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    La Quatrième dimension
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    AMCHI
    AMCHI

    5 804 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Jeune j'adorais cette série fantastique mais en la revoyant récemment je dois dire que La Quatrième dimension m'a beaucoup moins touché, ça légèrement pris un coup de vieux et même si les histoires sont toujours bonnes tout cela me semble un peu dépassé. J'ai moins accroché à ma grande surprise mais La Quatrième dimension reste une série mythique qui m'avait beaucoup marqué mes esprits et sans doute fait aimer le fantastique et les histoires étranges.
    Peichan2
    Peichan2

    61 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 17 février 2008
    Un des piliers des series d'horreur peut etre celle qui a inspirée x-files mais une série qui a trop d'années pour etre interessante de nos jours. A reserver aux papis nostalgiques.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    176 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 3 février 2020
    Une série qui est à l'origine de nombreux films ou séries. Culte avec des épisodes courts, "The Twilight Zone" fait réfléchir sur l'avenir et sur la condition humaine. Même en 2019, certains sujets sont d'actualité.
    alf38000
    alf38000

    16 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 juin 2019
    Imaginons un univers parallèle où Rod Sterling n’aurait jamais existé, à coup sûr le cinéma fantastique y aurait perdu sans doute un peu de sa magie, voire de son âme, pas de "Total recall", de "Jour sans fin" de "The thing" de "Duel" et encore moins de "Black Mirror".
    The Twilight Zone, série rapidement devenue culte et produite par CBS de 1959 à 1964 verra défiler tout au long de ses 146 épisodes un nombre impressionnant de stars confirmées ou en devenir, de Buster Keaton à Mickey Rooney, en passant par Vera Miles, Agnès Moorehead, Leonard Nimoy, Robert Redford ou encore Dennis Hopper, liste bien évidemment non exhaustive.
    Pour de sombres raisons budgétaires, Rod Sterling se verra confier outre la casquette de producteur, celles également de scénariste, rôle qu’il partagera à l’occasion avec Richard Matheson et Ray Bradbury entre autres, ainsi que de présentateur à la place de Orson Welles qui avait été d’abord pressenti.
    Malgré les décennies, l’œuvre du génial R. Sterling, retitrée par erreur "La Quatrième Dimension", en français, (terme qui ne concerne que la temporalité) en lieu et place de "Fifth dimension", se laisse regarder sans déplaisir et avec la nostalgie d’une époque ou faute de moyens autant techniques que financiers, l’accent était mis en priorité sur l’histoire ainsi que sur la performance des artistes, sans oublier le twist final toujours inattendu.
    Soda et popcorn en vente à l’entracte.
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    3,0
    Publiée le 11 avril 2012
    Idée séduisante au départ, mais en définitive peu convaincante à l'écran... Voilà comment nous pourrions résumer le choix de Rod Serling, qui a donc décidé pour cette quatrième saison de passer d'un format 25 minutes à 50. En effet, de voir ces histoires s'enrichir, se complexifier avait a priori du charme... Il n'en est rien. Non pas que certains épisodes soient ratés, et on en compte même des réussis, mais on a l'impression que Serling et les différents scénaristes ont plus étiré les récits que vraiment amélioré, au point de penser que si les épisodes duraient deux fois moins longtemps pendant trois saisons, ce n'était peut-être pas pour rien. On compte même quelques vrais temps faibles, et si l'ensemble reste à un niveau acceptable (n'exagérons pas non plus), je crois bien que c'est le plus faible volet que j'ai pu voir concernant la mythique série. L'ami Rod ne s'y trompera d'ailleurs pas en revenant au format initial lors du cinquième et dernier volet, qui retrouvera effectivement un niveau plus conforme à ses ambitions. Loin d'être dénué d'intérêt donc, plutôt plaisant, mais on pouvait espérer mieux d'une saison qui ne restera pas forcément dans les annales...
    Plume231
    Plume231

