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Jerem69tt
J'ai jamais vraiment été pris par les séries sur Dragon Ball. L’histoire est pas toujours facile à comprendre et les dialogues et graphismes assez moyen.
Série gonflante à la longue trop de longueurs et de redites dommage car cela partait bien.
L'idée de base n'est finalement qu'un prétexte à cette série, avec ses scènes de combats jouissifs.
Akira Toruyama est la référence absolut du mangas, il a fait de DBZ, tout simplement l'un des meilleurs animés Nippon mais du monde entier pour les enfants, un dessin animé qu'on n'est pas pret d'oublier.
dragon ball z à bercer mon adolescence les aventures de goku et ses amis encore à ce jour je ne les loupent pas un grand moment de nostalgie m'envahie à chaque difusion.
Une excellente adaptation des Tome 17 à 42 du manga dragon ball.
Des musiques sublimes et le doublage originale
( version Japonaise) est géniaux .
Le doublage Français est très bien aussi malgré quelques erreurs de traduction.
Certains épisodes ne sont pas une adaptation du manga mais une intrigue originale.
Quelques une sont intéressante ( L’arc Garlic Jr , l’arc tournois du monde des morts) et d’autres ennuyeuse.
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Des musiques sublimes et le doublage originale
( version Japonaise) est géniaux .
Le doublage Français est très bien aussi malgré quelques erreurs de traduction.
Certains épisodes ne sont pas une adaptation du manga mais une intrigue originale.
Quelques une sont intéressante ( L’arc Garlic Jr , l’arc tournois du monde des morts) et d’autres ennuyeuse.
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Ah Dragon Ball, souvenirs, souvenirs.. En rentrant de l'école, petite tasse de chocolat à la main, lové dans le canapé, et c'est parti: en entonnant le générique du début que je connais par coeur, je m'apprête à assister à une nouvelle bataille épique entre Sangoku et Freezer. Ou entre Végéta et Cell. Ou encore entre Trunks et Bou. C'est là un des premiers atout de ce manga: la diversité de ses personnages, chacun ayant ses propres caractéristiques, pouvoirs, couleurs surtout. Car c'est tout en couleurs Dragon Ball. C'est plus de 250 épisodes à voir évoluer ses personnages favoris, ses héros d'un temps, ses fantasmes de gosse en quête de héros et de sensations fortes. Enfin gosse, je suis encore capable d'enchaîner 10 à 20 épisodes sans problème aujourd'hui. Et avec le même plaisir. A la manière des disney, il est certains mangas qui sont d'une telle qualité qu'il attire petits et grands. Et Dragon Ball en est.
Je ne vois pas de manga plus mithique que DBZ, avec ses défauts bien sur mais toutes les années ou il ma fais rever m’empêche d'être vraiment critique à son sujet, et vu le succès depuis plus de 20 ans je ne dois pas être le seul
stallonefan62
Epique , grandiose, fantastique !! Tout simplement inégalable !! Du pur plaisir de revoir le manga culte de mon enfance et de maintenant encore !! Que de moments culte gravés à jamais dans la tête !! Des combats formidables et une Bande son incroyable !!
Dragon Ball eeee Z e Z e Z (j’ai encore la chanson dans la tête), c’est une série pour adolescents qui ne se finit jamais. C’est le genre de série qu’on regarde tous les jours en finissant les cours au collège. On hésite brièvement entre Next et ça, mais on préfère finalement regarder un Kaméhaméha de 3 épisodes. Mythique mais assez lassant. 2,5/5
7eme critique
Ah DBZ, quel souvenir ! C'est bien le seul dessin-animé qui nous faisait sortir du lit le mercredi matin ! L'univers vaste et bien pensé de "Dragon ball Z" était tellement passionnant qu'on en demandait toujours plus, au point d'acheter les cartes, les figurines, les jeux-vidéos etc... C'est violent, c'est extrêmement répétitif (certains épisodes proposaient uniquement une bataille de 25 minutes sans faire avancer l'histoire d'un seul centimètre), mais qu'est ce que c'était bon. De multiples personnages à la morphologie bien différente (certains avaient des queues, d'autres pas de nez, d'autres trois yeux...) se livraient de véritables batailles nucléaires, des muscles disproportionnés ou des boules de feu ravageaient tout sur leur passages, mais aussi des transformations et des fusions spectaculaires ou encore des boules de cristal au pouvoir surprenant, bienvenue dans le quotidien de Sangoku et ses amis, ceux qui veillaient sur la planète tout en la détruisant lors de ses combats interminables. Le dessin-animé japonais le plus culte de tous les temps, celui qui intervient entre "Dragon ball" & "Dragon ball GT", est devenu une véritable référence en la matière, marquant sur son passage toute la génération masculine adepte du Club Dorothée.
