La série de référence pour les amateur de SF et d'histoires étranges. Rod Serling, Richard Matheson et Charles Beaumont déploient des trésors d'inventivité. Certes, les acteurs ne sont pas toujours bons, les effets speciaux sont parfois douteux et les scenari parfois un peu légers bien sur, mais les meilleurs épisodes valent bon nombre de films actuels, de vraies petites perles! La série sans laquelle la SF à la télévision eut été bien différente.
dans le genre je pense que on as jamais fait mieux, non non enfait J'AFFIRME : on as jamais fait mieux!!!!! l'apogée de l'angoisse (bien sur sur 138 épisodes , il ne peuvent pas tous être "culte" mais il y en as quand même beaucoup!!!) le premier ep qui m'avais profondément marquer: l’autostoppeur!
c 'est assez vieux en noir et blanc, et pourtant qu est ce que j' ai pu flipper en regardant les épisodes, très sympas , les histoires sont toujours surprenantes, ma préféré, et sans nul doute, l'homme qui trouve un . Chrono qui stop le temps
Sans surprise, comme dans la première saison certains épisodes sont légèrement en-dessous, mais ils n'empêchent en rien notre réelle satisfaction concernant ce second volet. Scénarii toujours aussi inventifs, imagination débordante, écriture vive, casting de luxe... Rod Serling ne faillit pas et nous offre une fois encore un très beau moment de télévision, intelligent et même plutôt habile malgré quelques imperfections : décidément, on est accrocs...
Dans la lignée des deux précédents volets, cette troisième saison fait preuve d'une belle constance pour nous régaler une fois encore niveau récits, casting et élégance, le tout parfois avec une teinte d'humour loin d'être déplaisante. Bref, Rod Serling régnait décidément en maître du fantastique télévisuel à l'époque, le tout sans jamais oublier de nous interroger sur la nature humaine et notre société : une anthologie qui aura décidément marqué son temps.
"You're traveling through another dimension, a dimension not only of sight and sound but of mind; a journey into a wondrous land whose boundaries are that of imagination. That's the signpost up ahead—your next stop, the Twilight Zone." On peut regretter des épisodes tournés avec des caméras de télévision ce qui nuit beaucoup à leur qualité visuelle. L'épisode "The Prime Mover" souffre d'une morale lourdaude, loin de la subtilité habituelle dans ce domaine de la série. Le jeu outrancier d'Inger Stevens, pourtant absolument magistrale dans l'épisode de la saison 1 "The Hitch-Hiker", dans "The Lateness of the Hour" est vite insupportable ; en outre l'épisode manque réellement d'enjeux pour pouvoir avoir une atmosphère angoissante. Autrement dans le positif, "Nervous Man in a Four Dollar Room" a certainement inspiré une séquence culte dans "Taxi Driver", Agnes Moorehead, sans un seul mot qui sort de sa bouche et sans partenaire, arrive juste par son expressivité et sa gestuelle à exprimer son désarroi et sa force en vieille fermière solitaire qui combat des extraterrestres dans "The Invaders". Et puis surtout, il n'y a plus seulement de voix-off de Rod Serling dans les épisodes mais carrément Rod Serling qui intervient lui-même physiquement au début de chaque épisode... vraiment un charisme de gros malade... Bon allez un petit top 5 (non pas de top 6 cette fois car il y a que 29 épisodes !!!), c'est parti... Numéro 5 : "A Penny for Your Thoughts", qui a certainement dû inspirer le film Ce que veulent les femmes sauf qu'ici notre protagoniste parvient à lire dans les pensées de tout le monde. Un divertissement léger qui prouve que si on peut se servir de ce don pour le tourner à notre avantage, pour le bien-être de notre esprit et dans la nécessité de ne pas détruire les relations entre êtres humains il vaut mieux ne pas savoir ce que les autres pensent de soi. Numéro 4 : "The Obsolete Man", épisode de conclusion de la saison qui une charge féroce contre tout pouvoir qui s'en prend à la dignité humaine, et qui rappelle aussi, si besoin était, que The Twilight Zone est aussi une série profondément humaniste. Numéro 3 : "The Trouble with Templeton", une émouvante déclaration d'amour au théâtre et au petit monde qui le compose. Numéro 2 : "The Howling Man", un épisode très à part car plus proche du fantastique d'un Edgar Allan Poe que de celui habituel de la série, et qui est particulièrement étouffant d'angoisse. Numéro 1 : "The Silence", variation puissamment prenante d'une nouvelle de Tchekhov Le Pari et une plongée dérangeante, donc brillante, dans les tréfonds les plus cachés et les plus noirs de l'âme humaine.
