Note moyenne
3,6
10 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

10 critiques presse

Le Figaro Magazine

par Julia Baudin

Des décors, des lumières, des costumes, des compositions picturales romantico-symbolistes flamboyantes. Un casting 5 étoiles. Et la maîtrise parfaite des codes de la série de gangsters. On regrette l’absence de figure masculine intéressante, sauf une.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine

Ouest France

par Agence TV.

La réalisation et l’esthétique soignées de la fiction chargée en rebondissements permettent de plonger le spectateur au cœur du Soho survolté d’après-guerre, avec une pointe de modernité et un regard novateur, celui des femmes.

La critique complète est disponible sur le site Ouest France

Télé Loisirs

par Claire Lavarenne

Dans une mise en scène électrique et audacieuse, Dope Girls revoit les codes de la série de gangsters en faisant la part belle aux femmes. Cette série met en avant une période assez peu traitée en fiction, celle du retour des soldats dans la société civile après la Première Guerre mondiale et des conséquences que ce retour a eues pour les femmes.

La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs

Le Journal du Dimanche

par Barbara Théate

Il y a du "Peaky Blinders" dans cette série rock (avec sa BO moderne) et farouchement féministe (l'image des hommes n'est pas reluisante) qui se complaît dans la noirceur et la cruauté d'un monde interlope.

Le Parisien

par Stéphanie Guerrin

Dans une ambiance entre un "Peaky Blinders" au féminin et la fiévreuse "Babylon Berlin", "Dope Girls" s’appuie sur une esthétique éclatante et assumée. Le scénario un peu brouillon est toutefois porté par des actrices inspirées, dont la géniale Julianne Nicholson, déjà saisissante dans "Paradise" sur Disney +.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Télé 7 Jours

par Frédérick Rapilly

Annoncée comme une sorte de successeur spirituel de "Peaky Blinders", la série "Dope Girls" en a l'ambition mais pas forcément les moyens. Ni la rigueur d'écriture.

Télé Câble Sat

par Cédric Melon

Maîtrisant avec brio tous les codes du film de gangsters d'époque, cette série offre une immersion captivante dans les entrailles des nuits londoniennes d'après-guerre.

Télérama

par La rédaction

Dope Girls se distingue plutôt par son ton irrévérencieux, ses héroïnes fortes — campées par Eliza Scanlen (Les Quatre Filles du docteur March), Julianne Nicholson (Mare of Easttown) et Umi Myers — et sa réalisation survoltée.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Téléstar

par Romain Nigita

Avec son quatuor d'héroïnes déterminées dans l'univers du banditisme de 1918 et son excellente bande-son des plus modernes, cette série britannique s'apparente d'abord à une version féminine de "Peaky Blinders". Mais "Dope Girls" tire parti de façon tout à fait pertinente de ce contexte historique.

Sud Ouest

par Jean-Michel Selva

On trouve dans cette série certains traits de "Peaky Blinders", mais le voile transgressif qui plane au-dessus de "Dope Girls" ne va jamais au bout de ses ambitions. Mention spéciale pour les comédiennes Julianne Nicholson et Umi Meyers qui survolent ces épisodes, bien aidées par leurs partenaires Eliza Scanlen et Eilidh Fisher.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest