Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mis en scène par Hideo Nakata et Masaki Nishiura, "The Days" parvient à un réalisme postapocalyptique que bien des superproductions peuvent lui envier. L’autre versant de la série observe avec un détachement glacial l’agitation des différentes bureaucraties impliquées, le gouvernement, la compagnie Toepco qui gère la centrale, les diverses agences de tutelle de l’énergie nucléaire, dont la frénésie parvient à se conformer malgré tout au formalisme qui préside aux relations professionnelles. De quelque côté qu’on la regarde, la série fascine et terrifie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
par Benjamin Chapon
The Days réussit à installer une tension dramatique, grâce à sa reconstitution minutieuse et haletante (et une scène de tsunami très spectaculaire).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Télérama
par Pierre Langlais
La méticulosité de The Days n’empêche pas, ici ou là, la terreur de surgir. La conscience des ravages des radiations, le bruit funeste des détecteurs de millisieverts, la menace qui pesa un instant sur le Japon tout entier – un tiers du territoire du pays aurait pu devenir inhabitable –, suffisent à tendre son récit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Sandrine Bajos
Si on est vite embarqué par cette histoire dont on connaît la fin, si la tension est de plus en plus forte, on se perd malheureusement parfois dans les très nombreux discours scientifiques autour des kilopascals et autres dépressurisations, sans y comprendre grande chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Lino Cassinat
Pas déplaisante, The Days n'est pourtant pas à la hauteur de son sujet, qui n'a peut-être pas été trahi dans les faits, mais dont l'esprit a été abandonné.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Marius Chapuis
Elle manque de rythme, peine à faire vivre la plupart de ses personnages, et occulte dans son épilogue le retour en grâce du nucléaire au Japon, lui préférant des grandes phrases un peu vides qui n’engagent à rien. Et pourtant la série (...) fait son petit effet en rappelant l’imminence du désastre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
Mis en scène par Hideo Nakata et Masaki Nishiura, "The Days" parvient à un réalisme postapocalyptique que bien des superproductions peuvent lui envier. L’autre versant de la série observe avec un détachement glacial l’agitation des différentes bureaucraties impliquées, le gouvernement, la compagnie Toepco qui gère la centrale, les diverses agences de tutelle de l’énergie nucléaire, dont la frénésie parvient à se conformer malgré tout au formalisme qui préside aux relations professionnelles. De quelque côté qu’on la regarde, la série fascine et terrifie.
20 Minutes
The Days réussit à installer une tension dramatique, grâce à sa reconstitution minutieuse et haletante (et une scène de tsunami très spectaculaire).
Télérama
La méticulosité de The Days n’empêche pas, ici ou là, la terreur de surgir. La conscience des ravages des radiations, le bruit funeste des détecteurs de millisieverts, la menace qui pesa un instant sur le Japon tout entier – un tiers du territoire du pays aurait pu devenir inhabitable –, suffisent à tendre son récit.
Le Parisien
Si on est vite embarqué par cette histoire dont on connaît la fin, si la tension est de plus en plus forte, on se perd malheureusement parfois dans les très nombreux discours scientifiques autour des kilopascals et autres dépressurisations, sans y comprendre grande chose.
Ecran Large
Pas déplaisante, The Days n'est pourtant pas à la hauteur de son sujet, qui n'a peut-être pas été trahi dans les faits, mais dont l'esprit a été abandonné.
Libération
Elle manque de rythme, peine à faire vivre la plupart de ses personnages, et occulte dans son épilogue le retour en grâce du nucléaire au Japon, lui préférant des grandes phrases un peu vides qui n’engagent à rien. Et pourtant la série (...) fait son petit effet en rappelant l’imminence du désastre.