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    Sons of Anarchy
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    Agnes L.
    Agnes L.

    175 abonnés 1 695 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 30 janvier 2021
    Réussir à faire passer une bande de truands en motos pour des gars attachants, c'est l'exploit que réussit à faire le réalisateur Kurt Sutter au début de la saison. Avec beaucoup d'imagination, il entraîne le spectateur dans des aventures passionnantes et bien dangereuses. En cours de route, plusieurs membres du club de bikers y laisseront leur vie par les choix stratégiques de leur président, Clay. Jax, son successeur, amènera une autre gouvernance ce qui donnera un souffle nouveau aux Sons of Anarchy. Cependant, son évolution vers un profil de vrai criminel ne m'a pas plus du tout, pas davantage que la fin. La structure du gang me fait penser à une harde de loups. Seul l'animal alpha a une famille et les membres sont chargés, entre autres tâches, de veiller aux petits du chef.
    Agnes L.
    Agnes L.

    175 abonnés 1 695 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2021
    Cette troisième saison est un peu moins pertinente à mon avis. Au sein des Sons, les explications manquent de crédibilité autour de ce qui arrive à Abel et Gemma. Tout tourne en rond, beaucoup de déplacements à droite et à gauche pour les bikers. L'épisode avec le père de Gemma est le plus émouvant de la saison. Le final est assez spectaculaire et surprenant.
    cineccita
    cineccita

    48 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 1 novembre 2022
    La série qui a révélé Charlie Hunnam, les répliques, l'originalité du scénario sur fond de guerre des gangs chez les bykers en ont fait une série à succès et ultra populaire.
    Philippe Kozma
    Philippe Kozma

    34 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 14 mars 2024
    Wahhh là on a du lourd !
    Pas plus emballé que ça, je suis resté scotché devant cette excellente série !
    A voir, vraiment !
    Robin C.
    Robin C.

    22 abonnés 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    La série parfaite, un chef-d'œuvre absolu
    Sons of Anarchy est pour moi la définition même de la perfection en matière de série. C’est une œuvre magistrale qui mêle à la fois drame, action et émotion avec une intensité inégalée. L’histoire de ce club de motards hors-la-loi de Charming est bien plus qu’une simple immersion dans un univers de bikers. Elle explore des thématiques humaines et universelles comme la famille, la loyauté, l’ambition, et les sacrifices que l’on est prêt à faire pour protéger ceux qu’on aime.

    Jax Teller, ce leader complexe et charismatique, incarne le cœur de la série. Il est à la fois un père aimant, un stratège brillant, mais aussi un homme tourmenté, en quête d’un équilibre impossible entre ses valeurs et les sombres réalités de son club. À ses côtés, Gemma, interprétée magistralement par Katey Sagal, est une mère protectrice et redoutable, prête à tout pour préserver son fils et les idéaux du club, parfois au prix de décisions extrêmes.

    Mais la force de la série réside aussi dans ses personnages secondaires, qui sont loin d’être de simples figurants. Opie, le meilleur ami de Jax, est un homme loyal et profondément attaché à sa famille et au club. Sa trajectoire, marquée par des épreuves déchirantes, est l’une des plus poignantes de la série. Chibs, avec son passé mystérieux, est un pilier du club, apportant une sagesse et une fidélité inébranlables. Tig, avec sa personnalité imprévisible et son humour décalé, Juice, et Bobby complètent cette galerie de personnages inoubliables, chacun apportant sa pierre à l’univers riche et complexe de la série.

    La série brille également par sa réalisation impeccable, mêlant des scènes d’action brutales à des moments de pure poésie visuelle. L’univers est authentique et immersif, avec une attention aux détails qui fait honneur à la culture des bikers.

    Enfin, il est impossible de parler de Sons of Anarchy sans évoquer sa bande-son, véritable pierre angulaire de son identité. Les musiques sont choisies avec un soin extraordinaire, amplifiant l’impact émotionnel de chaque scène. Parmi les morceaux marquants, "David" de Noah Gundersen reste gravé dans les mémoires pour son intensité bouleversante. "Come Join the Murder" de The White Buffalo, joué lors du final, est un adieu à couper le souffle, d’une puissance émotionnelle incroyable. La reprise de "House of the Rising Sun" par The White Buffalo et The Forest Rangers est un autre exemple de perfection musicale. Sans oublier "This Life", le thème iconique, qui résonne comme un hymne à la fois poignant et vibrant.

