Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Obs
par Arnaud Sagnard
Après l’antisémitisme dans la première saison, ils s’intéressent cette fois à la propagation de la syphilis, révélatrice, entre autres choses, du peu de soin avec lequel la société traitait les femmes. [...] L’œil rivé sur les plaies de la société, « Paris Police 1905 » prolonge à sa façon les meilleurs feuilletons littéraires du XIXe siècle. Pourvu que la chaîne cryptée, après ne pas avoir renouvelé « OVNI(s) », son autre brillante tête de gondole, prolonge cette épatante aventure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Le médecin légiste Bertillon (formidable Christian Hecq), une des rares sources de comédie de la saga, invente sous nos yeux, avec son zèle scientifique et son ridicule pompeux, les bases du code de la route. Savoureux. À l’image d’une série raffinée, cruelle mais toujours exigeante envers elle-même et, mieux encore, dans le respect du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Monde
par T.S.
Cette saison hivernale se fait (un peu) moins sanguinolente que la précédente, mais bien plus toxique, empreinte qu’elle est d’une mélancolie qui n’a rien à voir avec la nostalgie : l’époque n’était pas décidément pas belle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Laura Berny
Tout en balançant toujours entre polar et histoires intimes, cette ambitieuse série de Fabien Nury, dense et sombre, a su se renouveler avec des personnages plus fouillés et une esthétique gothique où le bois de Boulogne devient un personnage à part entière…
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
En sortant le polar de ses tropes convenus pour se concentrer sur la fresque sociologique qu’il esquisse, Paris Police 1905 distille un parfum aussi vénéneux qu’entêtant
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Le résultat est d'autant plus saisissant que que tous les comédiens sont excellents, s'imposant sans jamais en faire trop dans la peau de personnage intelligemment écrits. Vivement la saison 3 !
Télé 7 Jours
par H. Chouchaoui
Après l'extrémisme politique de la fin du XIXe siècle, cette deuxième saison, tout aussi captivante, aborde l'impitoyable répression des mœurs à l'aube du XXe siècle.
Le Parisien
par La Rédaction
Pourtant, à force de naviguer entre plusieurs thèmes et de prendre le temps de les installer, les premiers épisodes perdent en rythme, en fluidité, au risque d’égarer le téléspectateur. Malgré la reconstitution et des comédiens impeccables, il faut patienter avant d’être happé et de découvrir un peu d’humanité dans la noirceur dominante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par La rédaction
Dans une ambiance sombre et anxiogène, le scénario déroule une enquête policière dense, et remarquablement interprétée. Le contexte politique et social est présenté de manière un peu brutale. Pour faire avancer l'intrigue la série ne parvient pas à éviter le piège de la caricature de certains personnages, notamment parmi les policiers.
L'Obs
Après l’antisémitisme dans la première saison, ils s’intéressent cette fois à la propagation de la syphilis, révélatrice, entre autres choses, du peu de soin avec lequel la société traitait les femmes. [...] L’œil rivé sur les plaies de la société, « Paris Police 1905 » prolonge à sa façon les meilleurs feuilletons littéraires du XIXe siècle. Pourvu que la chaîne cryptée, après ne pas avoir renouvelé « OVNI(s) », son autre brillante tête de gondole, prolonge cette épatante aventure.
Le Figaro Magazine
Le médecin légiste Bertillon (formidable Christian Hecq), une des rares sources de comédie de la saga, invente sous nos yeux, avec son zèle scientifique et son ridicule pompeux, les bases du code de la route. Savoureux. À l’image d’une série raffinée, cruelle mais toujours exigeante envers elle-même et, mieux encore, dans le respect du spectateur.
Le Monde
Cette saison hivernale se fait (un peu) moins sanguinolente que la précédente, mais bien plus toxique, empreinte qu’elle est d’une mélancolie qui n’a rien à voir avec la nostalgie : l’époque n’était pas décidément pas belle.
Les Echos
Tout en balançant toujours entre polar et histoires intimes, cette ambitieuse série de Fabien Nury, dense et sombre, a su se renouveler avec des personnages plus fouillés et une esthétique gothique où le bois de Boulogne devient un personnage à part entière…
Les Inrockuptibles
En sortant le polar de ses tropes convenus pour se concentrer sur la fresque sociologique qu’il esquisse, Paris Police 1905 distille un parfum aussi vénéneux qu’entêtant
Télé Câble Sat
Le résultat est d'autant plus saisissant que que tous les comédiens sont excellents, s'imposant sans jamais en faire trop dans la peau de personnage intelligemment écrits. Vivement la saison 3 !
Télé 7 Jours
Après l'extrémisme politique de la fin du XIXe siècle, cette deuxième saison, tout aussi captivante, aborde l'impitoyable répression des mœurs à l'aube du XXe siècle.
Le Parisien
Pourtant, à force de naviguer entre plusieurs thèmes et de prendre le temps de les installer, les premiers épisodes perdent en rythme, en fluidité, au risque d’égarer le téléspectateur. Malgré la reconstitution et des comédiens impeccables, il faut patienter avant d’être happé et de découvrir un peu d’humanité dans la noirceur dominante.
Télé Loisirs
Dans une ambiance sombre et anxiogène, le scénario déroule une enquête policière dense, et remarquablement interprétée. Le contexte politique et social est présenté de manière un peu brutale. Pour faire avancer l'intrigue la série ne parvient pas à éviter le piège de la caricature de certains personnages, notamment parmi les policiers.
Téléstar
Du bon polar sur fond historique.