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Caine78
6 839 abonnés
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Critique de la série
4,0
Publiée le 2 mai 2015
Trois premières très bonnes saisons, deux dernières un peu moins... Malgré tout, « Fringe » reste pour moi une des séries importantes en matière de science-fiction de ces dernières années, dont j'ai du mal à comprendre la relative indifférence du grand public, à moins que ce ne soit la Fox qui, en ne la diffusant que rarement à une heure de grande écoute, lui ai joué quelques tours involontairement. Vous me direz, cinq saisons pour une série, c'est une durée tout à fait correcte, preuve que tout ce beau monde avait su réunir un public fidèle et motivé, conscient de la richesse d'un univers visuellement assez beau et renouvelant avec un certain talent la question des univers parallèles et des voyages dans le temps, sans oublier des personnages en définitive assez attachants et bien joués (mention spéciale à l'excellent John Noble). Bref, c'est presque par hasard que je m'étais lancé dans « Fringe », et c'est finalement avec beaucoup de plaisir et d'intérêt que je l'ai suivi jusqu'au bout : malgré un essoufflement en fin de parcours, une belle réussite.
Magnifique surnaturel , la science fiction étant le thème même de la série, des acteurs géniaux surtout Walter qui est magnifiquement drôle, la meilleure Saison reste pour moi la quatrième,où éclosent vraiment les mondes parallèles, les saisons 2 & 3 sont également très bien ! Ne pas se laisser repousser par la saison 1, beaucoup moins bien au début. La saison 5, la, malheureusement, ultime saison est géniale mais extrêmement sombre et triste !
Aux premiers abords, il est impossible de regarder la série sans penser à "X-Files". Le fait que le personnage principal soit une agent du FBI travaillant pour une section spécialisée dans les cas étranges et le format qui fait que chaque épisode soit centré sur une enquête y est évidemment pour beaucoup. Mais très vite, "Fringe" se démarque de son modèle pour avoir sa propre identité. Il y sera donc question de science à la limite du réalisme, d'univers parallèles, de théorie du complot, de mystères et d'intrigues en tout genre et ce pour notre plus grand plaisir. Sans jamais se départir de son fil rouge sur fond de complot et de guerre bactériologique, cette saison prend le temps d'installer son univers et ses personnages pour mieux nous amener vers son dénouement qui surprend et promet une seconde saison passionnante. Mais en attendant, il serait dommage de ne pas se laisser prendre par ces 20 épisodes d'enquêtes qui tâchent de toujours surprendre. Malgré quelques petits éléments répétitifs, on se prend rapidement au jeu et ce d'autant plus que les personnages sont attachants. Si Anna Torv est très bien dans le rôle principal (une femme forte, ça fait du bien à voir) et que Joshua Jackson surprend par la qualité de son interprétation, c'est bel et bien John Noble que l'on retient, son interprétation du savant fou Walter Bishop étant totalement irrésistible, l'acteur se montrant aussi à l'aise dans le registre comique que dans un ton plus tragique.
Un must de la science fiction, où quand une agent du FBI confrontée à des phénomènes inexplicables doit faire appel à un scientifique de génie interné en hôpital psychiatrique et à son fils magouilleur en cavale pour l'aider à résoudre ses enquêtes. Avec un premier épisode d'une heure trente pour planter le décor digne d'un très bon film on est pas déçu. On dévore ensuite sans modération tous les épisodes de cette première saison où s'enchaîne les mystères plus étranges et passionnants les uns que les autres pendant qu'en arrière plan se pose toute une série d'énigmes, rôle des observateurs, identité de William Bell, relations entre Walter et Peter, passé d'Olivia... En un mot, passionnant, on attend q'une chose, la suite.
"Fringe" est une série auquel on accroche tout de suite, avec un mystère improbable mais qui finit par être résolut par une équipe de choc, formée par Anna Trov, Joshua Jackson, mais surtout John Noble qui ajoute un humour un peu piquant à cette intrigue, parfois presque glauque. Les épisodes sont tous passionnants, malgré leur grand nombre, on atteint en effet les cent épisodes depuis la création de cette série en 2008. Mélangeant le fantastique et le thriller avec le dramatique, on ne peut qu'apprécier "Fringe" dont le seul problème, qui est également celui d'une grande quantité de série, le côté commercial que l'on retrouve largement.
