Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Collider
par Therese Lacson
En tant que courte série de quatre épisodes, Obsession est une histoire tordue et alléchante qui ne manquera pas d'intriguer tous ceux qui aiment ce genre unique.
La critique complète est disponible sur le site Collider
The Guardian
par Lucy Mangan
Vraisemblablement, les étranges expressions faciales des acteurs de ce drame déplorable sont censées exprimer un "désir à peine contrôlable". En réalité, elles ont l'air de vouloir dire "je regrette vraiment d'avoir manger cette huître pas fraîche."
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
The Telegraph
par Helen Brown
Ni l'intrigue – ni les dialogues originaux de Hart – ne conviennent à 2023. … Obsession ressemble à une histoire dont on a éliminé tout intérêt.
La critique complète est disponible sur le site The Telegraph
The Daily Beast
par Barry Levitt
Une série qui échoue fondamentalement dans son sujet principal - l'érotisme chaud et torride ! - en livrant à la place certaines des scènes de sexe les plus tièdes et vides qu'on ait vu récemment.
La critique complète est disponible sur le site The Daily Beast
The Independent
par Jessie Thompson
Les personnages trop lisses laissent les acteurs impuissants. Seule Varma s'échappe avec sa dignité intacte. Murphy, aussi bon qu'Ann Gallagher dans Happy Valley, doit jouer les objets sexuels, tandis que la performance d'Armitage semble se résumer à "un homme essayant de ne pas avoir d'érection".
La critique complète est disponible sur le site The Independent
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Si Netflix pensait nous donner chaud avec cette nouvelle série, celle-ci nous met plutôt mal à l'aise. Ce drame érotique ne présente ni profondeur, ni dimension psychologique.
Télérama
par Michel Bezbakh
Le grand motif de la série, ce sont les sourcils froncés. Il faut dire que Richard Armitage n’a pas beaucoup d’expressions en stock, et que les sourcils froncés sont un bon moyen d’exprimer le tourment, surtout quand on regarde hors-champ, là-bas au loin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
Morgan Lloyd Malcolm et Benji Walters proposent un remake sériel dont la ringardise n’a d’égale que l’esprit de sérieux. Le pire du pire étant probablement le sentiment de gêne qui se dégage des scènes de sexe, glaciales quand elles ne sont pas ridicules...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Collider
En tant que courte série de quatre épisodes, Obsession est une histoire tordue et alléchante qui ne manquera pas d'intriguer tous ceux qui aiment ce genre unique.
The Guardian
Vraisemblablement, les étranges expressions faciales des acteurs de ce drame déplorable sont censées exprimer un "désir à peine contrôlable". En réalité, elles ont l'air de vouloir dire "je regrette vraiment d'avoir manger cette huître pas fraîche."
The Telegraph
Ni l'intrigue – ni les dialogues originaux de Hart – ne conviennent à 2023. … Obsession ressemble à une histoire dont on a éliminé tout intérêt.
The Daily Beast
Une série qui échoue fondamentalement dans son sujet principal - l'érotisme chaud et torride ! - en livrant à la place certaines des scènes de sexe les plus tièdes et vides qu'on ait vu récemment.
The Independent
Les personnages trop lisses laissent les acteurs impuissants. Seule Varma s'échappe avec sa dignité intacte. Murphy, aussi bon qu'Ann Gallagher dans Happy Valley, doit jouer les objets sexuels, tandis que la performance d'Armitage semble se résumer à "un homme essayant de ne pas avoir d'érection".
Télé Loisirs
Si Netflix pensait nous donner chaud avec cette nouvelle série, celle-ci nous met plutôt mal à l'aise. Ce drame érotique ne présente ni profondeur, ni dimension psychologique.
Télérama
Le grand motif de la série, ce sont les sourcils froncés. Il faut dire que Richard Armitage n’a pas beaucoup d’expressions en stock, et que les sourcils froncés sont un bon moyen d’exprimer le tourment, surtout quand on regarde hors-champ, là-bas au loin.
Le Monde
Morgan Lloyd Malcolm et Benji Walters proposent un remake sériel dont la ringardise n’a d’égale que l’esprit de sérieux. Le pire du pire étant probablement le sentiment de gêne qui se dégage des scènes de sexe, glaciales quand elles ne sont pas ridicules...