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Chris46
517 abonnés
978 critiques
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5,0
Publiée le 6 août 2015
5ème saison de la série culte " kaamelott " . Bon que dire de cette 5ème saison de kaamelott ? Cette 5ème saison est un véritable tournant dans la série . Avec cette 5ème saison la série opère un gros changement . Le ton devient beaucoup plus sérieux , sombre et dramatique . L'humour se fait un peu plus rare même si elle encore présente pour notre plus grand plaisir. L'histoire devient totalement feuilletonnante . Fini les épisodes indépendant qui n'avait pas de liens entre eux . Maintenant tout les episodes sont lier et se suivent et forment une seul et même histoire . Le format change également radicalement . Fini les épisodes de 3 minutes on passe à des épisodes de 50 minutes . Cette saison peut être déroutante au premier rebord car elle marque une vrai rupture par rapport aux 4 premières saisons que ce soit dans le format ( épisodes beaucoup plus long , histoire feuilletonnante ) ou dans le ton qui est beaucoup plus sérieux , sombre et dramatique . Mais une fois habitué c'est un véritable régale cette 5ème saison est excellente . Le fait d'avoir des épisodes plus long permet de développer une véritable histoire prenante et de vraiment développer les personnages et leurs relations entre eux ce qui était un peu plus compliquer lors des épisodes de 3 minutes . Il y a un bon équilibre entre les moments dramatiques et les moments comiques . De plus cette saison le décor est beaucoup plus varier du au fait que les personnages se déplace pas mal ce qui nous offre des paysages magnifique . C'est un vrai régal de suivre l'intrigue dans de super paysages . La musique est également plus présente avec quelques morceaux musicaux vraiment sympa qui colle bien à l'ambiance de la serie . Avec cette 5ème saison la serie prend vraiment une autre ampleur . Alexandre astier est un génie . Il a réussit a renouveller la serie et a l'amener la ou on l'attendait pas . Personne n'aurait imaginer que la série prendrait cette tournure la lors de la première saison . Dans cette 5ème saison le roi Arthur qui tente comme il peu de diriger le pays et de retrouver le St graal malgré la bande de bras casser qui l'entoure va voir sa quête vraiment se compliquer à tout les niveaux . Dans cette saison tout s'écroule . La saison précédente commencait déjà a montrer cette effondrement avec Lancelot qui avait quitter Arthur pour fonder son propre clan , genièvre qui avait rejoint Lancelot , la dame du lac qui avait été banni par les dieux . Et Ben cette saison les choses ne sont pas prêt de s'arranger bien au contraire tout part en vrille . spoiler: Lancelot va préparer sa vengeance contre Arthur . La femme de Karadoc va également préparer sa vengeance contre Arthur . Beaucoup de Chevallier vont quitter la table ronde pour fonder leurs propres clans comme perceval , karadoc , Yvain et gauvain . Merlin va quitter kaamelott . Arthur va replanter l'épée et ne sera plus roi . Leodagan va être proclamer roi à sa place . Autant dire que cette saison nous réserve son lot de surprises ce qui va donner lieu à des episodes excellent vraiment prenant tantôt dramatique , tantôt drolissime avec son lot de gags tordants spoiler: ( les relations entre Alain chabat et Géraldine nakache , les scènes avec le roi loth , Yvain et gauvain qui tente de retirer l'épée , Karadoc qui devient roi ... ) et de répliques hilarantes . Cette 5ème saison voit l'arrivée de nouvelles guest stars très sympathiques comme Alain chabat , Géraldine nakache , Christian clavier , Guy bedos ou Patrick bouchitey qui incarne des personnages délirants . On voit également le retour de Valérie Benguigui , Antoine de Caunes et francois Rollin . La saison se termine sur un cliffhanger spoiler: ( la tentative de suicide de Arthur ) qui nous donne vraiment envie de voir la prochaine saison . On a qu'une envie à la fin de cette saison 5 c'est de dévorer la saison 6 au plus vite .