Après le final renversant de la troisième saison, "Fringe" continue sur sa lancée et ne cesse de nous surprendre. Si le début de la saison est un peu laborieux, plus elle avance et plus elle passionne, allant toujours de plus en plus loin en terme d'inventivité. A ce niveau-là de la série, ne cherchez plus de vraisemblance et laissez-vous emporter par ses scénarios inventifs, poussant la mythologie de l'univers toujours plus loin avec des personnages décidément attachants. Car loin de se reposer sur ses trouvailles et ses nombreux rebondissements, "Fringe" repose avant tout sur ses personnages et leur psychologie fouillée, chacun ayant un rôle à jouer dans les événements qui se préparent. Si Anna Torv et Joshua Jackson s'en sortent avec les honneurs, c'est malgré tout l'irrésistible John Noble qui a tendance à leur voler la vedette avec son personnage de savant fou intelligent, drôle et émouvant. Si cette saison est celle qui part la plus loin dans les invraisemblances et laisse entrevoir quelques petits défauts de cohérence, le fait est que la cinquième saison se fait attendre, promettant quelque chose de fou.
« Fringe » est une série marquante dans le domaine de la science-fiction, malgré un début un peu lent et un essoufflement dans les dernières saisons. La série brille par son originalité, notamment avec son exploration des univers parallèles et des voyages dans le temps, offrant une approche rafraîchissante du genre. Les personnages sont particulièrement attachants, avec une mention spéciale pour l'excellent John Noble dans le rôle de Walter Bishop, qui apporte une profondeur et une complexité remarquables à son personnage. La qualité de la réalisation et des effets spéciaux contribue grandement à l'immersion dans cet univers complexe et captivant. Le scénario, bien qu'occasionnellement complexe, est intelligemment construit, avec des rebondissements qui maintiennent l'intérêt du spectateur. Elle reste une référence en matière de science-fiction, marquée par une imagination débordante, une intrigue captivante et un mélange réussi de mystère, d'émotion et de technologie futuriste, tout en proposant une réflexion sur les implications de la science sans conscience. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Une très bonne série de SF qui fait appel à toutes les lois de la physique et joue avec dextérité de la théorie des espaces-temps parallèles. Il faut salement se gratter la tête pour savoir où l'on se trouve parfois pendant le visionnage, mais, les acteurs sont grandioses, John Noble en particulier. Toutes les histoires deviennent assimilables aisément après quelques efforts. Je note simplement que Allociné à froidement oublié dans le Casting, aurisque de se faire lyncher par les "Trekkies" une importante "Guest Star" qui apparait à plusieurs reprises dans "Fringe" : Léonard Minoy.
Série qui se doit d'être entourée de mystères. Créée par ses acolytes an et arrive avec une énergie débordante, nerveuse, plein de potentiel et avec une femme en personnage principal. Même si lors de la saison 2, la coupe budgétaire était plus petite, ils ont continué à explorer leur(s) univers. Donnant de l'épaisseur à la série au fil des saisons. Grâce à beaucoup d'imagination et d'intelligence, la série explique des phénomènes scientifiques avec une telle clarté et invente des objets futuristes avec des vieux trucs. Et on y croit. La série prenant plus d'ampleur, il existe des épisodes où ce n'est pas une enquête qui sert de fil rouge mais bien l'histoire. Surtout dans les saisons 4 et 5. Cependant, la mise en scène nerveuse est délaissée au fil du temps et la saison 5 est assez lente. Mais les cadres sont soignés et la lumière toujours impeccables. La série qui se centre et explore beaucoup la science et aussi une série sur la famille. Et l'épaisseur et l'empathie vient surtout de là. Car les moments d'émotions sont intenses, grâce notamment à la musique de nno qui est toujours juste et touchante. De plus, ils se permettent d'étoffer les personnages secondaires (Astrid, Broyles et Nina Sharpe) avec tout autant de sincérité. fut la plus intéressante et la plus exploitée bien évidemment. Et sur tous les points, blonde-rousse, introvertie-extravertie...De plus, sa voix envoûtante et sa justesse dans le jeu sont impeccables. n, quant à lui, semble être nonchalant, mais son jeu tout en retenu prendre de la force lorsque ses émotions prennent le dessus et montre son talent. La palme revient à (que j'aimais pas physiquement dû à son rôle dans le Seigneur des Anneaux) m'a fait adoré le personnage. Criant de sincérité et de fragilité. Il donnait de l'humour (avec Astrid) face aux deux êtres plus sérieux qu'étaient son fils (n) et Olivia (). Et ma préférence va pour Broyles (k), aux répliques bien senties et à sa façon de bémol fut l'histoire d'amour entre Peter et Olivia. Surtout dans la saison 5 où les scènes de couples ne sentent pas la sincérité. On y croit pas vraiment. Heureusement que l'histoire avec leur fille donne de la puissance à leur , une série qui aurait pu être grandiose avec un meilleur soutien de la chaîne et un public plus nombreux mais elle reste magnifique et une des meilleurs séries de science fiction de ses dernières années.