The twilight zone, titre en VO, est probalement plus adapté pour décrire ce feuilleton que La quatrième dimension que l'on connaît en France. Elle traduit bien la notion de zone crépusculaire, entre chien et loup, dans laquelle se meuvent les acteurs du feuilleton, eux mêmes souvent personnages de la vie quotidienne américaine du début des sixties, pris dans des événements surnaturels dont ils sortiront changés, telle une période de rite initiatique. Tout en s'insérant parfaitement dans le contexte humain de l'époque, La quatrième dimension est une série qui n'a pas vieilli et qui peut être appréhendée de différentes manières. Rod Serling, son créateur, a pu ainsi y projeter toute sa créativité au moyen de scénarios géniaux tout en laissant une forte composante morale fédératrice qui en était un vecteur idéal, en fait un prétexte. Richard Matheson, Richard Beaumont et d'autres grands novelistes ont aussi donné de grandes histoires. Bénéficiant de l'apport de grands cinéastes (tel John Brahm), cette anthologie est aussi brillament mise en scène (photo, cadrage, musique). Des acteurs de toutes les générations ont pu participer à cette aventure de 5 ans en donnant le meilleur d'eux mêmes. C'est une série humaniste mais rarement moralisatrice qui montre sa vision sans concession d'une société américaine en dénoncant les comportements humains égoïstes, la guerre ou l'automatisation. Rod Serling donne une image du futur bipolaire qu'il montre selon le cas avec pessimisme ou optimiste. La quatrième dimension, tardivement redécouverte en France, est une série novatrice, source de nombreuses inspirations ("nous sommes dans la quatrième dimension") filmiques ou scénaristiques. Les suites, remakes ou films n'atteignirent rarement son niveau tout en étant parfois intéressants. Les trois premières saisons distillèrent de purs chefs d'oeuvres télévisuels, bien aidés par le format de 25 minutes usuel pour l'époque. Une des plus grandes séries jamais produites dans l'histoire de la TV.
La série cultissime par excellence.Une série de science-fiction légendaire créée par Rod Serling.Des histoires toutes différentes et sans liens vraiment terrifiantes,originales,bien trouvées et étranges,des mises en scènes parfaites,des acteurs incroyables,des scènes qui font peur et bien sur,une musique légendaire.
Une série classique maintenant ; tout un art de condenser une histoire fantastique en peu de temps ; originalité, mystère, humour, horreur, tout y est.
Comment rester insensible devant les épisodes de cette série des années 50 / 60, qui nous emporte dans cette 4ème dimension. Ce titre peut paraître étrange, désuet ou inadapté. Mais il faut se projeter 50 ans en arrière ! La SF et le fantastique le disputent à l'action, la tragi-comédie, la guerre ou l'humour, mais toujours vus d'un angle inhabituel, décalé ou angoissant, ... . Plusieurs épisodes frisent la réflexion philosophique.
Cette série a eu le mérite de me traumatiser dés ma plus tendre enfance... eh oui étant myope, l'épisode où un homme myope épargné par une catastrophe rayant de la terre toute vie, se retrouve seul & sans lunette ! Eh oui ça traumatise !! :-)