Une cinquième saison un brin déstabilisante au début en raison du changement de format mais aussi d'une forme plus libre, avec des intrigues qui se développent réellement au fur et à mesure des épisodes et sans les pauses narratives humoristiques habituelles, mais aussi des mouvements de caméra s'opposant aux plans fixes des saisons précédentes. Cette-fois ci, le ton est pleinement dramatique et l'humour quasi-absent, ou alors prêtant plus à sourire qu'à rire. Finalement, une fois qu'on s'y habitue, les ambitions de la série se révèlent et une ampleur nouvelle apparaît. L'histoire est ainsi passionnante malgré quelques lourdeurs, notamment dues aux personnages de Perceval et Karadoc, ceux-là mêmes qui fournissaient auparavant à "Kaamelott" une bonne partie de son intérêt. La durée allongée amène aussi de temps en temps la cohabitation de deux intrigues différentes au sein d'un seul épisode, ce qui se révèle parfois dommageable, mais seulement dans sa version télévisuelle, le director's cut d'Alexandre Astier permettant un découpage plus complet et cohérent. En dépit de ces quelques défauts, cette cinquième saison est parfaitement en phase avec le reste et fait partie des meilleures, le virage mélancolique étant parfaitement mené. Alain Chabat, qui apparaît dans une poignée d'épisodes, incarne en outre un personnage savoureux qui ajoute beaucoup de charme et d'humour lors de son passage.
Alexandre Astier change de style. Passage au format 50 minutes, histoire plus sombre, une musique superbe... Ce n'est plus le kaamelott des trois premier livres, ici l'histoire est plus développé; recherché, et on prend plaisir à regarder chaque épisode.
Bravo à Alexandre Astier qui se révéle aussi efficace dans la comédie que dans le drame.
Cette cinquième saison de "Kaamelott" est celle de la maturité, Alexandre Astier passe au format 50 minutes et nous offre la saison la plus sombre de la série avec un Arthur plus déprimé que jamais qui va replanter Excalibur dans son rocher. Le changement de format était osé, il est plus que bénéfique à la série qui prend désormais encore plus le temps d'explorer la psychologie des personnages et de lancer de nouvelles intrigues (Perceval, Karadoc, Yvain et Gauvain qui fondent leurs propres clans, Merlin qui quitte Kaamelott, Lancelot qui prépare sa vengeance sur Arthur) ainsi que d'ajouter de nouveaux personnages, tous incarnés par d'excellents acteurs qui se fondent à merveille dans l'univers de la série (Alain Chabat, Christian Clavier, Guy Bedos, Patrick Bouchitey) tandis que d'autres continuent de se montrer particulièrement intéressants (le roi Loth, fourbe jusqu'au bout ou encore Méléagant, intriguant à souhait). La photographie est superbe, Astier se montrant de plus en plus chevronné dans sa réalisation qu'il accompagne souvent de la très belle musique qu'il a lui-même composé et qui donne le ton dès le début de la saison. Et s'il rend ses personnages de plus en plus attachants en les gratifiant de scènes émouvantes qu'on n'aurait pu soupçonner en voyant la première saison, c'est pour mieux réussir son final de saison, particulièrement prenant.
Ah ! La saison cinq ! Une merveille. Non seulement certains acteurs viennent ajouter du piment à la série, j'entends par la Alain Chabat ou Christian Clavier, mais l'histoire connaît un changement radical ; il n'y a plus autant de dérision que dans les anciennes saisons, ce format permet aux épisodes de faire passer beaucoup plus d'émotions et de messages au spectateur ; nous voyageons donc entre des paysages splendides, avec des acteurs toujours en forme, des situations soit hilarantes, soit émouvantes, avec une musique parfaite. La saison cinq est un mélange d'humour et de spiritualité, de fantaisie et d'émotions.
"Chef d'oeuvre" est plutôt faible pour qualifier cette série, et tout particulièrement cette saison. Nous avons ici absolument tout pour produire quelque chose de parfait. Et c'est ce que le génie d'Astier nous produit. Ce n'est pas simple de faire alterner le rire et les larmes spoiler: cf la rencontre avec Anton, coupée par des scènes avec Perceval . Astier nous le fait à merveille dans ce dernier chapitre. Il serait inutile ici de recensé tous les détails faisant de Kaamelott - Livre V un produit unique, c'est pourquoi cette "critique" (qui n'en est pas une) se clôt ici.
Probablement ma saison préférée. Alexandre Astier a réussi à transmettre une telle poésie dans les musiques, le générique d'entrée... Les dialogues et jeux d'acteur sont toujours parfaits.
