La commandante Anne Capestan reçoit la direction de la "4e brigade", une brigade de la police judiciaire de Lyon, puis à Lille, à laquelle ne sont affectés que des policiers alcooliques, dépressifs et inadaptés1,2. Elle-même est d'ailleurs encore sous le traumatisme d'avoir été accusée, 5 ans auparavant, d'avoir tiré accidentellement sur un collègue, Duteil, ce qui lui avait valu une mise à pied de la BRI.