Je suis obligé d’admettre que cette série d’animation compte beaucoup pour un très grand nombre de personnes et surement à juste titre. Néanmoins, personnellement, je n’ai pas du tout aimé Dragon Ball Z. Pour commencer, je ne suis pas fan de la mise en scène et de la façon des images de type Mangas. De plus, je n’ai pas du tout accroché au concept et la série ne m’a pas intéressé. J’ai regardé quelques épisodes et ça m’a suffi.
Abarai
Un dessin animé culte, que l'on a tous pu découvrir grâce au Club Dorothée. Dragon Ball Z restera un animé important, inspiré du célèbre manga de Akira Toriyama. Pourtant, il faut bien avouer que des longueurs se faufilent partout dans cette série, que ce soit pour des combats interminables ou des résumé des épisodes précédents sans fin.
Dragon Ball Z, le dessin animé de mon enfance avec Les Chevaliers du zodiaque, dessin animé culte, adapté d'un manga culte et toujours diffusé aujourd'hui, c'est dire. Dragon Ball Z est la suite de Dragon Ball. Sangoku, un guerrier de l'espace, est maintenant adulte, il a un enfant Sangohan qu'il a eu avec sa femme Chichi jusqu'au jour où Raditz un autre guerrier de l'espace, qui est son frère, le force à le rejoindre. Devant son refus, il kidnappe Sangohan et Sangoku est forcé de s'allier avec Satan Petit Coeur, un namek, son ancien ennemi, pour aller le délivrer. Voici pour le début de la saga qui comportera presque 300 épisodes et s'étalant jusqu'à Boo. La profonde empathie qu'on avait pour Sangoku, sa gentillesse, celle des ses amis, le charisme des méchants (Freezer qui me faisait flipper quand j'étais gosse, Cell, Boo) faisait que ce dessin animé justifiait à lui seul de regarder le Club Dorothée. Quitte à se taper des Ranma 1/2 ou des Max et Compagnie avant. Pourtant, nous les français étions mal lotis. Déjà, fallait se taper le générique horrible d'Ariane, ensuite il y avait les problèmes de censure (le combat entre Nappa et Ten Shin Han ou entre Krilin et Freezer, Tortue Géniale) et la VF peut-être pas aussi pourrie que Ken le Survivant mais le nom des attaques que balance les persos par exemple n'est pas prononcé à part le Kaméhaméha qu'on allait reproduire avec des potes après l'épisode. Concernant le dessin animé en lui-même, celui-ci souffrait d'un manque de rythme évident et à contrario de combats trop longs pourris par trop de flashbacks ainsi que d'un manichéisme primaire hormis Végéta qui restera ambigu jusqu'au bout. Pas pour rien que pour beaucoup, Trunks et lui apparaissent comme les personnages préférés des fans. Comme je l'ai dit plus haut, Dragon Ball Z est intemporel, les épisodes passent encore sur les chaines du câble et on a encore aujourd'hui des jeux vidéos sur l'univers de DBZ.
Beaucoup d'excès de bien des façons dans la narration mais on s'attache aux personnages. Tout est trop poussé dans des caractères comiques, mauvais ou ridicules avec un univers et vocabulaire cosmologique suggestif assez développé pour que ce ne soit pas un peu nocif.