Le petit détail qui m'a interloqué c'est que pendant toute cette saison, Arthur est à la recherche de sa descendance spoiler: (et on apprend qu'il ne peut pas en avoir, ce qui l’anéantit) , or si on reregarde l'épisode 43 de la saison 1, il est clairement dit qu'il a fait un enfant à une jeune fille nommée Madden... C'est un détail mais je suis malheureusement resté bloqué là-dessus x)
Probablement une de mes saisons préféré. J'adore le passage au format long (45 minutes) et la tournure dramatique que prend la série. Je trouve qu'Alexandre Astier a eu beaucoup de courage pour se détacher du format court, très rythmé et très porté sur l'humour des quatre premières saisons pour passer à un format plus long, introduisant une trame dramatique et permettant d'installer l'histoire qui fera la suite de la série (...et des films). Certains ont lâché en cours de route, mais c'est pour moi la meilleure saison et la plus déroutante. Même si l'on ne rit pas aussi souvent que les saisons précédentes, l'humour reste très présent !
Astier a eu dans cette saison le don de sublimer ses acteurs dans leur jeu dramatique. De plus les guests, De Caunes, Rollin, Clavier, Chabat, Nakache, Bedos et j'en passe sont juste excellentissimes !
Une saison rupture avec les formats précédents qui furent réalisé en 3.30 min pour M6. Cependant, cette saison sait s'imposer et est au même titre que la série complète une sorte de fierté nationale. Cette fierté est due à une réalisation mené d'une main de fer par Alexandre Astier, impeccable sans aucun défaut et très harmonieuse.
Un coté "noir" s'ajoute à la série dans cette saison avec un accent mené sur la psychologie des personnages avec la rupture pré-amorcé dès la saison 3 entre Arthur (Alexandre Astier) et Lancelot(Thomas Cousseau) véritable cœur de cette saison mais également la quête du Roi Arthur pour sa descendance qui l'on mené aux 4 coins du Royaume de Logres. Ce côté plus travaillé des personnages et le nouveau format créer un lien avec le cinéma qui a certainement, à tort, fais éloigné certains fans.
En définitive, cette saison est d'une beauté extraordinaire dont la France peut être très fière.
je suis fan de la série depuis le premier livre, et lors de la diffusion de cette saison 5 (en 6 épisodes de 50 min ou en 50 épisodes de 7 min) j'ai été relativement déçut la trouvant assez moyenne parce que l'humour était moins présent, et/ou que la narration était décousu et parfois succinct selon le format.
Mais lorsque jai redécouvert ce livre 5 en dvd sous une version director's cut (8 épisodes de 50 min), j'ai été totalement emballé. Dans cette version la narration est de bien meilleur qualité que dans le format tv puisque certaine séquences (parfois drole) en étaient absente et la narration parfois tronqué. Ce nouveau format permet également d'avoir des personnage plus travaillé (pas réduit a un ou deux trait de caractère comme dans les premiers livres), mais aussi d'avoir plus d'intrigues et des décors plus variés.
Un tel changement de format dans la série était risqué mais il lui permet de se renouveler, et malgré le coté un peu plus sombre que prends la série, l'humour est toujours présent. Ce livre est devenu mon préféré avec une préférence pour l'épisode "le garçon qui criait au loup" dont j'adore la séquence dans le théatre.
Sans aller jusqu'à dire que la saison 5 est la meilleure (bien que d'un certain point de vue la plus "riche"), je dirais qu'elle s'impose comme la démonstration plutôt habile d'une transformation particulièrement osée et risquée.
Si, sur la fin de la saison 4 soufflait déjà par moments un vent présageant l'arrivée d'une certaine noirceur, d'un certain élan dramatique, A.A. confirme et décide ici de faire de son bébé une oeuvre mixte, nettement plus contrastée. Désormais, Kaamelott fait cohabiter son humour si efficace avec une nouvelle dimension mélancolique. Là où la gigantesque parodie mettant en scène la décadence de la quête du Graal était synonyme d'hilarité et d'éternels fou-rires, c'est une tristesse inattendue qui vient s'ajouter progressivement au traitement de l'histoire.
Le Roi Arthur (tout comme son antagoniste Lancelot), et par extension, le Royaume, traversent une phase de profondes remises en question. Ce dernier, privé de son paradoxe qui le maintenait debout - si Arthur et Lancelot sont des "antithèses" l'un de l'autre, ils constituent néanmoins deux polarités complémentaires nécessaires à l'équilibre du Royaume - titube et décline. Son sort dépend désormais de l'issue des quêtes personnelles des protagonistes susnommés, tous deux à la recherche de leur véritable place.
