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Un visiteur
Critique de la série
3,0
Publiée le 10 août 2011
J'adore le principe de la série : l'idée de poupée vivante, le tout étant de savoir si elles sont encore humaine. Je sais qu'elle n'a pas beaucoup trouver son public aux US mais bon, la saison 1 vaut le coup. La saison 2 cependant, a été une véritable déception.
La série est décrite comme "beaucoup trop en avance sur son temps", expliquant les audiences de celle-ci, mais est énormément appréciée par les fans de SF. Dollhouse est un concept original, mais pouvant embrouiller les téléspectateurs sur certains points de la série. N'étant pas fan de SF, j'ai bien aimé la série du talentueux Joss Whedon et puis quel plaisir d'y retrouver certaines têtes de Buffy & Angel au casting !
Une série signée Whedon ! Fan de l'homme, je me jette à corps perdu dans les 2 saisons de Dollhouse. Complexe, cette série aurait mérité une autre saison. On se sent un peu frustré, et on en veut encore. Cette série raconte l'histoire d'Echo, véritable "poupée" (dans le sens où elle est "vide"), à laquelle on implante des personnalités voulues par les riches clients. Simple amie, prostituée, prof... Echo peut être n'importe qui. Elisa Dushku est formidable, et la bande d'acteurs permet à la série d'évoluer, de créer un attachement chez le public. Une série à voir absolument.
Très Très bonne série. Pas 5/5 car la première saison prend du temps à se lancer (même si on ne s'ennuie jamais). Toujours content de retrouver Whedon et certains de ses acteurs habituels : Eliza Dushku qui est très a l'aise dans son rôle principal a multiple facette, Amy Acker que j’apprécie beaucoup grace a la série Angel et qui me fait confirmer mon amour pour elle dans Dollhouse, ainsi que Fran Kranz qui joue un personnage génial qui est surement mon préféré de la série, son rôle est approchant de celui qu'il a dans la Cabane dans les bois. Dans cette série une grosse part de Cabane dans les bois donc je ne peux que adhérer.
Une série avec un scénario original. La dollhouse est une organisation qui, en toute illégalité, propose à de riches clients les services d'êtres humains, les poupées.Elles effectuent des missions ponctuelles pour lesquelles elles sont programmées. Après chaque mission, elles réintègrent la dollhouse et leur mémoire est réinitialisée. Effrayant !
Superbe! Le génie de Whedon est réellement présent ici. Il suffit de voir l'épisode final pour comprendre la puissance de cette série. Absolument génial.
Le début est difficile, la faute à la Fox qui n'a pas laissé Whedon totalement libre, mais à partir du 5ème épisode on commence réellement à apprécier la série, pour finir en apothéose avec l'épitaphe 1.
Joss Whedon aux commandes d'une nouvelle série. Malgré un début laborieux, la série finit par décoller et personnellement j'ai été bluffé. On retiendra la performance épatante d'Eliza Dushku.
Dollhouse a eu sur moi le même effet que Buffy en son temps. La fin d'un épisode me met complètement en transe, et l'attente du suivant est insoutenable, si si... J'ai commencé à regarder par curiosité, voir ce que Joss Wedon pouvait encore imaginer après (surtout) Buffy et Angel. Les premiers épisodes, bien que nécessaires à la pose de l'intrigue et de l'univers avec du recul, semblent très souvent long et ennuyeux. C'est à la 2ème moitié de la 1ère saison que la série s'envole et prend tout son sens. L'intrigue devient captivante, les personnages s'affirment et se dévoilent peu à peu. La 2ème saison prend un tout autre tournant. Les bribes d'informations reçues plus tôt dans la série deviennent finalement essentielles, les personnages s'accomplissent et les évènements s'avancent inévitablement vers une fin connue depuis Epitaph One. Tout s'imbrique, tout prend un sens d'une manière complexe et torturée. Une histoire avec une recherche constante de l'identité de soi en toile de fond, une portée philosophique indéniable, de l'action, de l'humour, du suspens. Pfff, c'est juste génial! Et Eliza Dushku excelle dans son rôle de poupée. De coquille vide, Echo devient une personne à part entière, son visage se fait moins vide. Le regard, un sourire, des mots. El Eliza le retranscrit parfaitement. Dollhouse, une série hélas peut être un peu trop ciblée, c'est peut être la raison qui fait que les audiences sont restées au raz des pâquerettes et qu'elle a été annulée, mais la série est devenue pour moi un pilier du fantastique.
