédibilité du show en prend un coup. Oui, si tout est attrayant, si tout est possible dans ce type de série, il n’en reste pas moins que les raccourcis sont aussi voyant que les emblèmes cousus à volonté sur les cuirs de bikers.
Bref, inutile de faire la fine bouche face à un tel rouleau-compresseur de l’audimat, du divertissement télévisuel. Sons of Anarchy fonctionne comme une bonne vieille montre suisse, machine à divertir rendue d’autant plus efficace du fait de ses protagonistes, aussi variés que cruels, aussi malins que bêtes à manger du foin. Alors que Charlie Hunnam et Ron Perlman mènent la danse, en fanfare puisqu’ils passent quasiment ici tout leur temps à se tirer la gueule, si ce n’est à se cogner, les autres intervenants, aussi nombreux qu’insolites, ont tous leur petit moment de gloire durant la saison. Ou soulignera l’importance logique de Gemma et Tara, l’importance de la condition féminine déjà esquissée durant la première saison et ici clairement ajoutée à l’équation.
Voici donc du divertissement à fort taux d’adrénaline et d’hémoglobines, un pur produit de l’Entertainment qui ravira bon nombre. Les fans sont nombreux, et il est aisé de comprendre pourquoi au terme de cette seconde saison, un final qui annonce, là-encore, bien des ennuis pour la suite. Suspens, attitude cool, rebelle, violence, belles bécanes, Kurt Sutter a donc réussi à convaincre qu’il n’était pas qu’un simple artisan parmi d’autre du légendaire The Shield. Si je ne suis pas forcément tendre, ici, avec les SOA, j’attends tout de même avec impatience la découverte de la troisième saison. 14/20
Une série très réussi et très originale ! Une série où l'on va suivre un club de motard mélangeant le style "mafia" et "famille". Magnifique série avec des excellents acteurs ! une série à voir et qui est sous-côté !
Y'a rien à faire, quand on nous sert de suivre les aventures de gentils bikers avec des broching impeccables, qui embrassent leur "régulière" avant chaque départ pour accomplir une aventure... et bien on se dit qu'on est pas le public visé. Alors, on imagine que la série va essayer de grandir au fil des saisons pour coller à l'age grandissant de son public... mais non, ça reste sur la même ligne jusqu'à la fin. Bref, une série pour ado, rien que pour ado (sans dénigrement, il en faut pour eux).
Les bandes en Harley Davidson dont on donne vie dans cette série est servi par un très bon casting, sur cette saison on rentre lentement dans le sujet, mais les intrigues se mettent progressivement en place et on commence à être pris ...
Première saison forte agréable et sympathique, on accroche bien avec les personnages, les gangs et le trafic. Pas besoin d'être biker pour aimer. Le seul hic viendra peut-être des évènements antérieurs ou personnages morts évoqués mais que l'on ne verra pas, on est censé déchiffré ou reconstitué par nous même, un peu comme les termes techniques comme "samcro"... Pour cela internet est votre ami.
Un grand final qui réunit tous les excellents ingrédients qui avaient été zappés dans les saisons 4,5 et 6. On retrouve dans un gigantesque pele-mele les mayans, les niners, les nazillons et les sons, sous fond de trafic de drogues et d'armes, comme au bon vieux temps je dirais, et d'innombrables fusillades et de coups tordus. L'intégration de Marilyn Manson est parfaitement judicieuse, Le rêve de john teller prend forme et la série s'achève comme nous l'espérions. Parfait final !
Très très bonne série. Des erreurs en 7 saisons il y en a, mais tenir en haleine le spectateur pendant tout ce temps, chapeau au showrunner
L'une des très rares séries ou TOUT est bon. Les acteurs sont exceptionnels, avec une mention pour ron et charlie.
Les saison sont crescendo dans l'amélioration
Les saison sont crescendo dans l'amélioration
Que c'est caricatural...
Pour avoir croisé des bikers aux États Unis, ils ne sont pas forcément tous ultra-violents, même si ce sont pas des enfants de cœur. Certains , une fois, ont même rassemblé tout leurs mots de français pour nous dire bon voyage !
Mais soit, imaginons une version hautement criminelle.
L'acteur principal est du style beau-gosse / Waikiki beach, il fait un peu sourire en roulant des mécaniques en froc baggy. Il a le charisme d'une huitre. Ron Perleman est plus crédible mais avec son physique on ne s'attendait pas à un personnage romantique. Il ne brille pas par son intelligence et sa sagacité pour un chef de bande.
Les autres personnages ne sont en rien sympathiques, les filles sont des faire-valoir pour le repos du guerrier sauf la mère la "dure à cuire" authentique garce elle aussi antipathique.
Succession de violences ponctuées de dialogue bien gras et bien misogynes.
La sage de pauvres types pas très futés finalement.
Sans intérêt.
Pour avoir croisé des bikers aux États Unis, ils ne sont pas forcément tous ultra-violents, même si ce sont pas des enfants de cœur. Certains , une fois, ont même rassemblé tout leurs mots de français pour nous dire bon voyage !
Mais soit, imaginons une version hautement criminelle.
L'acteur principal est du style beau-gosse / Waikiki beach, il fait un peu sourire en roulant des mécaniques en froc baggy. Il a le charisme d'une huitre. Ron Perleman est plus crédible mais avec son physique on ne s'attendait pas à un personnage romantique. Il ne brille pas par son intelligence et sa sagacité pour un chef de bande.
Les autres personnages ne sont en rien sympathiques, les filles sont des faire-valoir pour le repos du guerrier sauf la mère la "dure à cuire" authentique garce elle aussi antipathique.
