Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Des décors, des lumières, des costumes, des compositions picturales romantico-symbolistes flamboyantes. Un casting 5 étoiles. Et la maîtrise parfaite des codes de la série de gangsters. On regrette l’absence de figure masculine intéressante, sauf une.
La réalisation et l’esthétique soignées de la fiction chargée en rebondissements permettent de plonger le spectateur au cœur du Soho survolté d’après-guerre, avec une pointe de modernité et un regard novateur, celui des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Dans une mise en scène électrique et audacieuse, Dope Girls revoit les codes de la série de gangsters en faisant la part belle aux femmes. Cette série met en avant une période assez peu traitée en fiction, celle du retour des soldats dans la société civile après la Première Guerre mondiale et des conséquences que ce retour a eues pour les femmes.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Il y a du "Peaky Blinders" dans cette série rock (avec sa BO moderne) et farouchement féministe (l'image des hommes n'est pas reluisante) qui se complaît dans la noirceur et la cruauté d'un monde interlope.
Dans une ambiance entre un "Peaky Blinders" au féminin et la fiévreuse "Babylon Berlin", "Dope Girls" s’appuie sur une esthétique éclatante et assumée. Le scénario un peu brouillon est toutefois porté par des actrices inspirées, dont la géniale Julianne Nicholson, déjà saisissante dans "Paradise" sur Disney +.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Annoncée comme une sorte de successeur spirituel de "Peaky Blinders", la série "Dope Girls" en a l'ambition mais pas forcément les moyens. Ni la rigueur d'écriture.
Maîtrisant avec brio tous les codes du film de gangsters d'époque, cette série offre une immersion captivante dans les entrailles des nuits londoniennes d'après-guerre.
Dope Girls se distingue plutôt par son ton irrévérencieux, ses héroïnes fortes — campées par Eliza Scanlen (Les Quatre Filles du docteur March), Julianne Nicholson (Mare of Easttown) et Umi Myers — et sa réalisation survoltée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Avec son quatuor d'héroïnes déterminées dans l'univers du banditisme de 1918 et son excellente bande-son des plus modernes, cette série britannique s'apparente d'abord à une version féminine de "Peaky Blinders". Mais "Dope Girls" tire parti de façon tout à fait pertinente de ce contexte historique.
On trouve dans cette série certains traits de "Peaky Blinders", mais le voile transgressif qui plane au-dessus de "Dope Girls" ne va jamais au bout de ses ambitions. Mention spéciale pour les comédiennes Julianne Nicholson et Umi Meyers qui survolent ces épisodes, bien aidées par leurs partenaires Eliza Scanlen et Eilidh Fisher.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro Magazine
Des décors, des lumières, des costumes, des compositions picturales romantico-symbolistes flamboyantes. Un casting 5 étoiles. Et la maîtrise parfaite des codes de la série de gangsters. On regrette l’absence de figure masculine intéressante, sauf une.
Ouest France
La réalisation et l’esthétique soignées de la fiction chargée en rebondissements permettent de plonger le spectateur au cœur du Soho survolté d’après-guerre, avec une pointe de modernité et un regard novateur, celui des femmes.
Télé Loisirs
Dans une mise en scène électrique et audacieuse, Dope Girls revoit les codes de la série de gangsters en faisant la part belle aux femmes. Cette série met en avant une période assez peu traitée en fiction, celle du retour des soldats dans la société civile après la Première Guerre mondiale et des conséquences que ce retour a eues pour les femmes.
Le Journal du Dimanche
Il y a du "Peaky Blinders" dans cette série rock (avec sa BO moderne) et farouchement féministe (l'image des hommes n'est pas reluisante) qui se complaît dans la noirceur et la cruauté d'un monde interlope.
Le Parisien
Dans une ambiance entre un "Peaky Blinders" au féminin et la fiévreuse "Babylon Berlin", "Dope Girls" s’appuie sur une esthétique éclatante et assumée. Le scénario un peu brouillon est toutefois porté par des actrices inspirées, dont la géniale Julianne Nicholson, déjà saisissante dans "Paradise" sur Disney +.
Télé 7 Jours
Annoncée comme une sorte de successeur spirituel de "Peaky Blinders", la série "Dope Girls" en a l'ambition mais pas forcément les moyens. Ni la rigueur d'écriture.
Télé Câble Sat
Maîtrisant avec brio tous les codes du film de gangsters d'époque, cette série offre une immersion captivante dans les entrailles des nuits londoniennes d'après-guerre.
Télérama
Dope Girls se distingue plutôt par son ton irrévérencieux, ses héroïnes fortes — campées par Eliza Scanlen (Les Quatre Filles du docteur March), Julianne Nicholson (Mare of Easttown) et Umi Myers — et sa réalisation survoltée.
Téléstar
Avec son quatuor d'héroïnes déterminées dans l'univers du banditisme de 1918 et son excellente bande-son des plus modernes, cette série britannique s'apparente d'abord à une version féminine de "Peaky Blinders". Mais "Dope Girls" tire parti de façon tout à fait pertinente de ce contexte historique.
Sud Ouest
On trouve dans cette série certains traits de "Peaky Blinders", mais le voile transgressif qui plane au-dessus de "Dope Girls" ne va jamais au bout de ses ambitions. Mention spéciale pour les comédiennes Julianne Nicholson et Umi Meyers qui survolent ces épisodes, bien aidées par leurs partenaires Eliza Scanlen et Eilidh Fisher.