    Sons of Anarchy n’est pas seulement une série, c’est une expérience viscérale et marquante. Elle nous happe, nous bouleverse, et nous habite bien après que l’écran soit devenu noir. À mes yeux, c’est la série parfaite, un chef-d’œuvre intemporel.
    Un grand merci à Kurt Sutter
    gregbutton
    gregbutton

    29 abonnés 698 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 27 juillet 2021
    Brillant. On pardonne facilement les quelques facilités scénaristiques et autres rebondissements parfois attendues ou convenus pour ne retenir que l'incroyable crédibilité de cette bande et de ce personnage ! On pourrait aussi reprocher le manque de fond dans l'ensemble, la redondance et le peu de message. Mais cette histoire est tellement dure et touchante pour mieux marquer que je ne peux que lui mettre la note maximale ! Sous côtée !
    Jennifer M
    Jennifer M

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2020
    Une des meilleures séries que j'ai regardé jusqu'à présent. Quand je me suis lancée j'étais sceptique... quelle claque ! C'est dramatique au possible, violent, réaliste, triste. L'histoire est rondement menée du 1er épisode jusqu'au tout dernier. Quand au jeu d'acteur, wahouuu. Un chef-d'œuvre, tout simplement.
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    2,0
    Publiée le 24 décembre 2024
    La pire niveau dynamisme, la pire niveau action et pire niveau fluidité des scènes. Jamais depuis le début le récit avait été si mou, le jeu si morose même s'il faut avouer que les circonstances sont globalement assez tendues. spoiler: Un fausse grossesse d'un côté, une incarcération tendue et manipulatrice pour l'ex tôlier, des trahisons entre gangs rivaux alors que ces derniers font "copains copains" pour leur survie. Le dynamisme de justice policière de d'Eli (Rockmond Dunbar) à clairement baisser pour être remplacer par celui d'une nouvelle figure de justice ne cachant pas ses mots, Tyne Patterson (Carol Christine Hilaria Pounder) qui donne clairement le ton. Viens ensuite le duo principal Charlie Hunnam & Maggie Siff dont le mariage est désormais ébranler par le droit de garde de leur enfants, une division pour enlever, empêcher de jeunes progénitures de vivre dans un environnement de trafic et de corruption interne. Malheureusement, cela se sera bien mal terminer et c'est là qu'est mon interrogation, pourquoi avoir amener un tel dynamisme si tard ? Puis l'autre duo incassable, Katey Sagal & Jimmy Smits qui mélange gestion de maison close et "relations" avec le club. 2 jolis duos vivant quand même dans des environnements particuliers. Winter Ave Zoli passe officiellement au second plan, d'abords prostituée attirants les regards dont ceux d'un motard désormais défunt (Ryan Hurst), désormais aux petits soins de ses collègues et aux "ordres" et la "gestion" de cet établissement non catholique. Enfin, la mort du tôlier Ron Perlman signe la fin d'une ère pour la série et le début de sa fin. Sa fin personnelle est la morale d'une manipulation de l'extérieur, ne pas laisser son "trône", son pouvoir, son marteau car ne voulant pas laisse la nouvelle génération faire son œuvre.
    Une avant dernière saison molle avec ses petites dynamisme, rares, ses tensions, largement présentes, son final canon sonnant le glam et donnant d'avance le jolie cafouillage du grand final.
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 5
    2,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    La moins passionnante même si l'arrivée d'un nouveau personnage, spoiler: Nero Padilla (Jimmy Smits ("Star Wars 2 & 3"...)) démarre à la fois la nouvelle collaboration entre nos motards et une nouvelle industrie d'adulte (après les actrices X, les escortes, pas plus différent), mais aussi une nouvelle relation pour la matriarche Katey Sagal, devant cette saison, jouée un double rôle de sentiments. Hormis cette nouveauté, nos héros n'évoluent que très peu. Une mort symbolique en la personne d'Opie (Ryan Hurst (qui ne saurai rappeler une autre exécution tout aussi trash, d'une autre série)) et des répercutions plus ou moins grandes, la "cérémonie" au club fut néanmoins grandiose. Autre personnalité à voir son déclin ou plutôt, son entrée dans le presque côté obscur, Ron Perlman ne supportant plus vraiment son grade passer à sa jeune progéniture et provoquant les principaux coups bas de la saison. Tara (Maggie Siff) donnait un élan rock / gothique en fin de saison 4 mais curieusement, rien n'en sera, par contre leur 2 enfants connaîtrons une aventure déplaisante à court terme et une relation familiale en subira les conséquences
    . Pour le reste du cast, toujours bon, bonnes situations mais moins de percutions pour certaines, le début de la fin d'enclenchera de toute façon la saison prochaine avec, je l'espère, plus de tensions et d'adrénaline.
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    3,5
    Publiée le 17 juillet 2024
