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Note moyenne
4,2
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Votre avis sur Mad Men ?
5
108 critiques
4
113 critiques
3
25 critiques
2
21 critiques
1
11 critiques
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2 critiques
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Des personnages finement ciselés et des histoires bien écrites. Le tout sur un fond historico-sociologique passionnant. Tout simplement parfait.
Superbe recréation de la naissance du marketing moderne made in usa qui est aussi une part de notre histoire moderne
Matthew Weiner réussit à créer une série qui sort des sentiers battus, le milieu de la publicité dans les années 60 à New York est magnifiquement retranscrit dans "Mad Men". Esthétiquement, on ne peut pas faire mieux, les hommes sont en costard, cigarette à la bouche et se servent des verres de Whisky, c'est d'une classe folle. Le personnage Don Draper (Jon Hamm) commande des Old Fashioned lorsqu'il est au bar, l'alcoolisme est un des ses vices mais ce n'est malheureusement pas le seul! Ce personnage est incroyable et passionnant pendant les 7 saisons, Jon Hamm a le rôle de sa vie!. Les moeurs de l'époque sont bien décrites : misogynie, femmes objets, alcoolisme, infidélité, la femme est au foyer. De plus, on est encore mieux plongé dans les sixties par la description des actualités de l'époque comme la guerre du Vietnam, la mort de Marilyn Monroe et de JFK. Les personnages sont tous bien différents et intéressants à leur manière: Peggy Olson (Elisabeth Moss) malgré sa laideur est attachante, Joannie (Christina Hendricks) est pulpeuse et plantureuse, Betty (January Jones) est sublime, Roger Sterling (John Slattery) est drôle. Cette série est un sans faute et un chef d'oeuvre du petit écran. A voir sans modération, les 7 saisons passeront très vite.
Une superbe première saison pour cette série d'ambiance extrêmement classeuse et léchée, qui nous fait découvrir des personnages complexes, modernes et pourtant représentatifs de leur époque.
Comment vous donner envie de voir Mad Men ?
Du générique à l'épilogue c'est une grande série. Inutile de tergiverser. A travers la vie de Don Draper, on est immergé dans le New York des années 60, au sein d'une agence publicitaire en plein essor. Maintes fois récompensée, Mad Men qui tire son nom de l'avenue Madison où étaient regroupées les agences lors de la naissance du marketing, est une de ses grandes séries à la réalisation impeccable d'austérité, avec des épisodes faisant parfois office de chef d'oeuvre. Une série du niveau des Sopranos sur laquelle, le créateur Matthew Weiner avait travaillé en tant que scénariste et producteur.
Complexe à l'image de ses personnages qui prennent vie comme les différents lieux de la ville de New York, Mad Men brille et captive grâce au caractère imprévisible des situations qui nous emmèneront inexorablement vers ce que le générique laisse présager depuis 2007. Betty Draper, Peggy Olson et j'en passe, des noms et des personnages épais comme des dictionnaires, gouvernés par leurs peurs et leurs désirs, imparfaits et donc débordants d'humanité.
Réussie à bien des niveaux, la petite perle vintage d'AMC nous fait aussi revivre les grands événements de l'histoire à travers les yeux de l'époque.
Mad men est d'une subtilité rare, bourrée de clins d’œils à elle-même avec des acteurs qui se fondent dans leur personnage. Un coup de maître dans le monde du petit écran.
Du générique à l'épilogue c'est une grande série. Inutile de tergiverser. A travers la vie de Don Draper, on est immergé dans le New York des années 60, au sein d'une agence publicitaire en plein essor. Maintes fois récompensée, Mad Men qui tire son nom de l'avenue Madison où étaient regroupées les agences lors de la naissance du marketing, est une de ses grandes séries à la réalisation impeccable d'austérité, avec des épisodes faisant parfois office de chef d'oeuvre. Une série du niveau des Sopranos sur laquelle, le créateur Matthew Weiner avait travaillé en tant que scénariste et producteur.
Complexe à l'image de ses personnages qui prennent vie comme les différents lieux de la ville de New York, Mad Men brille et captive grâce au caractère imprévisible des situations qui nous emmèneront inexorablement vers ce que le générique laisse présager depuis 2007. Betty Draper, Peggy Olson et j'en passe, des noms et des personnages épais comme des dictionnaires, gouvernés par leurs peurs et leurs désirs, imparfaits et donc débordants d'humanité.
Réussie à bien des niveaux, la petite perle vintage d'AMC nous fait aussi revivre les grands événements de l'histoire à travers les yeux de l'époque.
