Monstres : L'histoire de Lyle et Erik Menendez : Critiques de la presse
Monstres : L'histoire de Lyle et Erik Menendez
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,5
11 titres de presse
Le Monde
Télé Loisirs
Ecran Large
Le Journal du Geek
Le Parisien
Télé 7 Jours
Télérama
Première
Le Point
Téléstar
Télé Loisirs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Audrey Fournier
Les puristes seront déçus, mais c’est là qu’il faut absolument rester devant le poste, et regarder "Monstres: L’histoire de Lyle et Erik Menendez" jusqu’au bout, car il pourrait s’agir de la meilleure série post-#metoo de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Emilie Lopez
POUR : Cette oeuvre marquante est à la fois un objet télévisuel superbe, à la réalisation impeccable et aux performances d'acteurs prodigieuses, ainsi qu'une série nous poussant à réfléchir sur notre propre système de valeurs.
Ecran Large
par JL Techer
Affichant un voyeurisme assumé, la série questionne autant la manière dont ces monstres américains ont été fabriqués, que la fascination du public pour le True Crime. Une réelle réussite plastique et philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Ce Monstres n'est pas Jeffrey Dahmer et à aucun moment elle n'essaie de l'être. Il y a d'abord de la réticence envers L'histoire de Lyle et Erik Menendez avant que cela se transforme en une énigme fascinante où le vrai et le faux jouent sur le même tableau.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Pauline Conradsson
L’exploration des équilibres — et déséquilibres — familiaux y est puissante. C’est là où la série, bien dans son époque, se fait plus intéressante, se demandant, in fine, d’où vient le mal et qui sont les vrais monstres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Sarah Ibri
Ryan Murphy reste fidèle à ses obsessions et livre une reconstitution minutieuse, tout en posant cette question dérangeante : qui sont les monstres ?
Télérama
par Éléonore Colin
Ce thriller à l’esthétique glacée met en avant les mécanismes de la barbarie ordinaire dans une famille dysfonctionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Charles Martin
De révélations en témoignages, les auteurs sèment le doute et déroulent méticuleusement (9 épisodes, c'est trop) leur histoire tordue. Qui dit vrai ? Qui se cherche des circonstances atténuantes ? Le questionnement est intéressant mais tend à se dissoudre dans un récit difficilement soutenable, où la moindre émotion finit par se liquéfier totalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Point
par Katia De la Ballina
Malgré le talent des interprètes, on finit par rester étrangement détachés devant cette série, dont on peine à saisir le point de vue. Sans compter le malaise devant la frontière ténue entre le documentaire et la fiction, la réalité et le fantasmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Téléstar
par Romain Nigita
Après une première saison complaisante consacrée au tueur en série Jeffrey Dahmer, ce fait divers fait également dans le tapageur bas de gamme, loin de la réussite de "Law & Order : True Crime" sur le même sujet.
Télé Loisirs
par Aubéry Mallet
CONTRE : Bien que parfaitement incarnées..., ces versions fictives de Lyle et Erik Menendez sont unidimentionnelles et n'évolue que trop peu au fil des épisodes.... Et on s'ennuie devant les derniers épisodes, bien trop longs.
Le Monde
Les puristes seront déçus, mais c’est là qu’il faut absolument rester devant le poste, et regarder "Monstres: L’histoire de Lyle et Erik Menendez" jusqu’au bout, car il pourrait s’agir de la meilleure série post-#metoo de l’année.
Télé Loisirs
POUR : Cette oeuvre marquante est à la fois un objet télévisuel superbe, à la réalisation impeccable et aux performances d'acteurs prodigieuses, ainsi qu'une série nous poussant à réfléchir sur notre propre système de valeurs.
Ecran Large
Affichant un voyeurisme assumé, la série questionne autant la manière dont ces monstres américains ont été fabriqués, que la fascination du public pour le True Crime. Une réelle réussite plastique et philosophique.
Le Journal du Geek
Ce Monstres n'est pas Jeffrey Dahmer et à aucun moment elle n'essaie de l'être. Il y a d'abord de la réticence envers L'histoire de Lyle et Erik Menendez avant que cela se transforme en une énigme fascinante où le vrai et le faux jouent sur le même tableau.
Le Parisien
L’exploration des équilibres — et déséquilibres — familiaux y est puissante. C’est là où la série, bien dans son époque, se fait plus intéressante, se demandant, in fine, d’où vient le mal et qui sont les vrais monstres.
Télé 7 Jours
Ryan Murphy reste fidèle à ses obsessions et livre une reconstitution minutieuse, tout en posant cette question dérangeante : qui sont les monstres ?
Télérama
Ce thriller à l’esthétique glacée met en avant les mécanismes de la barbarie ordinaire dans une famille dysfonctionnelle.
Première
De révélations en témoignages, les auteurs sèment le doute et déroulent méticuleusement (9 épisodes, c'est trop) leur histoire tordue. Qui dit vrai ? Qui se cherche des circonstances atténuantes ? Le questionnement est intéressant mais tend à se dissoudre dans un récit difficilement soutenable, où la moindre émotion finit par se liquéfier totalement.
Le Point
Malgré le talent des interprètes, on finit par rester étrangement détachés devant cette série, dont on peine à saisir le point de vue. Sans compter le malaise devant la frontière ténue entre le documentaire et la fiction, la réalité et le fantasmé.
Téléstar
Après une première saison complaisante consacrée au tueur en série Jeffrey Dahmer, ce fait divers fait également dans le tapageur bas de gamme, loin de la réussite de "Law & Order : True Crime" sur le même sujet.
Télé Loisirs
CONTRE : Bien que parfaitement incarnées..., ces versions fictives de Lyle et Erik Menendez sont unidimentionnelles et n'évolue que trop peu au fil des épisodes.... Et on s'ennuie devant les derniers épisodes, bien trop longs.