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Tout simplement trop pur ! On rigole peut etre plus au début qu'à la fin, mais ce manga de comédie est un des plus drole que j'ai connu et on comprends pourquoi il a été traduit en français.
Un manga grisant, marrant. Cela fait longtemps que je désirais le voir, c'est chose faite et j'en suis content. Je le conseille vivement.
gto et sans aucun doutes un manga classice de nos jours
Un très bon anime qui fait rappeler de bons souvenirs lors de la diffusion sur Europe 2 TV. Dommage qu'il y ait eu très peu d'épisodes. Avec un personnage hors du commun comme Ekichi Onizuka, ils auraient pu faire . L'humour est également au rendez vous dans cette série. J'aurai préféré une fin plus approfondie à celle qu'ils ont mis. Faudrait espérer qu'un jour, une suite sorte. Et c'est pas impossible.
GTO est un mange et un anime très connu et pour cause il est vraiment bon, Eikichi Onizuka, 22 ans, célibataire, libre comme l'air décide de devenir le Great Teacher du Japon, 43 épisodes de pur bonheur, qu'est ce que c'est bon de voir Onizuka avec tous ces délires pervers avoir autant de soucis à chaque épisode pour s'en sortir d'une main de maître. Les personnages sont tous très bien développés et intéressants, en plus d'Onizuka le personnage de Uchiyamada et de Muraï sont hilarants, tellement bon qu'on en redemande une fois La série terminée, les gars sont très drôles, et malgré que l'animation date un peu cela ne derange absolument le plaisir qu'il peut prendre au visionnage. À voir de toute urgence ! 17,5/20
une vrai perle je pete rire a chaque fois que je regarde un episode juste parfait un vrai regal
bon manga, rigolo, mais dommage manqu de baston pour l'ancien plus grand voyou, et la fin moyenne dommage
Si mon avis est partagé sur le manga, il l'est nettement moins sur l'animé, affreux et mal animé. J'ai lu le manga avec beaucoup de plaisir à l'époque, mais aujourd'hui je le trouve haïssable. Tout d'abord, la série doit sa popularité à son héros, apologie revendiquée de la crétinité et de l'inculture, à la fois brutal et moralisateur, qui SAIT ce qui est bien et ce qui est mal. L'auteur, à travers lui, pose en vérité absolue des notions rétrogrades et simplistes. Bien sûr, ce héros si génial explose fréquemment la gueule à des gens pour leur faire comprendre qu'ils ont tort, et ca marche évidemment. La structure de l'histoire est minable. Il s'agit d'une succession d'élèves à problèmes, avec très peu de variété, et pas la peine de chercher bien loin, le coupable est toujours le même : l'adulte lâche, irresponsable, égoïste... Car c'est le grand message du manga, ces pauvres adolescents (qui sont devenus invivables pour des raisons puériles) sont victimes du manque d'affection et de compréhension des adultes. Une autre série d'animation japonaise, NaruTaru, dit quelque chose de semblable mais avec autrement plus d'impact et de pertinence! Ici, le même schéma se répète sans cesse. Si le manga est parfois assez drôle, la série n'a même pas ces moments de légèreté. Le genre de production qu'on aimerait ne pas voir.
Le meilleur manga de tous les temps il est à voir absolument dans sa vie pourquoi ? l'humour le doublage et le scénario est excellent vous passerez un moment hilarant !
Le digne héritier de Nicky Larson : un héros obsédé adepte des pitreries, un formidable branleur représentatif de la jeunesse japonaise révoltée, un prof aux méthodes pour le moins surprenantes et un héros charismatique à ses heures perdues. Du très bon avec une animation plutôt soignée.
L'animation japonaise arrive ici à ce que certains appellent du "lourd" mais il faut plutôt y comprendre "lourdingue" et ras des pâquerettes...
En effet, on a droit à de l'humour bien merdique, de la violence gratuite, et du fan service, le rejet de toute forme d'esprit et de réflexions, le mauvais goût et une certaine forme de 'coolitude' tentant de camoufler l'absence de talent dans le scénario, la mise en scène et le dessin et l'inexistence de toute prise de risque artistique :
Flatter les otakus dans le sens du poil, c'est l'assurance de toucher un large public, de rentrer dans ses frais et en plus, cela ne nécessite aucun effort !
Comme dirait certains, il est toujours plus facile de descendre une côte que de la monter.
Le professeur Onizuka étant l'incarnation de la petite frappe, pervers, violent, vulgaire, frimeur mais qui (par volonté de rendre la série "respectueuse de la morale bien pensante") se donne à fond dans son boulot et se ramasse les pires élèves et des professeurs qui le haïssent, et finit par l'emporter. Voilà.
En effet, on a droit à de l'humour bien merdique, de la violence gratuite, et du fan service, le rejet de toute forme d'esprit et de réflexions, le mauvais goût et une certaine forme de 'coolitude' tentant de camoufler l'absence de talent dans le scénario, la mise en scène et le dessin et l'inexistence de toute prise de risque artistique :
Flatter les otakus dans le sens du poil, c'est l'assurance de toucher un large public, de rentrer dans ses frais et en plus, cela ne nécessite aucun effort !
Comme dirait certains, il est toujours plus facile de descendre une côte que de la monter.