    Nouvelle règle, nouveau personnage, nouveaux enjeux. Rarement une saison à pu aussi bien accueillir un "évènement" pouvant à se point compromettre l'intégral d'un business aussi juteux. spoiler: Comment faire d'un nouveau shérif nettement plus droit, plus attaché aux règles et voulant tous faire tomber l'ennemi N°1 du club et ses alliés ? Parfaitement incarné par Rockmond Dunbar ("Prison Break", "Mentalist"...) dont le charisme est toujours d'une merveille absolue, ce dernier à toujours su incarne des personnage de loi et donc d'ordre quitte à se faire bien détester. Marquer aussi par la présence "Guest" du 2ème plus américain des mexicains (du moins ce qu'il laisse penser à chaque fois), Danny Trejo en leader de trafic sous la réelle casquette d'agent infiltrer, réel double jeu impeccable d'un homme qui, là aussi, à toujours su jouer les gros bras armer ("Machete", "Spy Kids"...) avec humour et total décalage satirique. Pour nos routards, les relations s'échauffent et sont de plus en plus tendues, leur célèbre collaboration avec les "porn star" fond, les arrangements entre clubs explosent peu à peu et certaines romances finissent (Impeccable duo Winter Ave Zoli / Ryan Hurst dont les échanges et l'évolution furent un régal). Surtout, cette mi-saison marque le tournant hiérarchique, la défaite de son illustre leader, Ron Perlman dont le jeu impeccable et parler devenu légende sera tomber de son piédestal. Les secrets passés, l'arrogance d'un chef ne supportant pas "l'humiliation" et les critiques de sa femme (l'excellente Katey Sagal) sur la gestion globale ainsi qu'une curiosité trop invasive de notre éternel Doc (Maggie Siff), auront révéler la part sombre de l'homme, du père jusqu'à l'instant fatidique. Un fin de saison particulière, issue cruciale modifiée au dernier instant, la fin donne lieu au "nouveau groupe", nouveau leader (ou plutôt, nouveau couple leader) pour annoncer un futur tout aussi panacher et gourmand en situations plus folles mais toujours plus décisives.
    L'anarchie ne serait elle pas "enfin" à porté de main ?
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,0
    Publiée le 28 avril 2024
    D'un tout autre niveau, cette saison fut plus sombre et naturellement plus tendue au vu des enjeux que furent spoiler: la recherche du fils nouveau né, des tensions naissantes entre notre gang et leur nouvel ennemi voulant l'assommer, la police pourrie de l'intérieure collaborant quasiment avec ce même ennemi puis les femmes au combien maîtresse de nombreux jeux bien dangereux. Plusieurs intrigues complexes qu'il faut correctement suivre, menant bout à bout à la découverte d'un "trafic" de bébé, de la réelle identité d'un prête finalement très peu catholique (excellent James Cosmo ("Troy"...) dont le naturel charisme aura sublimé le rôle) jusqu'au dénouement hyper ficeler. Coups bas, paroles bien placées, les personnages auront nettement évolués notamment les femmes qui, dans ce programme bien masculin, auront montrées leur force, charactère bien tremper et savoir faire en matière de manipulation. Des premières séquences "gore" montant la série en gamme et promettant assurément une 4ème plus sombre encore, plus poussée avec qui sait, des évolutions toujours plus marquées
    . Quant à Ally Walker, présente depuis la 1, elle nous aura "offerte" la première mort symbolique mais son rôle aura surtout payée les coups bas engendrés pas à pas, jouant ainsi les victimes du système, elle se sera trahie elle-même. Affaires à suivre.
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    3,0
    Publiée le 18 février 2024
    Compliquer ou presque de se replonger dans un programme laisser de côté des mois durant, mais finalement le rythme fut rapidement et nos motards reprennent du service. Une seconde saison qui aura nettement été marquée par l'enlèvement et vol de la "patronne" du club Katey Sagal , engendrant une seconde partie de saison tendue et pleine de haine jusqu'au bout. Un enlèvement orchestrer des suprématistes, autrement dit, des nazis des temps modernes. Une relation entre police et motard toujours confuse entre les devoirs de lois des uns, les combines ficelées de ces derniers et les règles pas du tout catholiques de nos bikers ne répondant qu'à une seule lois, là leur. Marquer si, ne l'oublions pas car, la saison en aura été bien impactée et cela devrais l'être sur la suivante, le partenariat (que je n'ai personnellement pas bien saisi) entre les Sons et une réalisatrices / productrice de films X, dont les vedettes auront très nettement mis le feux aux yeux des hommes, mais pas pour le bonheur de leur dames. Une incruste inédite qui s'est finalement transformée en amitié jusqu'à même créer de réelles relations entre certains. Relation notamment, entre notre duo principal Charlie Hunnam / Maggie Siff qui, en fin de saison, aura vu la complicité décuplée et le look puis le charactère de cette dernière royalement changer. La belle ne serait elle pas en train de devenir rockeuse ? Ca lui ira carrément car son rôle médical à prit un mauvais virage à mi-parcours, merci la direction. Le final, percutant et tendu annonce clairement les couleurs, bien sombres de la 3ème et promet un affrontement digne de ce nom.
    RealPrime
    RealPrime