Mad men est d'une subtilité rare, bourrée de clins d’œils à elle-même avec des acteurs qui se fondent dans leur personnage. Un coup de maître dans le monde du petit écran.
Superbe description de la vie d’une agence de publicité dans les années 60, cette série captive puis s’essouffle un peu : les épisodes de la dernière saison semblent faire du remplissage. La photo est superbe, la reconstitution magnifique, les acteurs excellent ; cependant le scénario est creux, ce qui rend la série ennuyeuse par moment.
Après une première saison molle et pas très intéressante retantée 13 ans après; la série s'est avérée être d'une intelligence rare et surtout passionnante pour chaque personnage, chaque décors, chaque costume.
Jouée et mise en scène divinement, réaliste, témoin d'époques passées mais avec raffinement.
Il se passe des choses mais avec un rythme normal ; le rythme de la vie.
Et les acteurs... Élisabeth Moss et les autres...
La vie d'une entreprise, et les vies personnelles.
Jouée et mise en scène divinement, réaliste, témoin d'époques passées mais avec raffinement.
Il se passe des choses mais avec un rythme normal ; le rythme de la vie.
Et les acteurs... Élisabeth Moss et les autres...
La vie d'une entreprise, et les vies personnelles.
Mad Men, une série encensée par le public comme la critique, plonge le spectateur dans les années soixante, version Madison Avenue, New York, domaine des agences de publicité réinventant la consommation. Sans fil rouge, parfois même sans réel scénario, chaque épisode nous invite à explorer les facettes de cette époque si proche et si lointaine à la fois. Les hippies n'étaient pas sur le devant de la scène, le rock était tout juste toléré, le tabac n'était pas encore nocif et ses volutes de fumées peuplaient les bureaux, les maisons et les transports en commun, l'alcool était aussi indispensable que l'eau, les négros restaient à leur place de sous fifres, et les femmes étaient considérées comme des objets. Tout allait pour le mieux dans ce meilleur des mondes d'hommes, où l'appétit du consommateur devait être stimulé autrement pour poursuivre la marche en avant triomphante des Etats-Unis capitalistes d’Amérique. Pas de scénario donc, seulement des personnages, avec pour épicentre Donald Draper. Responsable création, marié, deux enfants, une maîtresse et quarante cigarettes par jour accompagné de quelques verres. On croit à une esquisse d'histoire autour de son passé opaque, mais finalement qu'importe, tout l'intérêt de cette série repose sur la minutieuse reconstitution de cette époque, au point que c'en est le principal, si ce n'est le seul intérêt. Pas de cliffangher, pas de situations rocambolesques. Tout est lisse, affûté, parfaitement agencé, sous entendus et regards en coins sont maîtres des lieux. Une belle réussite artistique donc, avec une ambiance parfaite, mais une certaine lassitude se fait sentir sur la durée.
maxime ...
Mad Men, Saison 2. Encore plus addictive et vertigineuse, tout aussi intelligente et passionnante, cette suite m'a une nouvelle fois bouleversé ! Je n'ai même pas de mots ... Je me languis déjà de découvrir la saison 3 et de constater ses avancées.
maxime ...
Cette suite n'échappe pas à la règle, parfait de A à Z. Mad Men, saison 4, un régal à suivre et à déguster je continue d’enfiler les épisodes à la chaîne et je ne m'en lasse toujours pas ...
Une belle photographie, excellente reconstitution de l'époque autant pour les décors, outils, costumes que dans les rapports sociaux etc Très intéressant également l'immersion au coeur d'une grande agence de publicité New Yorkaise à l'apogée de la communication dans ses glorieuses années (1950 à 90)
Naturellement le charisme de ses personnages principaux constitue aussi grandement le succès de cette série multi primée
Naturellement le charisme de ses personnages principaux constitue aussi grandement le succès de cette série multi primée
Les meilleurs séries sont celles qui parviennent à captiver sur la durée sans s’essouffler après une saison, celle-ci en fait indéniablement partie. Le manque d'action, l'aspect peu attirant du thème et la redondance de certaines situations (alcool, cigarette, coucherie...) en rebutera plus d'un mais pour la plupart qui seront conquis par les excellents dialogues, le visuel sublime et les acteurs aussi justes qu'attachants classeront sans problème ce bijou dans le top des séries all-time.
