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    Sons of Anarchy
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    722 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 11 juin 2015
    C'est typiquement le genre de série (à l'instar de Breaking Bad) qui pousse complètement à la misogynie :
    Les mecs au moins, c'est franc, c'est direct, ça se tire des balles dans la tête alors que les gonzesses, viles fouines manipulatrices, elles sont juste toujours capables des pires coups et de vendre père, mère, veau, vache et cochons pour sauver leurs faces (le fameux "code d'honneur" ne valant définitivement que pour les garçons, les filles étant apparemment incapable de le respecter ... Ni même d'en avoir un en fait... Ou une âme).
    Bien sûr il y a du cuir, de la sape cloutée, du tatouage discret, de l'ATF (contre l'Alcool, le Tabac et les Flingues), de la choucroute méchée distinguée, de la BO blues-rock fort sympathiquement larmoyante, de l'idée scénaristique trop hyper originale ("tiens, si on finissait chaque épisode par une chanson où on ferait le point en image de la situation des différents personnages ?" / "comme dans Cold Case ?" / "euh... Ouais... Comme dans Cold Case...").
    Et c'est aussi très critiquable : le jeu des acteurs, le côté super propre de l'ensemble, les longueurs, les dialogues ou les scènes qui meublent et qui servent un peu à rien (mais ça c'est un peu le principe d'une série), les différents retournements de situation légèrement incohérents qui font forcément penser que la série a été renouvelée en cours de route (et que c'était pas ça qui était prévu à la base), et puis la chemise à carreaux de Jax (et le canapé assorti : il s'assoit dedans et, hop, il disparaît), les coupes de cheveux de Jax, les abdos de Jax, les introspections de Jax, le bouc bleaché de Jax...)...
    Une série super violente d'un côté (ben ouais ça reste quand même un club de motards spécialisé dans la vente d'armes et de filles) et super bisounours de l'autre (le mythe de la prostituée au grand-cœur version biker quoi)...
    Mais c'est surtout ultra-addictif (...

    Retrouvez la chronique complète ici :
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 7
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2014
    il faut aller au bout de cette saison pour être comblé par tant d'attente en tant de saisons...une fin superbe...des passages durs et des décisions enfin prises et appliquées! Charlie est impressionnant de justesse (sauf sa démarche)
    TheLast
    TheLast

    8 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 9 janvier 2021
    Série culte pour une génération d'ado, violente et addictive, je ne l'ai regardé que récemment en confinement, et c’est vrai que je me suis laissé prendre par l'intensité du rythme et certaines personnalités de la série jusqu'à la fin de la saison 4. La suite part en cacahouètes et remet en perspective l'indigence de cette série déjà perçue dans la première saison où la testostérone prime sur tout le reste et surtout l’intelligence. En guise d’anarchie, ces bandes de bikers et autres gangs ne font qu’inventer un autre système liberticide où des codes internes débiles gouvernent tous ces pauvres mecs (intolérance, racisme, misogynie, soumission…). Ensuite les scènes d’action sont bien peu crédibles, répétitives, et il faut être bon public pour digérer les fusillades à tout va où personne ne meurt, et les chutes à moto sans bobo ! Le côté noir de la série est alimenté à l’excès par des tragédies à répétition (bien horribles pour le buzz…) mais que les ficelles sont grosses… Notre héro principal nous laisse espérer une évolution, un début de lucidité qui maintiendrait notre intérêt jusqu’à la fin, mais non, spoiler: il finit par tout perdre, sa femme, ses gosses et sa vie !
    série pour ados en quête d’affirmation mais à éviter pour des parents responsables, vous allez hurler…
    Fabady FabIsa
    Fabady FabIsa

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    Alors oui sur 7 saisons c'est parfois
    - Redondant
    - Bourrin (ben oui un peu quand même)
    - Imprécis
    - etc..
    On retrouve les même défauts dans GOT, voir dans Breaking Bad ... si si ! Certes dans un autre genre mais tout de même..