Le professeur Onizuka étant l'incarnation de la petite frappe, pervers, violent, vulgaire, frimeur mais qui (par volonté de rendre la série "respectueuse de la morale bien pensante") se donne à fond dans son boulot et se ramasse les pires élèves et des professeurs qui le haïssent, et finit par l'emporter. Voilà.
J'accroche très peu aux mangas pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayé (je ne rechigne jamais à essayer), mais GTO fait bien partie de mes coups de cœurs, aux côtés notamment de Death Note. Jai particulièrement apprécié le côté cynique, provocateur et absurde du personnage principal Onizuka, professeur pervers anticonformiste et sympathique. Plutôt intelligent et drôle, Great Teacher Onizuka réussit pour son penchant osé et absolument pas puritain, ainsi que pour être un vecteur de messages intéressants, comme les rapports complexes entre adultes et adolescents, professeurs et élèves - mais toujours parfaitement maîtrisé, GTO exploite bien le sujet en évitant ou les clichés de l'ado rebelle accro au sexe et au petard. Même si certains épisodes sont là pour meubler, le resultat est globalement très convaincant.
Cette série m'a passionné de bout en bout. Scénarios impeccables, anticonformistes... et quel charisme ce Onizuka! Ah si seulement j'avais eu un enseignant comme lui lol!
GTO , que dire de ce magnifique mangas , animé ou même Drama , une histoire qui à cette période est inédite , des personnages attachant (Nomura Tomoko <3) Mais surtout Onizuka , qui est surement l'un des personnages les plus emblematique , charismatique que j'ai jamais vu auparavant. Ce manga est pour moi un chef d'oeuvre , car il arrive à méler comédie et drame sans que ça fasse "tache" dans un épisode il arrive à nous faire passer d'un rire aux larmes tellement c'est beau . Ses leçons de vie sont un model , je dirais même que Onizuka est le portrait même de ce que devrait être un prof. Bref un manga / anime/ Drama , magnifique qui fait réfléchir
(Et au passage , les doublages français sont de très bonne qualité !)
(Et au passage , les doublages français sont de très bonne qualité !)
A l’image d’Assassination Classroom (2015) paru une quinzaine d’années plus tard, Great Teacher Onizuka (GTO) fait partie de ces mangas bourrés d’action à l’allure de comédies dramatiques, où le protagoniste se trouve finalement être un professeur totalement déjanté !
Roi dans cette catégorie, GTO séduit.
Il doit ça notamment à son personnage phare : j’ai nommé Eikichi Onizuka. Un pseudo-professeur au passé douteux sorti d’une école minable et dont le seul point fort s’avère finalement être un expert en karaté. Passé les nombreux fous rires que nous provoque le protagoniste à travers des scènes terriblement cocasses, nous prenons du plaisir à observer le portrait d’un homme toujours en alchimie avec ses élèves malgré ses méthodes d’éducation contestables.
Nous avons également des pensées réfléchies à travers les thèmes de l’éducation et de la famille, suffisamment raisonnées pour faire réfléchir mais assez simples et explicites pour être entendues par un public très jeune (un parfait exemple avec les élèves d’Onizuka !).
Concernant le ton, les traits d’humour et de folie qui jaillissent de chaque scène donnent envie d’en découvrir toujours plus sur le monde de GTO et de nouveaux procédés toujours plus décalés d’Onizuka pour résoudre les problèmes. C’est également cet aspect qui permet de sauver un scénario devenant parfois monotone et prévisible.
Le jeu d’acteur est aussi un véritable plus du manga, ou plutôt devrais-je dire les expressions des personnages (à commencer par cet incontournable d’Onizuka) qui marquent les esprits.
GTO ne cesse donc de nous étonner, du premier épisode jusqu’au dernier. Tour à tour on s’esclaffe et on médite à la fois par les élèves d’Onizuka et les spectateurs. Un excellent compromis.
Roi dans cette catégorie, GTO séduit.
Il doit ça notamment à son personnage phare : j’ai nommé Eikichi Onizuka. Un pseudo-professeur au passé douteux sorti d’une école minable et dont le seul point fort s’avère finalement être un expert en karaté. Passé les nombreux fous rires que nous provoque le protagoniste à travers des scènes terriblement cocasses, nous prenons du plaisir à observer le portrait d’un homme toujours en alchimie avec ses élèves malgré ses méthodes d’éducation contestables.
Nous avons également des pensées réfléchies à travers les thèmes de l’éducation et de la famille, suffisamment raisonnées pour faire réfléchir mais assez simples et explicites pour être entendues par un public très jeune (un parfait exemple avec les élèves d’Onizuka !).
Concernant le ton, les traits d’humour et de folie qui jaillissent de chaque scène donnent envie d’en découvrir toujours plus sur le monde de GTO et de nouveaux procédés toujours plus décalés d’Onizuka pour résoudre les problèmes. C’est également cet aspect qui permet de sauver un scénario devenant parfois monotone et prévisible.
Le jeu d’acteur est aussi un véritable plus du manga, ou plutôt devrais-je dire les expressions des personnages (à commencer par cet incontournable d’Onizuka) qui marquent les esprits.
GTO ne cesse donc de nous étonner, du premier épisode jusqu’au dernier. Tour à tour on s’esclaffe et on médite à la fois par les élèves d’Onizuka et les spectateurs. Un excellent compromis.