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F_libre
1 critique
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Critique de la série
1,0
Publiée le 4 juin 2024
Cette série vaut-elle le temps de vie qu'on va perdre à la regarder? Je ne sais pas, c'est à chacun de voir. C'est toujours la même histoire avec Hollywood depuis un certain temps et c'est de plus en plus lassant. D'abord une dose de propagande obligatoire bien épaisse, de prêchi-prêcha insupportable et complètement déconnecté du réel, auquel on est désormais bien habitué. Maintenant on imagine mieux ce que les gens ont dû subir du temps de l'URSS. Fort heureusement il y a le bouton "avance rapide", qui est plus que nécessaire à partir de la moitié de la série avec de longues séquences bien pénibles. Ensuite, ce qui est remarquable, depuis au moins Breaking Bad, c'est la fascination et l'extraordinaire complaisance de l'Amérique pour sa propre déchéance. Quelqu'un va peut-être leur dire un jour que n'importe quelle société, si elle continue sur ce genre de pente, ne que peut finir par crever (cela vaut pour les Européens aussi). Concernant le film lui-même, un gros problème de cohérence, cette enquête menée de bout en bout à partir d'images de vidéosurveillance, ce qui est invraisemblable pour une histoire qui se passe au milieu des années 1980. Un immense gâchis de talent, on a pitié pour les acteurs et les techniciens du film qui ont sûrement beaucoup travaillé.
Je ne comprend pas l’engouement pour cette série. De très bons acteurs pour un scénario terriblement fade.. Les comédiens ont du talent mais devant cette série …. Je l’ennui ….. si c’est votre truc, essayez
Réalisée par Lucy Forbes (qui a aussi réalisé les 4 premiers épisodes de la 2ème saison de l'exceptionnel The End of the Fucking World), et écrite par Abi Morgan, la série Eric offre d'entrée de jeu un climat saisissant de réalisme à travers une caméra énergique, tranchant, tout comme la tension latente, avec l'univers tendance bisounours du show dirigé par l'un des personnages principaux. La musique omniprésente est savamment imbriquée dans l'image et la tension permanente permet d'équilibrer la lenteur de la narration, le tout complété par une playlist d'époque qui fait mouche sans jamais être envahissante.
Bougrement intelligente et raffinée, magistralement dirigée (Benedict Cumberbatch est exceptionnel, ça on le savait, mais les autres interprètes sont également excellent·es), cette mini-série qui nous plonge dans l'angoisse et la folie est aussi redoutablement immersive, non sans quelques rares pointes d'humour noir et malaisant, il faut l'avouer bienvenues.
Oeuvre à tiroirs, il s'agit en outre d'une fresque subtile du New-York des années '80, entre racisme policier, apparition du sida, homophobie structurelle, scandale des sans-abris du métro, corruption et clubs louches.
Dense et lente, la mini-série Eric est un chef d'oeuvre visuel et narratif qui va crescendo, à la David Fincher, servie par une interprétation irréprochable. Ainsi, on peut dire que le policier intègre et tenace interprété par McKinley Belcher III, d'une sobriété exemplaire, est typiquement un personnage fincherien.
Alors, pour l'instant, je n'ai vu que trois épisodes (soit la moitié de la série) mais, j'ai quand même développé un avis dessus. Tout d'abord, je trouve que le scénario est assez basique mais est quand même exploité afin de développer certaines situations ou certains personnages vraiment utiles à la qualité de la série. Puis, on retrouve un Bénédict Cumberbatch vraiment encré dans son personnage et qui incarne à fond un homme désespéré suite à la disparition de son fils !!!!!!! (notamment une scène à la fin du troisième épisode hilarante et déconnectée de la réalité pure dans lequel est la série). Au final, après trois épisodes on en ressort étonné, surpris et même hypé pour découvrir la fin de l'enquête de cette série inhabituelle de l'univers Netflix.
Le parfait exemple de ce qui se fait passer pour un art ou un divertissement quand ce n'est en fait qu'une idéologie qu'on essaie de t'introduire au forceps. Dans les premières 15 min tu remarques que ce n'est pas fait par un esprit très intelligent ni créatif, 10 minutes après tu comprends le jeu. Ça n'a jamais été un projet d'art mais des idées à propager. on est pas là pour vos idées donc ne nous faites pas perdre notre temps.
Ça traîne en longueur. Une histoire compliquée pour pas grand chose. On crois que ça parle de la folie spoiler: et ça pouvait etre interressant car le personnage d'Éric est créé par l'imaginaire de vincent a cause d'une enfance malheureuse.spoiler: ....mais ça part dans tous les sens, on parle bcp des pbs de relogement des sans-abris et on atteri sur une spoiler: seconde disparition qui n'a rien à voir avec la 1ere spoiler: Bref ça manque de cohérence et on a hâte de terminer.
