Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
maxime ...
243 abonnés
2 069 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 6 juillet 2016
Cette suite englobe l'intégrale des quatre première saisons pour la resservir à nouveau, on assiste tout simplement à une synthèse ! Alors bien sur il y'a toujours du plaisir, la dégringolade routinière de Moody est agréable et fais encore sourire mais que c'est mince ... Pourtant j'ai vraiment cru au changement, la fin de la dernière saison laissait envisager une autre tournure, l'éclaircie aura duré un épisode. Pire encore, l'humour force majeur de Californication est ici en berne. Elle a perdu son mojo, quelques vannes sont à la hauteur mais la critique reste toujours la même. Heureusement Charlie se surpasse de nouveau dans sa bêtise, il a vraiment sauvé les meubles. Je sors de tout sa un peu déçu et aussi quelque peu attristé ...
Cette nouvelle année suivant les aventures de Hank Moody diffère dans l'attitude de l'écrivain par rapport aux saisons précédentes. On retrouve un Hank légèrement plus assagi et deux plus tard à New York après ces derniers déboires du côté de la côte Ouest. Cette saison 5 confirme le bouleversement qui s’opère depuis 2 ans dans la série avec le personnage de Charlie qui devient officiellement l'élément comique de "Californication" et le Caliméro de l'histoire. L'arrivée de Tyler et Samurai apporte de nouvelles intrigues qui mettront à mal notre héros. Plus calme, il arrive toujours à s'attirer les mêmes problèmes qui deviennent trop récurrentes dans la série. S’essoufflant un peu, le final est fidèle à lui-même en concluant les nombreuses intrigues en un temps record et finissant sur un cliffangher pour nous faire revenir l'année prochaine. Restant 2 saisons autant aller au bout et puis on s'habitue à cet attachant Hank Moody !!
Un épisode qui sort du lot grâce à la réalisatrice qui fait preuve d'un travail intéressant autant sur la manière de filmer que sur le fond ! J'ai adoré et éclaté de rire à chaque dialogue.
Après avoir laissé notre héros à tous – Hank Moody – sur le fil du rasoir (oui, Hank est votre héros à vous aussi lecteur, sinon je vous bannie de cette critique !) la saison 5 de ce "Californication" était une sorte de croisée de chemin et j'étais curieux de savoir vers quelle direction ce cher Tom Kapinos allait nous amener. Eh bien j'avoue que la réponse de cette saison 5 m'a un peu décontenancée. Voilà qu'on semble nous renvoyer à la situation initiale de la saison 1 pour qu'on puisse encore faire un tour de manège. Alors, autant je ne crache pas sur le plaisir de retrouver toute ma petite troupe de personnages délurés, autant j'avoue que, pour le coup, l'impression de répétition a commencé à se faire vivement sentir lors de cette saison et que, déjà, je sens la lassitude taper à la porte. Au final, à la fin de cette saison, je reste dans l'expectative. Je commence à craindre le fait que "Californication" soit touché par le virus « Showtime » et que, à l'image de son confrère "Dexter" elle ne sombre dans l'insignifiance des séries qui ont trop voulu se diluer. Personnellement, je n'en suis pas encore là, mais je sais que pour "Dexter", la saison 5 était justement la saison du questionnement tandis que la 6 fut celle qui acheva la série. Espérons que Tom Kapinos sache apporter véritablement du neuf pour redynamiser cette série qui reste chère à mon cœur et que je n’aimerais pas voir dévoyée...
Une saison inutile, qui n'apporte absoluement rien à l'ensemble, et qui tente de nous tenir avec la gamine (de plus en plus insupportable) et le final qui amène juste la saison 6. Messieurs les scénariqtes, au boulot, qu'on vous paye pas à rien faire. Heureusement qu'il n'y a que 12 épisodes de 26 minutes...
Cette cinquième saison reste à peu près au même niveau que les autres. Les défauts sont les mêmes : les personnages n'évoluent pas et malgré de la tendresse, beaucoup de situations sont traitées de manière désinvolte. Cependant le charme reste intact grâce à David Duchovny, bourré de charisme mais aussi grâce à Evan Handler, hilarant et pathétique dans le rôle de Charlie. Certains personnages mûrissent comme Becca et d'autres font leur apparition comme le rappeur Samouraï Apocalypse ou Tyler, l'insupportable petit copain de Becca. Les dialogues sont toujours aussi bons et on sent que les scénaristes hésitent à aller vers quelque chose de moins désinvolte sans pour autant être sûrs d'eux. Rien de nouveau donc mais toujours aussi agréable et puis le final est réussi, laissant attendre la saison 6.