A.A. nous prouve qu'il est capable de passer de façon plutôt fluide du comique au dramatique, de la joie à la tristesse, et vice-versa.
La prise de risque était immense et Kaamelott aurait pu en souffrir. Hors, non seulement la saison 5 ne casse pas la série, mais elle va bien au-delà de l'anecdote, de l'ornement, apportant un regard neuf sur l'oeuvre globale.
Sans aller jusqu'à dire que la saison 5 est la meilleure (bien que d'un certain point de vue la plus "riche"), je dirais qu'elle s'impose comme la démonstration plutôt habile d'une transformation particulièrement osée et risquée.
Si, sur la fin de la saison 4 soufflait déjà par moments un vent présageant l'arrivée d'une certaine noirceur, d'un certain élan dramatique, A.A. confirme et décide ici de faire de son bébé une oeuvre mixte, nettement plus contrastée. Désormais, Kaamelott fait cohabiter son humour si efficace avec une nouvelle dimension mélancolique. Là où la gigantesque parodie mettant en scène la décadence de la quête du Graal était synonyme d'hilarité et d'éternels fou-rires, c'est une tristesse inattendue qui vient s'ajouter progressivement au traitement de l'histoire.
Le Roi Arthur (tout comme son antagoniste Lancelot), et par extension, le Royaume, traversent une phase de profondes remises en question. Ce dernier, privé de son paradoxe qui le maintenait debout - si Arthur et Lancelot sont des "antithèses" l'un de l'autre, ils constituent néanmoins deux polarités complémentaires nécessaires à l'équilibre du Royaume - titube et décline. Son sort dépend désormais de l'issue des quêtes personnelles des protagonistes susnommés, tous deux à la recherche de leur véritable place.
A.A. nous prouve qu'il est capable de passer de façon plutôt fluide du comique au dramatique, de la joie à la tristesse, et vice-versa.
La prise de risque était immense et Kaamelott aurait pu en souffrir. Hors, non seulement la saison 5 ne casse pas la série, mais elle va bien au-delà de l'anecdote, de l'ornement, apportant un regard neuf sur l'oeuvre globale.
Ce livre est une rupture, un gigantesque fossé. C'est le moment où la série atteint une véritable maturité qui poursuit avec talent et ingéniosité l'œuvre des épisodes précédents. On peut d'ailleurs dire que ce livre V est le plus abouti et le plus réussi. Le pari était pourtant osé et Alexandre Astier a pris énormément de risques avec cette nouvelle fournée. Une ambiance sombre, déprimante, tout est terne et Kaamelott est plongé sous la neige. L'action prend place après l'échec de putsch du Roi Loth, le royaume tombe en ruine, les chevaliers quittent la table ronde et plusieurs clans autonomes émergent. Lancelot erre dans les montagnes avec sur ses pas l'énigmatique Méléagant qui tente de le manipuler et devient son mentor. Malgré cette ambiance noire l'humour est au rendez-vous et offre des scènes hilarantes dont la majorité font sans conteste parti des meilleures de la série. Les passages entre le Duc d'Aquitaine (Alain Chabat) et son épouse (Géraldine Nakache) sont savoureux. On notera également la présence de Christian Clavier qui livre une performance réussie et relativement sobre. Ce livre est riche et exploite de nombreux thèmes. La vengeance de Mevanwi, le départ de Merlin, Perceval, Karadoc, Yvain et Gauvain qui souhaitent fonder des clans autonomes, l'exil de Lancelot et la dépression de Arthur qui réalise qu'il n'a pas de descendance et qu'il n'a pas trouvé le Graal sont donc au centre de ce livre. La relation entre Arthur et Guenièvre prend de l'épaisseur et la reine gagne en maturité. Le roi Loth est hilarant notamment le passage où il raconte comment il a tué son père. La dame du lac est déchut et regarde totalement désespérée Arthur replanter Excalibur dans le rocher. Le livre est également émouvant, par exemple quand Arthur retrouve son père adoptif interprété par Guy Bedos. Les musiques sont parfaites et certains morceaux sont de petits bijoux. Le livre se termine sur un cliffhanger déprimant à souhait. Un renouveau maitrisé de bout en bout.