    Et encore oui, Jax est parfois énervant à ne pas voir venir ses pires ennemis, mais Jax est aussi machiavélique que naïf, totalement bon ou terriblement dur, grossièrement beauf et adorablement subtile, mais avant tout il est d'un romantique absolu et Charlie Hunnam en fait une véritable idole et l'anti-héro parfait

    spoiler: L'amour de Jax et Tara est splendide, l'amour de Jax pour ses fils est infini et c'est à la fois pour ses frères (Samcro) mais surtout pour honorer la promesse faite à Tara et à lui-même qu'il ira jusqu'à disparaitre. La tragédie est bien là, belle, cruelle et presque morale dans une série où la moralité est souvent loin d'être au premier plan


    Alors non ce n'est pas la série parfaite, mais la tragédie est parfaite et la sensibilité (si, si .. c'est vrai) de Jax qui n'a d'égale que sa détermination en fait un personnage Shakespearien à voir et à suivre.
    Le reste du casting se montre à la hauteur, de Clay, Chibs, Juice ou Gemma etc.. les acteurs portent leur personnage de très belle manière.

    Violente, perverse, bourrine, ce qui rend la série très distrayante c'est la tragédie romantique qui l'a rend formidablement attachante.
    cylon86
    cylon86

    2 560 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    3,0
    Publiée le 13 février 2018
    Après une saison trop un peu molle mais sauvée par un dénouement sacrément audacieux, "Sons of Anarchy" saison 4 reprend son cours au moment où les membres des Sons emprisonnés sont libérés. Désormais surveillés par un nouveau shérif en ville et ciblés par l'enquête d'un assistant du procureur particulièrement tenace, ils doivent se tenir à carreau... Tandis que Jax se verrait bien quitter le SAMCRO pour partir avec Tara, Clay conclut un accord avec un cartel mexicain qui met à mal tout l'équilibre du groupe et qui l'entraîne dans une spirale de violence. Une spirale d'autant plus inéluctable que Clay semble prêt à tout pour mettre la main sur les lettres écrites par John Teller et désormais en possession de Tara. Beaucoup d'ennuis pour les Sons donc dans cette nouvelle saison bénéficiant de 14 épisodes et qui ne laisse guère de répit. C'est bien, parfois même un peu trop tant certaines intrigues souffrent de légères répétitions notamment au niveau de Juice. Reste tout de même l'indéniable qualité de la série à rebondir en trouvant sans cesse de nouvelles ficelles, se montrant parfois étonnamment violente voire inattendue, la saison se basant tout de même sur les prémisses d'un événement qui n'aura jamais lieu ! La force de "Sons of Anarchy", au-delà de certaines ficelles pas toujours fines et de la réalisation pas toujours belle, se trouve toujours dans ses personnages. Des personnages incarnés par des gueules, des monstres de charisme comme Charlie Hunnam, Ron Perlman, Katey Sagal, Kim Coates, Mark Boone Junior. Même dans le choix de ses seconds rôles (Danny Trejo, Rockmond Dunbar, Ray McKinnon), la série sait faire mouche et offrir au spectateur une galerie de gueules burinées toujours attachantes malgré leurs défauts, malgré la violence qui les habite. Des personnages qui savent nous accrocher et qui nous maintiennent dans une série imparfaite mais résolument attachante, sans cesse surprenante et qui a, il faut bien le dire, du cœur.
    cylon86
    cylon86

    2 560 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 5
    3,5
    Publiée le 12 mai 2018
    Après les événements de la saison 4, Jax est devenu président du SAMCRO et cherche un moyen de se sortir des griffes du cartel. Un nouvel allié va lui permettre d'élargir ses opportunités mais les nouveaux ennemis ne vont pas tarder à fleurir, forçant Jax à prendre des décisions de plus en plus difficiles. Haletante de bout en bout, cette cinquième saison représente parfaitement ce que la série a de mieux à offrir et ne laisse aucun temps mort à notre héros, qui découvre la difficulté d'être un leader. Jax, de plus en plus obligé de mentir, cogiter et y aller à l'audace s'il veut s'en sortir va aussi subir la douloureuse perte d'Opie, son meilleur ami, tué en début de saison dans des circonstances particulièrement affreuses. La saison donne alors le ton, prenant à la gorge et nous faisant craindre pour certains de nos personnages secondaires. Si l'on ne peut reconnaître sa subtilité à Kurt Sutter, on ne peut qu'être admiratif des rebondissements qu'il trouve toujours pour relancer le rythme de la saison qui ne s'arrête absolument jamais. Alors certes, quand on s'attarde sur Gemma c'est un peu moins passionnant mais certains épisodes offrent des moments de tension à couper le souffle. Sans cesse sur le fil, Jax va devoir se battre pour rester en place et préserver son club. Jamais en manque d'idées, la saison nous offre une fois de plus sa galerie de "gueules" pour mieux nous plonger dans cet univers impitoyable avec des guest particulièrement savoureux : Jimmy Smits (nouvel allié particulièrement attachant), Rockmond Dunbar, Danny Trejo, Donal Logue et Walton Goggins le temps d'une improbable apparition. On aura cependant du mal du côté d'Harold Perrineau en grand méchant influent tant son rôle de Michael dans "Lost" lui colle à la peau. Porté par le charisme de plus en plus prégnant de Charlie Hunnam, "Sons of Anarchy" est toujours aussi intense et prouve qu'elle en a encore sous le capot.
    cylon86
    cylon86