    3 887 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 3 mai 2016
    "There is a fifth dimension, beyond that which is known to man. It is a dimension as vast as space and as timeless as infinity. It is the middle ground between light and shadow, between science and superstition, and it lies between the pit of man's fears and the summit of his knowledge. This is the dimension of imagination. It is an area which we call the Twilight Zone."
    Voilà comment chaque épisode (si on excepte les trois derniers !!!) de cette saison 1 débute, par ce texte dit par le talentueux, l'imaginatif, le photogénique et le très charismatique créateur de cette série, "The Twilight Zone", Rod Serling.
    Mais qu'est-ce que "The Twilight Zone" ??? Une réflexion métaphysique sur l'être humain, l'absurdité de la vie, sur les maux de la société, de l'époque, mais comme chaque époque se ressemble, l'universalité et l'intemporalité sont toujours de mise. Ce sont des castings mémorables, avec les acteurs les plus talentueux, le plus souvent déjà célèbres ou soit appelés à le devenir, quelquefois ni l'un ni l'autre particulièrement mais toujours talentueux. Une BO mémorable à souhait. Des histoires qui nous intriguent, qui nous emportent, qui parfois nous angoissent vraiment quitte même à être franchement anxiogènes, et tout cela sans presque le plus petit effet spécial. Le charme du cachet rétro le plus sobre et élégant qui soit et qui donc ne vieillit absolument pas, celui de la fin des années 50-début 60. La série télévisée élevée au rang d'oeuvre d'art. C'est ça "The Twilight Zone".
    Que dire de cette première saison ??? 36 épisodes, tous ne sont pas parfaits évidemment. "The Big Tall Wish" est franchement mièvre, "Walking Distance" tourne franchement trop en rond pour être efficace (belle interprétation de Gig Young tout de même !!!). Maintenant que c'est fait pour les défauts, dans cette saison on voit bien que c'est Rod Serling le futur scénariste de "La Planète des singes", on sourit de voir "Boulevard du crépuscule" in "The Twilight Zone" avec Ida Lupino en sorte de Norma Desmond dans l'épisode "The Sixteen-Milliter Shrine". Mais bon, je ne vais pas parler de tous les épisodes un par un ce serait beaucoup trop long. Disons que les meilleurs d'entre-eux sont franchement d'une valeur inestimable. 36 divisé par 6 étant égal à 6, je vais juste faire une brève critique des six épisodes qui sont pour moi les meilleurs. Je vais tricher un court instant en écrivant que je regrette de ne pas y inclure l'excellent "Mirror Image" où une excellente Vera Miles est face à son double.
    Numéro 6 : "A World of His Own", dernier épisode de la saison où un auteur peut faire vivre et vivre avec ses créations et les faire disparaître selon son bon vouloir. Un très bel hommage au pouvoir de l'imagination avec, moment culte, l'apparition de Rod Serling himself en véritable personnage de l'histoire.
    Numéro 5 : "The Chaser", j'avoue avoir un point faible pour les épisodes à tonalité légère. Là on est dans le registre de la comédie romantique mais à la manière The Twilight Zone donc avec une bonne dose d'humour noir et de pessimisme. Très jouissif à regarder.
    Numéro 4 : "A Stop at Willoughby", on entrevoit la conclusion de cette épisode mais on ne fait qu'entrevoir car celle-ci se révélera beaucoup plus troublante et donc mémorable qu'on ne le pensait. L'histoire, celle d'un homme qui a la réussite matérielle mais qui n'a pas celle spirituelle, et la preuve que le burn-out au travail ne date pas d'hier. L'interprétation de James Daly est particulièrement puissante.
    Numéro 3 : "Escape Clause", un hypocondriaque égoïste et suffisant (géniale interprétation de David Wayne au meilleur de sa forme !!!) veut l'immortalité, pas de problème le Diable lui la donne. Cette adaptation très libre et hilarante du mythe de Faust est particulièrement intelligente du fait que le Diable ici n'est nullement un escroc qui tente de jouer des tours à son "client" car il sait pertinemment que la connerie humaine fera très bien le "boulot" tout seul.
    Numéro 2 : "The Hitch-Hiker", angoissant, anxiogène, troublant, étrange à souhait. L'interprétation d'Inger Stevens est magistrale.
    Numéro 1 : "The Monsters Are Due on Maple Street", Douglas Sirk l'avait déjà fait, David Lynch et Sam Mendes le feront mais personne n'a montré d'une manière aussi frontale et violente qu'ici la médiocrité et l'abjection de l'être humain sous les dehors proprets d'une "paisible" banlieue américaine moyenne. Percutant, révoltant et inoubliable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 1 février 2021
    La série étrange d'anthologie mélangeant fantastique et science-fiction. Un grand classique de la télévision.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    114 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 13 juin 2017
    La 4ème dimension, c'est l'enfance de beaucoup de gens qui ont découvert le fantastique avec cette série mythique. Hormis quelques épisodes datés, ce qui est inévitable pour une série démarrée en 1959, la série reste souvent actuelle car elle met en scène les sentiments humains avant la technologie et le futurisme. Et grâce à quoi ? Grâce aux scénarios, souvent élaborés par Richard Matheson, légende du roman fantastique et des nouvelles SF. Il est l'auteur de "Je suis une légende" (dont l'ouvre originale a été complètement dénaturée par le film éponyme avec Will Smith), Duel (traduit en film par Steven Spielberg), L'Homme qui rétrécit, et énormément de nouvelles. Les effets spéciaux sont peu nombreux, ce qui permet de ne pas ancrer les épisodes dans une période particulière du cinéma et de la télévision. Et puis il y a l’ambiance; tout est fait pour vous faire penser que vous être entrés dans la Twilight Zone, et dans des lieux en quasi huis-clos.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 août 2022
    La série « La quatrième dimension » diffusée dans l’émission « Temps X » a marqué mon enfance. J’adorais l’originalité de ces histoires qui ne bénéficiaient finalement que de peu de moyens. Trente ans après, je me rappelle encore de certains épisodes géniaux. Dans « Étape dans une petite ville » un couple se réveille dans une ville factice (un mannequin au volant d'une voiture sans moteur, de la pelouse en plastique, un train sans passager qui revient sans cesse à son point de départ, etc.). Dans ce décor un rire moqueur retentit de temps en temps. D’avant leur réveil l'homme et la femme ne se rappellent que d’une ombre au-dessus d’eux puis plus rien. spoiler: La fin de l’épisode montre une main géante qui les saisit. En fait, il s'agit de la main d’une fillette gigantesque qui a placé le couple dans une sorte de vivarium pour humains. Dans la dernière image, elle remercie ses parents de lui avoir donné ces petits terriens…
    Dans « Question de temps » un banquier sans ambition, myope, passe ses journées à lire. Il ne vit que pour la lecture et les gens sont un obstacle à sa passion. Un jour, alors qu’il s’est caché dans un coffre de la banque où il travaille pour pouvoir lire tranquillement ; c’est l’apocalypse. Il est le seul survivant sur terre. Pour lui, c’est le rêve. Il va à la bibliothèque et fait des piles de livres à lire pour les prochaines années. spoiler: Il fait un faux mouvement et casse ses lunettes. Le paradis se transforme en enfer car il ne voit plus rien. Comme quoi le bonheur ne tient qu’à un fil...
    Dans « Le petit peuple » deux astronautes arrivent sur une planète où vit une civilisation d’êtres microscopiques. Sûr de sa force, l’un des voyageurs de l’espace agit en tyran et fait édifier un monument à son image par la population minuscule pour qu’elle le vénère tel un dieu. Il écrase des villes entières avec ses pieds pour asseoir sa domination. spoiler: Jusqu’au jour où le pied immense d’un astronaute géant arrivé sur la planète l’écrase à son tour…
    Dans « L’esprit et la matière » un homme, au caractère exécrable, déteste tout le monde, sauf lui. Un jour, en se concentrant il élimine toute présence humaine. Mais tout seul il finit par s’ennuyer. Il crée alors, toujours par le pouvoir de la pensée, les hommes et femmes à son image (même visage et même caractère). spoiler: Bientôt, la vie pour lui devient invivable et il ne souhaite que le retour à la normale…
    Beaucoup de thèmes du Fantastique et de la SF sont abordés dans la série de façon mémorable, parfois avec humour, comme l’immortalité avec « Immortel, moi jamais ! » ou « Longue vie, Walter Jameson », la vie après la mort avec « Enfer ou Paradis », les superpouvoirs avec « Le manipulateur », etc. Le thème le plus récurrent est peut-être le voyage dans le temps (« Le Lâche », « Le Retour », « Exécution », etc.) mais avec des variations (d’époques, de points de vue, de conséquences : que l’on puisse ou pas changer le passé ou seulement le faire à la marge…) qui évitent toute redondance. Certaines histoires me semblent inédites à l’écran comme celle de cet homme plutôt bigot qui perd son argent, sa raison et finalement sa vie en jouant à une machine à sous (« La fièvre du jeu »). La morale qui ressort de chaque épisode est bienvenue et pousse à la réflexion. Ce qui fait la force de la série c’est la qualité d’écriture de chaque scénario, une prouesse pour des épisodes de moins d’une demi-heure souvent dotés de twists finaux particulièrement efficaces comme dans « Solitude », « La flèche dans le ciel », « Arrêt à Willoughby », « Y a-t-il un martien dans la salle ? », « Le soleil de minuit », « Comment servir l’homme », « L’Œil de l’admirateur », etc. Il y a là de vrais petits bijoux à voir de toute urgence. Par ailleurs des acteurs connus jouent dans la série : Lee Marvin, Charles Bronson, Lee Van Cleef, William Shatner, Martin Landau, Telly Savalas et bien d'autres. Bref, il s'agit de ma série TV préférée tous genres confondus.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    139 abonnés 3 072 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 24 avril 2021
    De 1959/64 beaucoup d'histoire délirantes un peu inégales nécessairement pourtant cette anthologie fantastique S.F. reste la meilleure du genre. Noir et blanc mais ce n'est pas ce qui importe, la qualité des histoires vient du fait que ce genre littéraire, la S.F. qui est le terme générique de tout ce qui est extérieur au réel, plus que simplement des avancées scientifiques, a déjà eu son âge d'or entre 1920 et 1955 aux Usa. La matière existante a été ainsi exploitée en petits films basées sur principalement une idée vraiment originale et une chute pouvant être moralisatrice, ce qui est un plus d'une véritable anthologie du moment que celle-ci n'est pas trop appuyée, avec la voix de Rod Serling pour faire le lien dans cet ensemble disparate.
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    52 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 août 2015
    Facilement dans le top 3 de mes séries préférées, elle est un chef-d'oeuvre d'inventivité et d'intelligence ! Combien de films ou séries s'inspirent de La Quatrième dimension ? un bon nombre, et ça se comprend. Pour une série des années 60 elle est novatrice et en avance sur son temps, sur la forme comme sur le fond : l'introduction est mythique, chaque épisode est un film à lui tout seul (mise en scène soignée qui nous terrifie, questionne, intrigue), et chaque dénouement nous fait réfléchir sur ce que l'on vient de voir. On ne peut que ressortir plus grand de cette expérience.
    MissCinéphile
    MissCinéphile

