Nobles Paysans : Episodes de la saison 2

Hiromu Arakawa nous présente le compost, qui joue un grand rôle dans l'agriculture. Au passage, elle se souvient d'une mésaventure liée à une machine.

La mangaka Hiromu Arakawa aborde le problème des ours au Japon, qui font chaque année de nombreuses victimes. Elle cite notamment un spécimen baptisé OSO18, qui a semé la panique dans l'est de Hokkaido.

Hiromu Arakawa raconte le jour où sa mère lui a ordonné de passer le permis poids lourds, que tout le monde possédait dans les environs de la ferme familiale. Elle nous alerte également sur les dangers de certaines machines agricoles.

Hiromu Arakawa présente à Mlle Ishii les multiples caractéristiques du bœuf japonais. Elle évoque également une visite dans le département de Hyôgo, où l'on élève la race Tajima-gyu.

Hiromu Arakawa nous raconte comment son père a subi un accident ayant nécessité une opération d'urgence. Craignant une issue fatale, elle imaginait déjà les conséquences pour la ferme familiale.

Hiromu Arakawa décrit la capacité de travail des fermières à travers les figures de sa mère, aux journées extrêmement bien remplies, et de sa grand-mère, qui a appris à conduire le tracteur à près de soixante ans.

À la demande de Mlle Ishii, Hiromu Arakawa nous présente différentes races de chevaux que l'on trouve au Japon, en particulier sur les champs de courses.

Hiromu Arakawa se remémore les en-cas à base de légumes qu'elle mangeait durant les pauses, à la ferme familiale.

Nous découvrons dans cet épisode le combat des agriculteurs contre les animaux nuisibles. Pièges, clôtures électriques, chiens de garde... Les moyens varient selon les espèces déprédatrices.

Hiromu Arakawa se remémore son lycée agricole, où elle était membre du club de karaté. Comme les arts plastiques ne figuraient pas au programme, elle assouvissait son envie de dessiner durant les cours d'agronomie.

Nous découvrons les temps héroïques des pionniers de Hokkaido à travers le personnage de Benzô Yoda, le leader de la compagnie Banseisha. Malgré la mécanisation de l’agriculture, le défrichement demeure un travail éprouvant, comme Hiromu Arakawa peut en témoigner.