Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Télé Loisirs
par Isabelle Dhombres
Filmé par un expert de la comédie, le réalisateur et co-scénariste Eric Lavaine, ce festival Artus est d'autant plus séduisant, que ses partenaires lui renvoient la balle à l'unisson.
Le Figaro Magazine
par Céline Fontana
Le personnage "too much", politiquement incorrect, met parfois mal à l'aise de façon jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Emeline Collet
Une bonne sitcom à la française !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Corinne Calmet
Une série originale avec des répliques légères. Moment de détente garanti.
Téléstar
par Romain Nigita
Ce personnage haut en couleur permet à l'humoriste Artus de s'en donner à coeur joie dans des séquences hilarantes de malaise qui rappellent parfois "The Office".
Télérama
par Pierre Langlais
Malheureusement, il est beaucoup plus difficile de souffrir la bêtise abyssale de Gênant sur la durée des douze épisodes que compte cette première saison. Le racisme, la misogynie, la vulgarité de ce crétin de compétition finissent par crisper.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Loisirs
Filmé par un expert de la comédie, le réalisateur et co-scénariste Eric Lavaine, ce festival Artus est d'autant plus séduisant, que ses partenaires lui renvoient la balle à l'unisson.
Le Figaro Magazine
Le personnage "too much", politiquement incorrect, met parfois mal à l'aise de façon jubilatoire.
Le Parisien
Une bonne sitcom à la française !
Télé 7 Jours
Une série originale avec des répliques légères. Moment de détente garanti.
Téléstar
Ce personnage haut en couleur permet à l'humoriste Artus de s'en donner à coeur joie dans des séquences hilarantes de malaise qui rappellent parfois "The Office".
Télérama
Malheureusement, il est beaucoup plus difficile de souffrir la bêtise abyssale de Gênant sur la durée des douze épisodes que compte cette première saison. Le racisme, la misogynie, la vulgarité de ce crétin de compétition finissent par crisper.