D'abord il faut signaler qu'un nombre important de comptes tout frais avec une seule note ou critique ont mis la note maximale à la série. Dommage ça se voit très vite...
La cage est une mise en scène du MMA pour le grand public, ou d'une façon générale le public qui ne connait pas vraiment ce sport. Ça ne s'adresse pas non plus aux personnes qui apprécient une histoire crédible et cohérente.
L'aspect positif, et qui sera le seul pour moi c'est le coup de maître avec ces stars du MMA au fur et à mesure de l'histoire. Certains combats sont aussi de qualité et agréables à suivre, sauf quand on voit les coups retenus ou farfelus.
Pour le reste la narration est juste horrible, petite liste divulgachante de ce qui ne tourne pas rond :
- La carrière de Taylor n'a AUCUN sens sportif, on est dans l'absurde le plus total. Il est impossible de passer d'amateur à pro aussi vite, même dans ces conditions. Je ne liste pas toutes les incohérences sur l'aspect carrière mais tout est absurde.
- Pourquoi le club accepte le sparring du début dans ses locaux alors qu'il est totalement contre le procédé ?
- Pourquoi GSP accepte de coacher, quelles sont ses motivations ? Idem pour Jon Jones.
- D'où sort l'égalité complètement absurde du second combat ?
- Pour moi le pire point, c'est les relations entre Taylor et les autres personnages. Il n'y en a pas une qui fonctionne, aucune ne paraît crédible : la relation avec sa mère, son beau père, son meilleur ami, sa copine, son coach. Quels humains interagissent de la sorte avec leurs proches, dans les deux sens ?
- Pourquoi l'emmener dans les bas fonds du MMA illégal, le tout après un choc pareil, ça n'a aucun sens. Accessoirement comment le méchant savent qu'ils sont là ?
- Le scénario, au delà d'être tres très mal écrit et de multiplier les intrigues initules (qui sont oubliées dés que quelqu'un semble s'en rendre compte a la production ?) est trop prévisible.
Plongée dans le MMA tellement décevante, il y avait tellement mieux à faire, quel dommage !
Je n'aurais même pas la curiosité pour la suite, tellement on se fiche du spectateur.