    2 560 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Décidé à sortir le SAMCRO du trafic d'armes pour se diriger vers des affaires légales, débarrassé d'un adversaire de poids, Jax doit encore composer avec de nombreux imprévus dans cette sixième et avant-dernière saison de "Sons of Anarchy", une série reposant sans cesse sur les mêmes mécaniques mais avec un sens des rebondissements narratifs assez étourdissant. En effet, jamais la série ne se repose sur ses acquis, relançant sans cesse des enjeux au fil des épisodes, se montrant surprenante quand il le faut (en éliminant en début de saison un personnage que l'on ne pensait pas voir disparaître aussi vite), n'hésitant pas à verser dans la violence. Et de la violence, il y a en a dans ces treize épisodes, commençant par une fusillade dans une école et s'achevant par plusieurs morts marquantes. Jamais la série n'aura été aussi gore, s'autorisant à faire jaillir le sang bien plus que nécessaire au fil d'épisodes parfois inégaux, s'étirant en quelques longueurs dont on ne saisit pas forcément l'intérêt (chaque épisode dure une heure) mais qui parvient cependant à captiver comme toujours de par la complexité du personnage de Jax (incarné avec un sacré talent par Charlie Hunnam) et par le florilège de seconds rôles que la série convoque (Jimmy Smits est de plus en plus attachant, Rockmond Dunbar, Donal Logue, CCH Pounder, Peter Weller, Walton Goggins, Kim Dickens et même Adrienne Barbeau sont de la partie) pour mieux captiver, nous montrant des trognes comme on n'a pas forcément l'habitude d'en voir. Au centre de cette saison, la rivalité entre Gemma et Tara, décidée à éloigner ses fils loin de cette vie, prend de plus en plus de place, mettant en place une tension sourde et se finissant sur une note particulièrement tragique, montrant que les scénaristes, au-delà de leur imagination pour relancer sans cesse les enjeux, ne sont pas là pour rigoler, montrant combien cette vie au sein du gang mène inéluctablement à la violence dont on ne se remet pas...
    conrad7893
    conrad7893

    306 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 24 mai 2019
    Une série sur les Bikers qui fait régner l'ordre et le désordre dans la ville de CHARMING. J'ai visionné les 7 saisons sans interruption. J'ai été plongé durant plusieurs semaines au cœur de cette série J'ai vu la montée en puissance de l'action et de la violence. (les dernières saisons sont très violentes).
    C'est très bien écrit, de bons dialogues, des rebondissements. Tous les acteurs sont bons , tous les rôles ont bien été exploités et développés. Cette série mêle action, romance et humour.
    Certains personnages sont très attachants comme TIG ou CHUKKY . JAX TELLER le pilier de la série (un mélange de kurt cobain et de brad pitt) nous embarque . On ne peut s'empêcher de hair clay et gemma par moment également.
    Tous les personnages ont leur importance. C'est très bien joué.
    J'avais commencé par MAYAN MC ,quelle erreur, mais là les sons of anarchy sont au plus haut niveau.
    Série addictive
    dagrey1
    dagrey1

    101 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 14 mai 2019
    Dans la petite ville de Charming (Californie), un club de motards se dispute le trafic d'armes avec d'autres bandes organisées. Cette rivalité évolue vers une lutte à mort, compliquée par les secrets et le mensonge entretenu au sein de la famille Teller-Morrow par Clay Morrow et sa femme Gemma Teller Morrow. Jaxe Teller, le fils de Gemma, enquête sur son passé.

    Attention, cette critique risque de vous spoiler.

    Sons of anarchy est une série américaine de 7 saisons (92 épisodes) de Kurt Sutter diffusée entre 2008 et 2014.

