Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Télé Loisirs
par Stephanie Fuzeau
Eric ne fait pas qu'esquisser un magnifique portrait d'un père et d'un créateur qui se fond peu à peu dans sa propre créature, mais contient un message vibrant pour les citoyens du monde que nous sommes et que résume assez bien la citation de Léon Tolstoï entendue dans l'un des épisodes : "Chacun rêve de changer l'humanité, mais personne ne pense à se changer lui-même".
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Voici
par Aurélia Varin
Entre drame familial déchirant et thriller ultra angoissant, cette nouvelle mini-série de Netflix est une réussite à ne surtout pas rater.
GQ
par Jack King
"Eric" est la prochain grand phénomène télévisuel de Netflix et Dieu merci, pour une fois, c'est une bonne série.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Huffington Post (FR)
par Roméo Duhar
"Eric" avec Benedict Cumberbatch sait nous maintenir en haleine et on adore ça.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Scénariste à la plume crue (Shame, The Split), Abi Morgan concocte, plus qu'un polar, un thriller émotionnel, teinté d'un audacieux réalisme magique dès qu'Eric apparaît à Vincent
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Florian Anselme
Derrière ce savant mélange de polar, à l'atmosphère sombre et oppressante, et de (presque) farce, loufoque et déjantée, se cache en réalité une véritable critique de la société américaine de l'époque.
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Benedict Cumberbatch est exceptionnel dans "Éric", un drame bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Cette série brasse large, un peu trop. Elle tente de relier tous ces thèmes parfois de façon artificielle, se perd dans ce méandre de thématiques sociales. Mais elle bénéficie d’un impeccable Benedict Cumberbatch dans le rôle de ce marionnettiste imbuvable et imbu de lui-même, en conflit avec sa femme et ses parents milliardaires.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Audrey Fournier
La réalisation, nerveuse, et d’excellents acteurs achèvent de faire d’Eric une série imparfaite mais à part, qui séduit par sa bizarrerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Un genre de “Eric et les maximonstres" se dessine, beau sujet que la série parvient à effleurer, sans vraiment nous renverser d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Charles Martin
Une série criminelle diablement originale et déroutante, mais pas aussi folle qu'elle aimerait l'être.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Amandine Scherer
Si l'ensemble est parfois foutraque, l'aventure vaut la peine.
Télérama
par Marjolaine Jarry
De la dimension socio-urbaine au décor de carton-pâte de l’émission, de la réalité à sa réinvention par le jeu et l’écriture, les dimensions s’enchâssent et se répondent sans cesse. Il manque cependant un peu d’espace à cet objet resserré sur son format pour que la plume d’Abi Morgan y insuffle toute la liberté frondeuse qui est la sienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Si la reconstitution du New York des années 80 impressionne, l'intrigue se perd dans des développements inutiles, laissant penser que ce scénario mériterait plutôt un simple film.
Ouest France
par Charles Martin
Eric a beaucoup à dire. Trop sans doute. Penchant tantôt du côté du Zodiac de Fincher, tantôt du Birdman d’Iñárritu, la narration part dans tous les sens. Et de cet excès d’ambition naît le sentiment qu’Eric, la peluche, n’est finalement qu’un artifice inutile et encombrant pour un Benedict Cumberbatch saisissant de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé Loisirs
Eric ne fait pas qu'esquisser un magnifique portrait d'un père et d'un créateur qui se fond peu à peu dans sa propre créature, mais contient un message vibrant pour les citoyens du monde que nous sommes et que résume assez bien la citation de Léon Tolstoï entendue dans l'un des épisodes : "Chacun rêve de changer l'humanité, mais personne ne pense à se changer lui-même".
Voici
Entre drame familial déchirant et thriller ultra angoissant, cette nouvelle mini-série de Netflix est une réussite à ne surtout pas rater.
GQ
"Eric" est la prochain grand phénomène télévisuel de Netflix et Dieu merci, pour une fois, c'est une bonne série.
Huffington Post (FR)
"Eric" avec Benedict Cumberbatch sait nous maintenir en haleine et on adore ça.
Le Figaro Magazine
Scénariste à la plume crue (Shame, The Split), Abi Morgan concocte, plus qu'un polar, un thriller émotionnel, teinté d'un audacieux réalisme magique dès qu'Eric apparaît à Vincent
Le Journal du Dimanche
Derrière ce savant mélange de polar, à l'atmosphère sombre et oppressante, et de (presque) farce, loufoque et déjantée, se cache en réalité une véritable critique de la société américaine de l'époque.
Le Parisien
Benedict Cumberbatch est exceptionnel dans "Éric", un drame bouleversant.
Franceinfo Culture
Cette série brasse large, un peu trop. Elle tente de relier tous ces thèmes parfois de façon artificielle, se perd dans ce méandre de thématiques sociales. Mais elle bénéficie d’un impeccable Benedict Cumberbatch dans le rôle de ce marionnettiste imbuvable et imbu de lui-même, en conflit avec sa femme et ses parents milliardaires.
Le Monde
La réalisation, nerveuse, et d’excellents acteurs achèvent de faire d’Eric une série imparfaite mais à part, qui séduit par sa bizarrerie.
Les Inrockuptibles
Un genre de “Eric et les maximonstres" se dessine, beau sujet que la série parvient à effleurer, sans vraiment nous renverser d’émotion.
Première
Une série criminelle diablement originale et déroutante, mais pas aussi folle qu'elle aimerait l'être.
Télé 7 Jours
Si l'ensemble est parfois foutraque, l'aventure vaut la peine.
Télérama
De la dimension socio-urbaine au décor de carton-pâte de l’émission, de la réalité à sa réinvention par le jeu et l’écriture, les dimensions s’enchâssent et se répondent sans cesse. Il manque cependant un peu d’espace à cet objet resserré sur son format pour que la plume d’Abi Morgan y insuffle toute la liberté frondeuse qui est la sienne.
Téléstar
Si la reconstitution du New York des années 80 impressionne, l'intrigue se perd dans des développements inutiles, laissant penser que ce scénario mériterait plutôt un simple film.
Ouest France
Eric a beaucoup à dire. Trop sans doute. Penchant tantôt du côté du Zodiac de Fincher, tantôt du Birdman d’Iñárritu, la narration part dans tous les sens. Et de cet excès d’ambition naît le sentiment qu’Eric, la peluche, n’est finalement qu’un artifice inutile et encombrant pour un Benedict Cumberbatch saisissant de mélancolie.