Série annulée souhaitant boucler la boucle, Californication profite de la 7ème saison pour remplacer un personnage devenu inexistant par un autre similaire mais agaçant au possible. Saison inutile s'il en est, ponctuée de quelques gags pipi caca... Beaucoup moins séducteur et sexuel, Californication se termine avec tristesse, ce qui est dommage.
Beaucoup aimé cette série, même si je ne comprends pas l'acharnement de Hank pour son ex femme Karry. Comme Duchovny raconte ici (en exagéré) un peu sa vie, ca se regarde bien. C'est la vie débauchée de gens riches et célèbres dans le Hollywood mythique qu'on nous a vendu jusqu'à plus soif. Une bonne série dans laquelle on ne s'ennuie pas. Une de mes préférées.
Dernier tour de piste pour Hank Moody, l'écrivain le plus charmeur et le plus provocateur de tout Hollywood. Cette dernière saison est d'ailleurs bienvenue car il faut dire que la série tournait un peu en rond depuis trop longtemps. Ces douze épisodes sont donc l'occasion pour nous de présenter nos adieux au personnage, toujours aussi apte à charmer les femmes et à s'attirer les ennuis tout en ne cessant jamais d'aimer Karen, la femme de sa vie. Mais l'histoire d'amour entre les deux est aussi belle qu'impossible puisqu'elle est condamnée à virer au désastre tôt ou tard. Hank est aussi auto-destructeur que charmeur, incapable de dire non aux femmes qui le trouvent séduisant. La morale, un peu triste finalement, de cette série est que même l'amour ne peut changer une personne mais que ça vaut le coup d'essayer, d'échouer et de réessayer. Même si la série ne fera jamais mieux que ses trois premières saisons et qu'elle n'a jamais osé aller complètement dans le dramatique (malgré un faux espoir dans cette saison), il n'empêche que son ton provocateur et le nombre de scènes improbables qu'elle enchaîne est rafraîchissante et souvent drôle et que d'un côté, Hank Moody va sûrement nous manquer. Cette dernière saison est donc à l'image de la série, truffée de solides seconds rôles (Michael Imperioli, Heather Graham), drôle (en partie grâce au personnage de Charlie, incarné à la perfection par Evan Handler) et teintée de mélancolie. Une chose est sûre, c'est que David Duchovny a trouvé en Hank Moody un rôle qui lui va comme un gant et que l'on n'est pas près d'oublier sa prestation.
La magie s'estompe quelques peu, ce quatrième chapitres connait quelques dérives mais au fond on s'en fout pas mal ! Le rythme et le ton de cette série fait toujours autant de bien, on rit aisément et pas toujours dans le sens du politiquement correct, c'est peu de le dire ... Les personnages n'évoluent toujours pas, on s'y fait et on prend ce qu'il y'a à prendre pour trouver son compte et plus encore. La petite pause entre la saison précédente et celle-ci m'a fait du bien, je vais attendre un peu avant de poursuivre mon périple dans la vie intrépide de Hank Moody, je suis pourtant très impatient de découvrir ces prochaines bêtises !
Une énième synthèse, un nouveau copier coller et une routine qui devient parfois un peu difficile à encaisser ... Une fois cette déception passé il est possible de trouver du charme et quelques moments réconfortants dans cette sixième saisons. Charlie et Stu sont les deux personnages qui amènent du piment à cette sauce bien connue. Les autres souffrent en comparaison, les nouveaux manquent de sel et d'originalité, dommage. Californication est toujours un plaisir mais son manque d'ambition lui est préjudiciable. J'espère que l'ultime acte sera à la hauteur, j'attend de voir ...
Le premier épisode m'avais laissé de l'espoir, les deux suivants aussi mais malheureusement cet ultime acte retombe dans ces travers et pire encore ! Une saison anecdotique, une de plus, quel dommage ... L'humour n'a jamais été aussi graveleux, un naufrage à oublier. Tout le charme c'est évanoui, il ne reste que de la déception. La B.O est le seul sursaut d’orgueil, le reste fait Pschitt ...
Cette troisième saison conserve le charme propre de la série mais l’essoufflement se fait ressentir. Il faut attendre les ultimes minutes du dernier épisode pour enfin avoir un véritable basculement et avancé. L'humour qui fait la force de Californication est toujours de mise mais là encore cet atout ne peut suffire, j'attends plus. Les personnages reste quand à eux toujours aussi sympathique, presque trop ... Ils finissent par agacé. Un peu déçu, malgré cela je continue de dévoré les épisodes et de prendre un énorme plaisir à suivre les aventures barrés de Hank Moody et de son entourage. Tom Kapinos a trouvé le bon filon, bien entendu il ne creuse pas à coté. J’espère une prise de risque dans la saison à venir, la fin de celle-ci laisse présagé une avancé, impatient d'en savoir un peu plus. Pour finir sur une bonne note, le Soundtrack continue d’être au niveau et plus encore.