Pépite ! J'avoue n'avoir pas trop sû quoi en penser au bout du 2e épisode. Mais la photographie, l'ambiance, l'intrigue ont eu raison de ma curiosité. Au final une série magistrale, une ambiance à la Batman et une atmosphère noire qui me rappelle l'excellente serie The Night Of. La série aborde plusieurs axes à travers une double enquête, le scénario est finement mené, tout est de grande qualité : l'esthétisme, la musique, les acteurs, le graphisme,... bref je recommande vivement cette mini série ;)
Excellente surprise! Sur une simple base d'un enfant disparu qui déclenche une enquête policière, on se retrouve avec un ensemble de personnage d'une richesse inattendue : éducation, minorités sexuelles/raciales, politique et corruption, sans abris... en une mini-série on abordé tous ces thèmes avec beaucoup de talent.
Trop long , on passe à côté de l’intrigue qui n’en est plus une des le 3 eme episode Les personnages sont tous caricaturaux avec son pourcentage necesaire de catégories dites minoritaires qui sont toutes victimes et bien pensantes … Je n’ai pas pu aller au delà du 4 eme episode
Intéressante série par son originalité scenaristique et un Benedict Cumberbacht pas mal dans ce rôle « décalé ». L’intrigue fait des circonvolutions au travers des épisodes qui peuvent nous perdre tant il semble que l on étire en longueur cette histoire. On passera sur la vision inclusive - habituelle pour une série Netflix - dont on ne comprend pas forcément l intérêt, à part rassembler un peu plus de suffrages en spectateur, mais bon … ça ne nuit pas.
La maîtrise cinématographique est présente voici un exemple sinon j’écrivasse un roman. Lors de la scène de la disparition épisode 1. Les parents se chamaille dans les escaliers on est en un plan séquence avec l’enfant qui regarde ses parents payes arrive dans le couloir avant de sortir et Bim bam boum,raccord visuel, raccord sonore et raccord lumière et musicale en symbiose parfaitt il n’y a pas besoin de parler tout est dit dans la construction parfaire du montage à tous les niveaux. Regardez encore et encore cette séquence et vous aurez un aperçu de la différence entre ceux qui veulent faire du cinéma sans connaître les codes et techniques qui datent d’un siècle et ceux qui maitrise le sujet et qui sont raccord avec, le réal son, lumière, photographie, musique etc et j’en passe. Tout est dit dans cette scène absolument tout le reste et bien faut combler une série et faire tourner en bourrique ou jouer le jeu du chat et de la souris avec les attentes. Donc un 5/5 pour la réalisation a symbiose de l’équipe ensuite et malheureusement on met encore les acteurs au premier plan dans un film alors que l’acteur c’est juste un petit truc en plus pour les minettes, la promotion et les fans. Mais je vous le répète regardez 100 fois cette scène pour comprendre ce qu’est vraiment le cinéma. Pourquoi un 3/5 ben j’ai pas tou u encorea te oeavan ln
3,5/5 Bien. Cette série se regarde très bien mais c'est assez déconcertant car ce qu'on regarde est finalement assez éloigné de ce qu'on pense regarder après lecture du pitch et lancement du premier épisode. Tout part d'une disparition et on pense être sur une enquête policière classique dans un univers spécifique puis l'histoire se développe et le dénouement est peut-être un peu trop facile. L'ensemble est bien mais la tension globale est en dent de scie créant parfois quelques longueurs.
Une saison (2024, soit 6 épisodes). Série terminée. A New York, au milieu des années 1980, la disparition d’un jeune garçon entraîne l’autodestruction de son entourage familial. L’originalité de cette série britannique est de s’éloigner de la traditionnelle enquête policière pour s’intéresser plus particulièrement aux errements psychologiques du père (Benedict Cumberbatch), personnage acariâtre et alcoolique. Parallèlement à la quête de rédemption de cet anti-héros, aussi attachant qu’agaçant, le scénario développe une multitude d’intrigues en lien avec le contexte sociétal de l’époque (l’homosexualité, le SIDA, l’éviction des SDF, la corruption du monde politique, les inégalités raciales, etc.). Cette densité de thématiques coche certainement toutes les cases du cahier des charges des producteurs, mais instaure un récit brouillon et finalement peu abouti. Bref, à vouloir brasser trop de sujets, le récit en oublie l’essentiel à savoir une relation père-fils complexe.