Monstres : L'histoire de Lyle et Erik Menendez : Critiques de la presse
Monstres : L'histoire de Lyle et Erik Menendez
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,6
6 titres de presse
Le Monde
Le Journal du Geek
Le Parisien
Télé Loisirs
Première
Le Point
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Audrey Fournier
Les puristes seront déçus, mais c’est là qu’il faut absolument rester devant le poste, et regarder "Monstres: L’histoire de Lyle et Erik Menendez" jusqu’au bout, car il pourrait s’agir de la meilleure série post-#metoo de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Ce Monstres n'est pas Jeffrey Dahmer et à aucun moment elle n'essaie de l'être. Il y a d'abord de la réticence envers L'histoire de Lyle et Erik Menendez avant que cela se transforme en une énigme fascinante où le vrai et le faux jouent sur le même tableau.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Pauline Conradsson
L’exploration des équilibres — et déséquilibres — familiaux y est puissante. C’est là où la série, bien dans son époque, se fait plus intéressante, se demandant, in fine, d’où vient le mal et qui sont les vrais monstres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Aubéry Mallet
Le déroulement de la série est moins fragmenté que Dahmer, évitant les nombreux allers-retours temporels, certainement car il ne s’agit pas ici de multiples meurtres, mais d’un seul assassinat. Cependant, cette saison 2 de "Monstre" n’est pas sans défaut.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Première
par Charles Martin
De révélations en témoignages, les auteurs sèment le doute et déroulent méticuleusement (9 épisodes, c'est trop) leur histoire tordue. Qui dit vrai ? Qui se cherche des circonstances atténuantes ? Le questionnement est intéressant mais tend à se dissoudre dans un récit difficilement soutenable, où la moindre émotion finit par se liquéfier totalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Point
par Katia De la Ballina
Malgré le talent des interprètes, on finit par rester étrangement détachés devant cette série, dont on peine à saisir le point de vue. Sans compter le malaise devant la frontière ténue entre le documentaire et la fiction, la réalité et le fantasmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Monde
Les puristes seront déçus, mais c’est là qu’il faut absolument rester devant le poste, et regarder "Monstres: L’histoire de Lyle et Erik Menendez" jusqu’au bout, car il pourrait s’agir de la meilleure série post-#metoo de l’année.
Le Journal du Geek
Ce Monstres n'est pas Jeffrey Dahmer et à aucun moment elle n'essaie de l'être. Il y a d'abord de la réticence envers L'histoire de Lyle et Erik Menendez avant que cela se transforme en une énigme fascinante où le vrai et le faux jouent sur le même tableau.
Le Parisien
L’exploration des équilibres — et déséquilibres — familiaux y est puissante. C’est là où la série, bien dans son époque, se fait plus intéressante, se demandant, in fine, d’où vient le mal et qui sont les vrais monstres.
Télé Loisirs
Le déroulement de la série est moins fragmenté que Dahmer, évitant les nombreux allers-retours temporels, certainement car il ne s’agit pas ici de multiples meurtres, mais d’un seul assassinat. Cependant, cette saison 2 de "Monstre" n’est pas sans défaut.
Première
De révélations en témoignages, les auteurs sèment le doute et déroulent méticuleusement (9 épisodes, c'est trop) leur histoire tordue. Qui dit vrai ? Qui se cherche des circonstances atténuantes ? Le questionnement est intéressant mais tend à se dissoudre dans un récit difficilement soutenable, où la moindre émotion finit par se liquéfier totalement.
Le Point
Malgré le talent des interprètes, on finit par rester étrangement détachés devant cette série, dont on peine à saisir le point de vue. Sans compter le malaise devant la frontière ténue entre le documentaire et la fiction, la réalité et le fantasmé.