Cette suite englobe l'intégrale des quatre première saisons pour la resservir à nouveau, on assiste tout simplement à une synthèse ! Alors bien sur il y'a toujours du plaisir, la dégringolade routinière de Moody est agréable et fais encore sourire mais que c'est mince ... Pourtant j'ai vraiment cru au changement, la fin de la dernière saison laissait envisager une autre tournure, l'éclaircie aura duré un épisode. Pire encore, l'humour force majeur de Californication est ici en berne. Elle a perdu son mojo, quelques vannes sont à la hauteur mais la critique reste toujours la même. Heureusement Charlie se surpasse de nouveau dans sa bêtise, il a vraiment sauvé les meubles. Je sors de tout sa un peu déçu et aussi quelque peu attristé ...
J'en suis toujours accro ! Le contenu s’essouffle quelque peu dans sa seconde moitié mais reste malgré ce petit contre temps une suite excellente. Toujours un plaisir fou de suivre les péripéties mouvementé ( ou pas ) de ce bon vieux Hank Moody ( David Duchovny ). L'intrigue de cette seconde saison tient la route, dans la continuité certes mais toujours aussi agréable. Qui plus est l'amitié que noue Hank avec Lew ( Rennie ) est vraiment barré mais très attachante. Karen ( la magnifique Natascha McElhone ) est toujours la femme parfaite, l’exploit est d'autant plus grand que la concurrence est rude. Les fous rires sont aussi nombreux que le nombre de conquête de son héros, nombreux ! Je fini cette critique par ce qui m'a le plus séduis dans ce second volet, le soundtrack ! Pearl Jam, Alberta Cross, Neil Nathan ... Que de merveille !
Il s'agit probablement de la meilleure saison depuis le début de la série. Dans cette saison 4, nous retrouvons un Hank MOODY totalement désabusé, qui va devoir faire face à ses responsabilités. Pour la première fois depuis le début de la série, nous pouvons ressentir qu'il a peur de tout perdre ; sa famille, sa carrière, son honneur, etc. Les nouveaux personnages de l'intrigue sont excellents : son avocate Abby (Carla GUGINO), Sasha BINGHAM, etc. Nous pouvons simplement relever quelques défauts dans l'intrigue. Dans l'épisode 5, Hank est photographié en compagnie de Sasha et Mia, au cours d'une soirée arrosée... Alors comment se fait-il que, vu l'impact médiatique de la situation, la mère de Sasha ne sache pas qui est Hank MOODY ? Ces quelques défauts n'enlèvent rien au divertissement, et à la qualité de tous les autres épisodes de la saison 4.
Voici une excellente saison 2, dans la veine de la première. L'intérêt pour cette série persiste, notamment grâce à l'apparition de nouveaux personnages délirants, comme celui de Lew ASHBY (Callum KEITH RENNIE). La saison s'intéresse aussi efficacement à la complexité de la relation entre Hank et Karen, mais aussi à celle de Charlie avec Marcy. Cela est traité de façon assez réaliste. Le seul regret que nous pouvons avoir concerne surtout le personnage de Daisy (Carla Gallo). Celui-ci méritait d'être plus travaillé.
Cette sixième saison est probablement la moins bonne de toute. Elle opère un changement de direction trop brutal, et malheureusement, la sauce ne prend pas. L'humour est moins présent, et les nouveaux personnages sont beaucoup moins intéressants (malgré les efforts déployés par les producteurs pour dégoter des invités de marque comme Marilyn MANSON ou Maggie GRACE). Cette saison 6 devient rapidement ennuyante. Il ne se passe quasiment rien... Même les gags de notre RUNKLE national tombent à plat. Les fans de la série auront donc un avis mitigé, car il est toujours appréciable de voir ce bon vieux Hank évoluer dans un nouvel univers. Mais très franchement, cette saison n'apporte rien à l'intrigue générale.
"Californication" commence par une première saison éclatante, et ô combien divertissante. David DUCHOVNY interprète superbement bien un écrivain à la dérive, et nous embarque admirablement dans ses aventures torrides et enflammées. Un pur régal !
Après deux précédentes saisons un peu laborieuses, on retrouve enfin l'esprit original des premiers épisodes. Tout y est : l'humour, les situations cocasses, les personnages délirants, etc. La boucle est maintenant bouclée. Cette dernière aventure de notre cher écrivain nous réserve encore de sacrés surprises, et de bons moments de rigolade. Cette septième et dernière saison est à la hauteur de nos espérances. David DUCHOVNY laisse un rôle qu'il a su jouer avec brio de 2007 à 2014. Un grand bravo !