    89 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,5
    Publiée le 6 août 2023
    Première d'une grande série U.S. culte sur le monde des motards, de la drogue, de la place des femmes et des relations avec la police locale, je m'attendais à une première bien plus trash, bien plus percutante niveau scénario et visuel mais le récit à bien plus laisser la place au développement verbal, aux personnages sur leur relation ainsi que leur famille et biseness. Niveau cast, il est plaisant de retrouver les stars de "Pacific Rim" Charlie Hunnam et Ron Perlman dans lequel je les ai découverts, des rôles ici plus rock mais néanmoins sage pour inaugurer la série. Une saison ou plusieurs intrigues plus ou moins conséquentes se succèdent, impactant ou non le récit global mais servent principalement au "bonus" scénaristique. Le reste du cast fut sincère, diriger avec conviction ou le drame à pris une place bien conséquente, presque comme si les scénaristes voulaient accentuer l'ambiance sombre d'une série qui, à peine démarrée, se doit d'être en constante dramaturge. Katey Sagal, Maggie Siff et ally walker forment le trio féminin de puissance ou chacune montre les cros à sa manière et sait parfaitement faire dans ce monde d'hommes. Pour conclure, Drea de Matteo ("Desperate Housewife"...) incarne une fois de plus la femme en prise de drogue et de doute personnel. Espérant une seconde saison plus percutante, celle-ci lance à sa manière le programme.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 avril 2016
    Une série juste jouissifs. C'est la seule série qui m'a donner autant de frissons et de sueurs froide... Cette série figure pour moi dans le top 5 des meilleurs série jamais réalisé au monde, un chefs d'oeuvre !
    Greg G
    Greg G

    20 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 juin 2022
    4.5 pour car c'est une fiction. Quasi parfait en terme d'intrigue, de suspense, de relation tordu , d'action etc. Difficile d'expliquer en quelques lignes tous les rebondissement et l'absence totale d'ennuie que procure cette série.
    Mais la facette réalisme est elle complétement au ras des pâquerettes: Le traitement des femmes est juste innommable, elle sont totalement soumise ou sont justes des prostitué en tout genre, les bikers, sont réduit au simple exercice du gang à l'américaine ou règne testostérone, flingues, sang. La plupart des intrigues seraient, dans la réalité totalement détruite par la police qui semble, dans cet univers, n'être qu'un semblant de rideau inutile...
    Mais comme c'est une fiction, faisant abstraction de la réalité, ce show ne nous ennuie jamais, les personnages et acteurs sont formidables. Un show.
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