Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Depuis l’hébergement d’urgence où l’enfant est d’abord placée jusqu’à ses premiers pas dans la vie active, l’héroïne, brillamment interprétée par Emma Boulanouar, porte un message d’espoir d’autant plus fort qu’il n’a rien de spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Théo Costa-Marini incarne l’intolérable avec une radicalité terrassante, au cœur d’une distribution d’une rare homogénéité. Autant de raisons pour ne pas manquer cette oeuvre radicale et exigeante, qui se mue au fil des épisodes en un plaidoyer poignant pour la résilience et la foi en la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
En quatre épisodes, Nismet nous embarque pour un long voyage de la nuit vers le jour, résolument optimiste dans sa façon de refuser le déterminisme social.
Ajoutée à la dimension héroïque qu’a prise le personnage central, cette mise en scène de la discrimination ordinaire finit de faire de "Nismet" le plus modeste des poèmes épiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce qui fascine réellement dans "Nismet", c’est la sensation de durée et d’ampleur romanesque que Faucon parvient à insuffler au fil de quatre "petits" épisodes de quarante-cinq minutes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Primée au Festival de la fiction de la Rochelle 2024, la série raconte en quatre épisodes le voyage d’une écorchée vive qui se relève de l’adversité. Un mélodrame qui parvient à donner de l’espoir, malgré la tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Si certains de ses films ont parfois cédé aux effets démonstratifs, Faucon parvient ici à tirer parti de la durée qu’on lui accorde, quatre épisodes de quarante minutes, pour décrire l’éclosion de Nismet, jeune fille rebelle devenue jeune femme accomplie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Faucon la filme comme une jeune femme de son époque qui conserve son mystère, même si on peut s’interroger sur sa nudité systématique dans les scènes de club, un peu forcée. Une réserve qui n’empêche pas cette mini-série plus que singulière dans le paysage français de toucher sa cible.
Jamais misérabiliste, son récit se veut à la fois franc et optimiste. La réalisation sobre de Philippe Faucon repose en grande partie sur la prestation d'Emma Boulanouar dans le rôle-titre.
Le Parisien
Depuis l’hébergement d’urgence où l’enfant est d’abord placée jusqu’à ses premiers pas dans la vie active, l’héroïne, brillamment interprétée par Emma Boulanouar, porte un message d’espoir d’autant plus fort qu’il n’a rien de spectaculaire.
Télé Loisirs
Théo Costa-Marini incarne l’intolérable avec une radicalité terrassante, au cœur d’une distribution d’une rare homogénéité. Autant de raisons pour ne pas manquer cette oeuvre radicale et exigeante, qui se mue au fil des épisodes en un plaidoyer poignant pour la résilience et la foi en la vie.
Le Figaro Magazine
En quatre épisodes, Nismet nous embarque pour un long voyage de la nuit vers le jour, résolument optimiste dans sa façon de refuser le déterminisme social.
Le Monde
Ajoutée à la dimension héroïque qu’a prise le personnage central, cette mise en scène de la discrimination ordinaire finit de faire de "Nismet" le plus modeste des poèmes épiques.
Libération
Ce qui fascine réellement dans "Nismet", c’est la sensation de durée et d’ampleur romanesque que Faucon parvient à insuffler au fil de quatre "petits" épisodes de quarante-cinq minutes.
Marie Claire
C'est toujours un mystère (et un enchantement) chez Faucon, la grâce avec laquelle il parvient à donner à ses fresques intimes une ampleur inattendue.
Ouest France
Primée au Festival de la fiction de la Rochelle 2024, la série raconte en quatre épisodes le voyage d’une écorchée vive qui se relève de l’adversité. Un mélodrame qui parvient à donner de l’espoir, malgré la tragédie.
Télérama
Si certains de ses films ont parfois cédé aux effets démonstratifs, Faucon parvient ici à tirer parti de la durée qu’on lui accorde, quatre épisodes de quarante minutes, pour décrire l’éclosion de Nismet, jeune fille rebelle devenue jeune femme accomplie.
Les Inrockuptibles
Faucon la filme comme une jeune femme de son époque qui conserve son mystère, même si on peut s’interroger sur sa nudité systématique dans les scènes de club, un peu forcée. Une réserve qui n’empêche pas cette mini-série plus que singulière dans le paysage français de toucher sa cible.
Télé Câble Sat
Un parcours de vie tragique, édifiant et courageux. La jeune Emma Boulanouar incarne le personnage avec une puissance et une justesse remarquables.
Téléstar
Jamais misérabiliste, son récit se veut à la fois franc et optimiste. La réalisation sobre de Philippe Faucon repose en grande partie sur la prestation d'Emma Boulanouar dans le rôle-titre.
Télé 7 Jours
Nismet, magistralement jouée par la jeune Emma Boulanouar, s'impose comme un exemple de résilience et de courage.