Matthew Weiner, disciple occasionnel de la showroom des Soprano, vole de ses propres ailes, en 2007, et livre à la face du monde son Mad Men, drama vintage couronné de succès depuis lors. Nous suivons ici Don Draper, ou celui qu’il prétend être, employé vedette d’une firme publicitaire de Manhattan en 1960. Nimbé d’une ambiance rétro parfaitement maîtrisée, pourvue d’un casting de toute belle composition, soignée sur le plan de la mise en scène et de l’écriture, la série de Weiner semble dès lors bien partie pour incarner la nouvelle génération des grands shows américains chez AMC, parallèlement à l’avènement de ce qui fût un mythe, et qu’il l’est toujours, Breaking Bad. L’univers professionnel de la publicité, une Amérique d’antan parfaitement reconstituée, une intrigue douloureuse sous-jacente, des personnages variés et forts en caractère, Mad Men possède tous les atouts nécessaires dans sa manche.
Au terme de cette première saison, composition harmonieuse de 13 épisodes, nous connaissons, dans les grandes lignes, chacun des personnages, leurs troubles, quelque uns de leurs secrets et pouvant nous avérer satisfait d’un lancement d’intrigue un peu longuet à ses débuts. Oui, faisant suite à la très belle composition graphique qui tient lieu de générique à la série, après quelques séquences de bureau rondement menées, il pourra apparaître pour certains une certaine lassitude et un manque sincère de vitalité. Cette petite erreur d’appréciation, j’en conviens tout-à-fait compréhensible, doit impérativement être mise sur le compte d’une première approche innocente d’un nouveau mythe, bâti sur la durée, de la télévision américaine. Au fil des séquences, nous nous attachant d’avantage aux protagonistes, sondant leurs regards, leurs tempéraments, guettant des émotions et sentiments qui révèleraient peut être les véritables facettes des protagonistes.
Globalement simple à suivre, passionnante sur le plan publicitaire, l’approche des professionnels de la branche s’entend, cette première saison de Mad Men nous présente le concept du show, nous fait découvrir des personnages que nous ne sommes pas prêts de réellement connaître. La part de mystère de chacun tient lieu de catalyseur pour la série, une série qui se démarque également de par une mise en scène gracieuse et une finesse indiscutable dans l’écriture.
Les décors sont somptueux, les costumes remarquables, les acteurs excellents, les intrigues secondaires variées, que demande le peuple? Mad Men, certes imparfait durant cette première volée, est une affaire à suivre, indéniablement! 16/20
Au terme de cette première saison, composition harmonieuse de 13 épisodes, nous connaissons, dans les grandes lignes, chacun des personnages, leurs troubles, quelque uns de leurs secrets et pouvant nous avérer satisfait d’un lancement d’intrigue un peu longuet à ses débuts. Oui, faisant suite à la très belle composition graphique qui tient lieu de générique à la série, après quelques séquences de bureau rondement menées, il pourra apparaître pour certains une certaine lassitude et un manque sincère de vitalité. Cette petite erreur d’appréciation, j’en conviens tout-à-fait compréhensible, doit impérativement être mise sur le compte d’une première approche innocente d’un nouveau mythe, bâti sur la durée, de la télévision américaine. Au fil des séquences, nous nous attachant d’avantage aux protagonistes, sondant leurs regards, leurs tempéraments, guettant des émotions et sentiments qui révèleraient peut être les véritables facettes des protagonistes.
Globalement simple à suivre, passionnante sur le plan publicitaire, l’approche des professionnels de la branche s’entend, cette première saison de Mad Men nous présente le concept du show, nous fait découvrir des personnages que nous ne sommes pas prêts de réellement connaître. La part de mystère de chacun tient lieu de catalyseur pour la série, une série qui se démarque également de par une mise en scène gracieuse et une finesse indiscutable dans l’écriture.
Les décors sont somptueux, les costumes remarquables, les acteurs excellents, les intrigues secondaires variées, que demande le peuple? Mad Men, certes imparfait durant cette première volée, est une affaire à suivre, indéniablement! 16/20
Une très bonne mise en ambiance dans le New York des années 60 dans la première saison, dans une agence de pub.Les rôles hommes femmes, la concurrence entres les cadres sup, bien des traits de la sociétés d'alors y sont reflétés!
Excellente série qui retrace les années 50-60-70 aux États Unis plus précisément le monde de la publicité au travers de ses personnages hauts en couleurs ... on en a oublié la clope et l alcool semble t il en voyant cette série mais également les mœurs et leur évolution... un véritable témoignage de l air du temps. Série particulièrement addictive a ma grande surprise, elle passera sans soucis