Succession de violences ponctuées de dialogue bien gras et bien misogynes.
La sage de pauvres types pas très futés finalement.
Sans intérêt.
On suit l'évolution du personnage principal au sein d'un club de moto ou les règles et codes ne sont pas vraiment tendres.
Si le début de la série est plutôt bien mené, la deuxième partie part un peu en cacahuète et bains de sang sans raisons, les valeurs du club se perdent et on regrette un peu la facilité du scénario pour boucler la série.
On s'attache tout de même aux personnages qui sont tous très bons et on ne se lasse pas de katey Seagal.
Si le début de la série est plutôt bien mené, la deuxième partie part un peu en cacahuète et bains de sang sans raisons, les valeurs du club se perdent et on regrette un peu la facilité du scénario pour boucler la série.
On s'attache tout de même aux personnages qui sont tous très bons et on ne se lasse pas de katey Seagal.
La saison 2 confirme le bien que je pense de la série, des rebondissements, un scénario en béton, et des acteurs charismatiques.
Je comprends pourquoi c'est une série culte, ma note 15/20
Je comprends pourquoi c'est une série culte, ma note 15/20
Pas spécialement attiré par le synopsis de cette série, surtout au vu du nombre d'épisodes, j'ai finalement décidé de regarder ce "classique", après maintes recommandations. Et dès le premier épisode, j'ai pu constater qu'effectivement, la barre était haute. Très haute. Pour commencer, les prises de vues sont exceptionnelles, avec de magnifiques paysages, et les scènes à moto sont très plaisantes à regarder, couplées avec une bande son toujours très juste.
L'intrigue est très bien menée, portée par d'innombrables retournements de situation et des dialogues très riches. Quelques points négatifs sur ces deux aspects tout de même à mon sens: spoiler: dans la saison 1, je trouve un peu gros que Clay et Tig n'envisagent à aucun moment la possibilité pourtant évidente que le micro du téléphone d'Opie aie été placé à l'insu de ce dernier. Ensuite, même si les scènes d'affrontement sont très réussies, les différents ennemis des Sons se révèlent particulièrement mauvais au tir, ce qui gâche la crédibilité du récit à certains moments. Enfin, au niveau des dialogues, très réussis encore une fois, la surabondance de "je sais" et de "Nom de Dieu" m'a parfois agacé à titre personnel.
En dehors de ça, il n'y a rien à redire, les épisodes s'enchaînent sans problème, jusqu'à nous offrir spoiler: un final somptueux; triste mais complètement logique
. Grâce à sa conclusion parfaite, Sons of Anarchy se démarque des séries telles que Prison Break ou Game of Thrones, qui n'ont pas su s'arrêter ou très mal géré la finition.
Le développement des personnages est également irréprochable, chacun ayant sa place, et étant creusé en profondeur. Enfin, aucun maillon faible au niveau du casting, porté par des acteurs exceptionnels. Mention spéciale aux interprètes de Jax, Gemma, Clay et Unser.
En conclusion, série à regarder absolument,la richesse de l'univers créé par Kurt Sutter ne vous décevra sûrement pas!
L'intrigue est très bien menée, portée par d'innombrables retournements de situation et des dialogues très riches. Quelques points négatifs sur ces deux aspects tout de même à mon sens: spoiler: dans la saison 1, je trouve un peu gros que Clay et Tig n'envisagent à aucun moment la possibilité pourtant évidente que le micro du téléphone d'Opie aie été placé à l'insu de ce dernier. Ensuite, même si les scènes d'affrontement sont très réussies, les différents ennemis des Sons se révèlent particulièrement mauvais au tir, ce qui gâche la crédibilité du récit à certains moments. Enfin, au niveau des dialogues, très réussis encore une fois, la surabondance de "je sais" et de "Nom de Dieu" m'a parfois agacé à titre personnel.
En dehors de ça, il n'y a rien à redire, les épisodes s'enchaînent sans problème, jusqu'à nous offrir spoiler: un final somptueux; triste mais complètement logique
. Grâce à sa conclusion parfaite, Sons of Anarchy se démarque des séries telles que Prison Break ou Game of Thrones, qui n'ont pas su s'arrêter ou très mal géré la finition.
Le développement des personnages est également irréprochable, chacun ayant sa place, et étant creusé en profondeur. Enfin, aucun maillon faible au niveau du casting, porté par des acteurs exceptionnels. Mention spéciale aux interprètes de Jax, Gemma, Clay et Unser.
En conclusion, série à regarder absolument,la richesse de l'univers créé par Kurt Sutter ne vous décevra sûrement pas!
Jacky boy je vous la conseille 30/20
Le suspense qui te donne envie de regardé le prochain. Épisode
Le suspense qui te donne envie de regardé le prochain. Épisode
J'ai apprécié cette série, les personnages sont originaux, parfois comiques, et le suspense est altant.
Cependant, la fin m'a laissée sur ma faim (si je puis dire), j'ai vu beaucoup de fin de série et celle-ci m'a un peu déçue; je m'attendais à bien mieux après 7 saisons.
Pour la dernière saison était de trop, je ne lui est pas trouvé grand intérêt comparé aux saisons précédentes.
Une série à voir mais n'en attendez pas grand chose à la fin!!!
Cependant, la fin m'a laissée sur ma faim (si je puis dire), j'ai vu beaucoup de fin de série et celle-ci m'a un peu déçue; je m'attendais à bien mieux après 7 saisons.
Pour la dernière saison était de trop, je ne lui est pas trouvé grand intérêt comparé aux saisons précédentes.
Une série à voir mais n'en attendez pas grand chose à la fin!!!