Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Les cinq épisodes sont un excellent divertissement macabre, surnaturel et très drôle. Avec son humour noir, Lars von Trier est sans pitié avec le politiquement correct et le mouvement woke.
Ce qui faisait la principale qualité de la série, son humour délirant, est encore plus présent : si d’aventure cette saison constitue le testament cinématographique de Lars von Trier, on pourra dire qu’il a fini en fanfare.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
In fine le déroulé ésotérique du récit, lardé de références qui raviront les écumeurs de grimoires, évoque une véritable messe noire, inscrivant le geste de Von Trier, atteint de Parkinson, dans une emballante embardée sataniste dont le frontal The House That Jack Built n’était qu’un avant-goût.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette troisième saison ressemble aux précédentes, aussi drôle, aussi folle, aussi inventive, mais à la douleur universelle s’ajoute la certitude de la fin prochaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Lars Von Trier malmène une fois de plus son public : entre rire et horreur, cette troisième saison très fidèle à l'esprit des premières attire son spectateur dans la spirale infernale d'un voyeurisme aussi drôle que laid dont semble émerger un discours sur le fantastique de la création danoise. Une œuvre plus étonnante que plaisante, mais une œuvre à coup sûr.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro Magazine
Les cinq épisodes sont un excellent divertissement macabre, surnaturel et très drôle. Avec son humour noir, Lars von Trier est sans pitié avec le politiquement correct et le mouvement woke.
Le Parisien
Ce qui faisait la principale qualité de la série, son humour délirant, est encore plus présent : si d’aventure cette saison constitue le testament cinématographique de Lars von Trier, on pourra dire qu’il a fini en fanfare.
Libération
In fine le déroulé ésotérique du récit, lardé de références qui raviront les écumeurs de grimoires, évoque une véritable messe noire, inscrivant le geste de Von Trier, atteint de Parkinson, dans une emballante embardée sataniste dont le frontal The House That Jack Built n’était qu’un avant-goût.
Le Monde
Cette troisième saison ressemble aux précédentes, aussi drôle, aussi folle, aussi inventive, mais à la douleur universelle s’ajoute la certitude de la fin prochaine.
Ecran Large
Lars Von Trier malmène une fois de plus son public : entre rire et horreur, cette troisième saison très fidèle à l'esprit des premières attire son spectateur dans la spirale infernale d'un voyeurisme aussi drôle que laid dont semble émerger un discours sur le fantastique de la création danoise. Une œuvre plus étonnante que plaisante, mais une œuvre à coup sûr.
Les Inrockuptibles
Vingt-cinq ans après sa première série, Lars von Trier s’enlise dans une suite aux airs de cloaque qui devrait surtout plaire aux fans.