Bouzi Bouzouf aime « Dollhouse » de Joss Whedon, première série qu'il critique pour AlloCiné (un article sur une série, c'est 50 euros de plus, M. Lassalle). Bien évidemment, « Dollhouse » n'a aucun rapport avec une autre série qui se prononce presque de la même manière, à savoir « Dallas ». Mais que l'on se rassure : dans « Dollhouse », pas de J.R. ni de Sue Ellen ni de Bobby ni de Pamela, mais un principe SF plutôt intéressant : séquestrés dans un loft cosy, des jeunes gens auxquels on a retiré leur personnalité se voient, de temps en temps, via un fauteuil hi-tech qui clignote, attribuer une toute autre personnalité dans le cadre de différentes missions pour le compte d'une organisation qui, comme dirait George Frêche, n'est pas très catholique (précisons que ces missions sont très souvent de nature prostitutionnelle). Là où les scénaristes ont accompli un bon boulot, c'est qu'ils ont bien exploité ce principe en examinant toutes ses implications scientifiques et philosophiques (enfin, surtout au début de la série). Ainsi, ces individus vides qui déambulent dans leur cocon aseptisé et changent de moi comme de chemises, sont des miroirs de nous-mêmes (enfin surtout de toi-même, lecteur) embourbés dans nos modes de vie de consommateurs compulsifs qui se réinventent leurs existences à travers la télévision ou le Net. Dommage que la seconde saison soit torpillée dans les derniers épisodes par des twists un peu rocambolesques et que les deux finales déçoivent car flirtant un peu trop avec le gros n'importe nawak. Mais heureusement, les deux saisons s'achèvent chacune sur un épilogue post-apocalyptique plutôt sympatoche (enfin, surtout le premier). Bouzi Bouzouf termine par le point noir de la série : Eliza Dushku, l'actrice qui interprète le personnage central du show. Autant elle s'en tire bien quand elle joue les bonnasses bébêtes (ce qu'elle est dans la vie, sûrement) autant elle est peu convaincante et énervante quand elle est dans la peau de femmes de forte tête.
je met 4 etoiles quand meme car eliza dushku...c'est quand meme qque chose! les 1er episodes sont longs ,l'intrigue est pas terrible ,et ca s'ameliore avec la fin de saison pas mal ,et j'attend une saison 2 qui promet!le probleme vient du fait que ce n'est pas non plus une serie inoubliable et avec le nombre de series sur le marché pas du tout saturé(a peine),ca m'etonnerait pas que cette série s'arrete a 3 ou 4 saisons. en meme temps ,quand je vois le nombre de saisons des experts ou d'autres séries bidons alors qu'il ont arreté "surface" à la 1e saison ,y'a de quoi plus rien comprendre! reste eliza mmmmmmmmmmmsexy! et 2 3 acteurs qui peuvent se lancer grace a cette série car le casting n'est pas mauvais ,au contraire! meme celle qui fait fred dans angel arrive a bien jouer!
J'ai beaucoup aimé cette série, elle est vraiment bien faite, je suis juste... je ne dirais pas déçut de la fin, mais il faut avouer que le dernière épisode de la saison 2 n'est pas vraiment ce dont je m'attendais. Je pensais plus à quelque chose dans le style, Topher voit ce qu'il va se produire dans le futur grâce à toutes ses technologie ou encore Echo qui d'ailleurs grâce à eux, évitent le chao . Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'ils fassent mourir le petit géni ainsi que Paul, il faut bien des sacrifice mais il faut avouer que la fin de la saison 2 est un peu bâclé, comme si, il n'avaient pas eu assez de temps pour finir. Bref, tout le reste de cette série est vraiment génial et intéressante. Merci beaucoup Joss Whedon, content d'avoir revu Amy Acker ainsi qu'Alexis Denisof (BUFFY ET ANGEL) mais surtout notre cher actrice principal Eliza Dushku