    Chronologie des évènements

    Durant les 7 saisons, la série entretiendra une double dramaturgie, celle contre les ennemis de l'extérieur (polices, gangs, irlandais..) et domestique et familiale, les deux étant hautement mortifères.

    spoiler: Sons of Anarchy, ce sont d'abord trois saisons durant lesquelles les Bikers de Charming finissent par comprendre qu'ils sont manipulés par Clay Morrow. Les décisions du président du club aboutissent, par erreur, à l'élimination de Donna,l'une des épouses d'un des membres, Opie visé par le "contrat". Le gang doit faire face à l'adversité (Mayans, Niners, groupuscule néo nazi sans oublier un passage forcé en Irlande...). Jaxe Teller réalise que son père multiplie les "coups tordus" jusqu'à tenter de faire exécuter son épouse, Tara, médecin à la clinique Saint Thomas, persuadé qu'elle est au courant de secrets qui pourraient lui nuire. Clay Morrow, neutralisé à la fin de la saison 4, mais pas physiquement éliminé, on croit alors que les choses vont s'arranger pour Jaxe Teller, sa femme et ses 2 enfants. Il n'en sera rien. Les trois saisons qui vont suivre multiplieront les complications pour le couple. Tara rentrera en conflit larvé avec sa belle mère, une femme mythomane et aux réactions d'une grande violence. L'adversité se renforce avec l'opposition frontale d'un caid redoutable, Pope, et le séjour de plusieurs sons en prison. Ayant perdu des frères d'armes tragiquement (Opie), Jaxe Teller devient de plus en plus dur, intraitable et inhumain au fil des épisodes. Lui qui rêvait de quitter Charming avec sa petite famille ne supporte plus que l'on discute ses ordres, il a choisi Samcro comme famille. Tara s'éloigne de lui. Tara sera finalement sauvagement assassinée par sa belle mère, dans une crise de démence d'anthologie. Peu lucide et manquant de clairvoyance, Jaxe Teller lancera les hostilités contre les chinois lors de la saison 7, se mettant à dos presque tout le crime organisé de la région. Devenu un monstre, il réalisera bien trop tard qu'il est perdu et que toutes les victimes de la violence qu'il a déchainé sont de sa seule responsabilité.


    Le ton de la série est violent et sans concession et le scénario très noir.

    Tragédie grecque ou drame shakespearien?
    "Sons of anarchy" repose sur des thématiques de tragédies grecques ou Shakespérienne. L'histoire de cette famille maudite ressemble à celle d'Hamlet dans laquelle les protagonistes, les membres d'un gang de motard lié au crime organisé et leurs familles, remplaceraient ceux de la couronne du Danemark. Jax Teller est Hamlet et il y a quelque chose de malsain au royaume de Charming puisque son beau père et sa mère ont assassiné son père dans le plus grand secret. Clay Morrow est Claudius, le beau père assassin qui monte sur le trône et Gemma est Gertrude.

    S'agissant de l'issue de la saison 6 et du scénario de la saison 7 ultra sombres, tout rappelle les Atrides de la tragédie grecque et le Fatum, notamment avec un matricide durant l'avant dernier épisode de la dernière saison. L'une des idées forces, c'est la malédiction de la présidence des Sons, le marteau "corrompt". Pour régner, il faut diviser, faire des coups tordus et être impitoyable, Jaxe Teller va l'apprendre à ses dépens. Reproduisant en pire le schéma de son père (assassinats en série d'innocents, matricide, parricide, mensonges...), Jaxe est écrasé par le poids de la culpabilité lorsqu'il se rend compte qu'il s'était trompé sur toute la ligne, Il est maudit.

    Des personnages attachants et des salauds d'anthologie.
    Bien que lorsque l'on y réfléchit bien, les Bikers de Samcro sont des assassins et des criminels pas meilleurs que ceux avec qui ils sont en guerre, Kurt Sutter a su nous les rendre attachants, jamais manichéens. Tig Tragger, un sadique déviant ami des animaux, Bobby, le cérébral, membre historique des sons qui finira tragiquement, victime collatérale des erreurs de Jaxe ou Chips, l'irlandais déchu qui renaitra de ses cendres après avoir combattu ses ex frères d'armes de l'IRA en Irlande et en Californie. Cette série ne serait pas ce qu'elle est sans ses "représentants pourris" des forces de l'ordre (L'agent Stahl, Lee Toric le Shérif...), ses guest stars de luxe (Dave Navarro, Stephen King, Courtney love, Michael Chiklis, Walton Goggins et Marylin Manson dans un rôle de suprémaciste incarcéré assez sobre...), ses personnages martyrs (Otto et Juice) et ses rares personnages lumineux (Chuck le "masturbateur compulsif", Nero l'amant de Gemma ou le shériff en retraite, Wayne Unser).