    27 abonnés 300 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 avril 2016
    De "La Quatrième Dimension", j'ai vu les saisons 1, 2 et 3. Comme dans la plupart des séries, dans chaque saison, certains épisodes font figure de chef-d'oeuvre alors que d'autres sont moins bons, même si, dans le cadre de "La Quatrième Dimension", très peu d'épisodes m'ont véritablement ennuyée.
    La saison 1 reste à mon sens la meilleure, du fait notamment de la musique du générique final qui accompagne chaque épisode (musique qui a été modifiée pour la saison 2). J'ai par exemple beaucoup apprécié "La Nuit du jugement" ou encore "L'Auto-stoppeur", pour ne citer que ceux-là. Néanmoins, les saisons 2 et 3 sont tous aussi excellentes. Les comédiens sont parfaits, les dialogues très bien écrits, et le fait de ne pas voir de violence ni de sexe est un avantage indéniable.
    Le gros point positif de cette série, outre son capital nostalgie indéniable et la richesse de ses scénarii, tient à la chute des épisodes, à chaque fois (ou presque) remarquablement pensée. Chaque épisode peut constituer une critique de la société d'alors.
    "La Quatrième Dimension" est donc une série que je recommande vivement, à la fois intelligente et passionnante.
    Marco Longo
    Marco Longo

