Le 21 février 1987, les Renseignements généraux et le Raid font le siège d'une ferme isolée du Loiret et arrêtent au cours d'une opération " coup de poing " les membres dirigeants du mouvement terroriste Action directe : Jean-Marc Rouillan, Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, et Georges Cipriani. Cette opération marque la fin du terrorisme d'extrême-gauche en France. Elle est le fruit de cinq ans d'une traque implacable menée par un magistrat : le procureur François Mattei. Ce film, primé en 2008 à Luchon, raconte l'histoire des hommes qui ont mené cette guerre de l'ombre, ainsi que les incroyables secrets du terrorisme européen des années 80, et comment des militants formidablement motivés ont parfois été manipulés par des services de renseignements et des intérêts étrangers pour servir des causes qui les dépassent. Pour rappel, Action directe est un groupe clandestin qui a emprunté son nom au principe anarchiste de la théorie politique libertaire de l'action directe. Ils ont revendiqué une 50aine d'attentats ou d'assassinats sur le territoire français entre 1979 et 1987. Un décret a prononcé en 1982 la dissolution de l'organisation pour activités terroristes. Ses membres ont été jugés par la cour d'assises de Paris
S01E02
Le 21 février 1987, les Renseignements généraux et le Raid font le siège d'une ferme isolée du Loiret et arrêtent au cours d'une opération " coup de poing " les membres dirigeants du mouvement terroriste Action directe : Jean-Marc Rouillan, Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, et Georges Cipriani. Cette opération marque la fin du terrorisme d'extrême-gauche en France. Elle est le fruit de cinq ans d'une traque implacable menée par un magistrat : le procureur François Mattei. Ce film, primé en 2008 à Luchon, raconte l'histoire des hommes qui ont mené cette guerre de l'ombre, ainsi que les incroyables secrets du terrorisme européen des années 80, et comment des militants formidablement motivés ont parfois été manipulés par des services de renseignements et des intérêts étrangers pour servir des causes qui les dépassent. Pour rappel, Action directe est un groupe clandestin qui a emprunté son nom au principe anarchiste de la théorie politique libertaire de l'action directe. Ils ont revendiqué une 50aine d'attentats ou d'assassinats sur le territoire français entre 1979 et 1987. Un décret a prononcé en 1982 la dissolution de l'organisation pour activités terroristes. Ses membres ont été jugés par la cour d'assises de Paris