    La série est très bien interprétée, confirmant le talent d'acteurs comme Ron Perlman, Kim Coates ou Katey Seagal (...) et révélant Charlie Hunnam dans le rôle du personnage principal des Sons of Anarchy.

    J'ai cependant quelques réserves à la marge, notamment un début de saison 7 "hors sol" durant lequel Jaxe se transforme en gestapiste, convaincu à mon avis un peu facilement par sa mythomane de mère que les chinois ont assassiné Tara. De même, les accolades répétées ponctuées de "Je t'aime mon frère" de tous ces durs à cuire de bikers hétérosexuels me laissaient un peu pensif , parfois...

    Regarder une série attachante, c'est fictivement entrer dans la vie des personnages et établir une relation tout aussi fictive que virtuelle avec eux. C'est toujours une "petite mort" pour le spectateur quant la lumière s'éteint lors du dernier épisode, même si cette fois, les ténèbres étaient tellement denses que cela ne pouvait vraiment plus continuer, faute d'espoir et de combattants.

    "J'accepte ce que tu dis" (Chuck).
    Agnes L.
    Agnes L.

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    Critique de la saison 2
    4,5
    Publiée le 21 janvier 2021
    Beaucoup de péripéties dans cette seconde saison. Une lutte de pouvoir qui s'accentue et devient plus que problématique, des alliances qui se font et se défont, des intrigues avec les fédéraux, des attaques au sein des familles spécialement sur les femmes. Toujours addictif.
    Agnes L.
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    Critique de la saison 4
    4,5
    Publiée le 24 janvier 2021
    Les Sons passent la vitesse supérieure dans le trafic d'armes et de drogue en s'associant au cartel mexicain. Evidemment, tout se corse. Clay continue dans sa démarche personnelle et criminelle pour écarter les dangers dus au pétrin dans lequel il a mis son club. Il en paiera les conséquences. L'intérêt est toujours soutenu par les nombreux rebondissements.
    Agnes L.
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    Critique de la saison 5
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2021
    Depuis que Jax est devenu président, il joue beaucoup au justicier et se salit les mains. Dommage pour son image qu'il ne tienne même plus sa parole. Pourtant question stratégie, il ne s'en sort pas si mal, devenant même assez machiavélique. Gemma dérape aussi n'ayant plus assez de stabilité sentimentale. Beaucoup de règlements de compte dans cette saison, surtout en interne chez les Sons.
    Agnes L.
    Agnes L.

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    Critique de la saison 6
    4,0
    Publiée le 28 janvier 2021
    Des changements importants se dessinent pour les Sons Of Anarchy. L'IRA va user de ses attaques habituelles et la note à payer sera sévère pour le club des bikers. Les femmes comme Gemma et Tara se disputent au sujet de l'avenir des enfants de Jax. Gemma joue la matriarche souvent très énervée et Tara, la femme fourbe et la mère comploteuse. Jax continue d'écrire dans son journal et on ne peut qu'être d'accord avec ce qu'il y écrit.
    Agnes L.
    Agnes L.

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    Critique de la saison 7
    2,5
    Publiée le 30 janvier 2021
    Il est loin le gentil Jax de la saison 1 car il maintenant devenu une vraie bête sauvage et il ment à tout le monde. Le projet qu'il a pour le club va provoquer de nombreuses tueries. Vraiment, l'orientation des SOA ne me plait plus du tout. Je regarde seulement pour voir comment tout cela fini car pour moi, il y a une overdose de règlements de compte. Je baisse ma note générale de la série pour cette raison. Enchaîner les meurtres est un signe d'épuisement de l'inspiration.
    Agnes L.
    Agnes L.

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    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 21 janvier 2021
    Tout de suite, on s'attache à plusieurs personnages bad boys des Sons Of Anarchy. Surtout au craquant Jax qui s'interroge sur l'héritage de son père décédé. La vie de ce gang de bikers est bien organisée autour de son chef, Clay, dont le pouvoir commence à être contesté par Jax. Les épisodes s'enchainent très bien
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