J'ai adoré, grand fan de mulder et scully, on retrouvé un peu de cet esprit mais beaucoup mieux adapté. Les personnages sont de qualités, dommage que les 2 mondes se séparent et la fin est gaché mais j'ai beaucoup apprécié.
Très belle série, original et dans l'ensemble très bien faite. Chaque saison apporte son lot de nouveautés et tout au long des 5 saisons on va de surprise en surprise. Les relations entre les personnages sont un autre point fort de Fringe, honnêtement pour moi peu de défaut peut être en chipotant quelques longueurs mais au final un superbe divertissement !!!
Après avoir doucement installé son univers et ses personnages, voilà que "Fringe" prend un peu plus d'ampleur dans cette deuxième saison. Si l'on regrettera un début un peu laborieux expédiant assez rapidement ad patres un personnage secondaire, une fois que la saison est lancée, c'est pour le meilleur avec quelques épisodes indépendants très sympas (dont un en hommage au film noir). Mais c'est avant tout l'arc narratif principal avec ses deux univers qui passionne, les scénaristes commençant à mettre en place toute une mythologie qui ne manque pas de fasciner. La saison nous offrira donc de beaux épisodes (celui se déroulant dans les années 80, celui avec Peter Weller, émouvant ou le double épisode final) mettant parfaitement à l'honneur une intrigue principale aussi dense que riche en rebondissements dont on entrevoit une partie du potentiel et qui nous laisse une fois de plus espérer le meilleur quand vient la fin de saison. Que ce soit dans l'inventivité des intrigues (chaque début d'épisode laisse craindre le pire en ce qui concerne ce qui va arriver) ou dans la caractérisation des personnages (Walter Bishop étant certainement le personnage le plus complexe et le plus intéressant de la série, énormément nuancé), cette saison ne manque pas de charme et lance une fois de plus des tas de pistes passionnantes.
A l'image de "Lost", "Fringe" est une série qui se complexifie et qui se bonifie au fil des saisons. Après deux saisons de qualité mettant en place toute une mythologie à base de science-fiction très poussée et d'univers parallèles, cette troisième saison est constituée de 22 épisodes menés tambour battant. Les scénaristes ne sont pas là pour lambiner et chaque épisode fait un peu plus avancer l'intrigue et les relations des personnages (qui se développent énormément surtout concernant Olivia et Peter). Bourrée d'idées, la série n'hésite pas à nous promener d'un univers à un autre ou d'une époque à une autre avec une aisance assez stupéfiante qui contribue à donner encore plus de corps à un univers décidément passionnant et plein de surprises. Cette saison ne fait pas exception et s'avère meilleure que les précédentes, imposant son style, son humour et sa mythologie. Une troisième saison de qualité et qui se savoure avec régal, ne serait-ce que pour la prestation de John Noble dont le personnage de Walter Bishop ne cesse de s'étoffer, plein de complexité et d'émotions.