    21 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 juin 2016
    N'ayant pas vu beaucoup de séries je doute qu'il y en ai beaucoup d'aussi bonnes. Etant un petit cinéphile, j'ai l'habitude de dire qu'une bonne série ne vaut jamais un bon film.. mais là, non. The Twilight Zone, créée par Rod Serling qui a écrit la plupart des scenarios de la série. Un grand homme, qui a aussi écrit le scénario du premier film La Planète des singes de 1968.

    Chaque épisode raconte une histoire différente, je ne vais pas vous mentir, oui il y a quelques épisodes assez nul, mais contre des épisodes énormes aux scénarios les plus recherchés ! La plupart racontent des histoires "surnaturelles", mais qui cache souvent une moral, avec souvent une chute inattendue a la fin. On y ajoute l'atmosphère, la B.O, et le narrateur... et un chef d'oeuvre fut...
    m-claudine1
    m-claudine1

    4 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2013
    Un des meilleurs épisodes de la série où l'on attend avec intérêt le dénouement. Le voyageur finira-t-il par descendre du train ? Un scénario efficace qui nous tient scotché 20 minutes.
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    (...) La Quatrième Dimension est un mythe d’aujourd’hui, une série fantastique de référence perchée tout en haut de l’Olympe télévisuel, une œuvre jamais égalée depuis, qui ne souffre pas de l’usure du temps. Encore maintenant, elle fascine par la qualité de ses scénarios à l’imagination infinie, par son culot politique, inscrit dans le contexte de la Guerre Froide qui se traduit à l’écran comme une évidence. Rod Serling apparaît comme le principal (voir le seul) artisan d’une série, dont il peut seul revendiquer la paternité. Créateur, scénariste et acteur, il est de tous les métiers, de toutes les aventures et grâce à lui, le monde à découvert à quel point l’univers des séries U.S. pouvait être créatif.
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