Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Téléstar
par Romain Nigita
Déjà adapté deux fois au cinéma, notamment avec Bruce Willis, ce roman reprend vie grâce à la performance d'Eddie Redmayne, en véritable caméléon au coeur d'un thriller sophistiqué.
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
L’interprétation à couper le souffle d’Eddie Redmayne dans la peau du héros suscite l’empathie, là où l’enquêtrice paraît davantage antipathique. Ce jeu du chat et de la souris assez classique fonctionne parfaitement et gagne en intérêt en explorant la vie personnelle des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
Ce remake totalement dépoussiéré prend ainsi la forme d'un thriller léché à la photographie soignée et à l'intensité grisante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Millimétré et addictif.
20 Minutes
par Christophe Séfrin
Si certaines scènes virtuoses sont ici extrêmement bien ficelées et rythment pleinement la narration, elles ne constituent pas pour autant le ressort principal du récit, qui privilégie la psychologie de ses personnages et celle d’un héros qui n’en finit pas de révéler ses différentes facettes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Florian Anselme
Le récit se complique, multipliant les sous-intrigues sans intérêt, et semble hésiter constamment entre pur divertissement et thriller psychologique. Efficace, mais frustrant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"The Day of the Jackal" est avant tout un thriller brutal édifié à la gloire de son interprète principal, Eddie Redmayne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Thomas Destouches
"The Day of the Jackal" ne convainc pas totalement, la faute à un scénario qui aurait mérité d'être plus dépouillé, sec, tendu, sans sous-intrigues superflues qui nuisent à la pression.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
"The Day of the Jackal" fait le tour de l’Europe, enchaîne les cartes postales, les accents et les rebondissements improbables. On n’y vient pas pour trembler mais pour s’amuser, malgré les trop nombreuses circonvolutions du récit
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
Déjà adapté deux fois au cinéma, notamment avec Bruce Willis, ce roman reprend vie grâce à la performance d'Eddie Redmayne, en véritable caméléon au coeur d'un thriller sophistiqué.
Le Parisien
L’interprétation à couper le souffle d’Eddie Redmayne dans la peau du héros suscite l’empathie, là où l’enquêtrice paraît davantage antipathique. Ce jeu du chat et de la souris assez classique fonctionne parfaitement et gagne en intérêt en explorant la vie personnelle des protagonistes.
Première
Ce remake totalement dépoussiéré prend ainsi la forme d'un thriller léché à la photographie soignée et à l'intensité grisante.
Télé 7 Jours
Millimétré et addictif.
20 Minutes
Si certaines scènes virtuoses sont ici extrêmement bien ficelées et rythment pleinement la narration, elles ne constituent pas pour autant le ressort principal du récit, qui privilégie la psychologie de ses personnages et celle d’un héros qui n’en finit pas de révéler ses différentes facettes.
Le Journal du Dimanche
Le récit se complique, multipliant les sous-intrigues sans intérêt, et semble hésiter constamment entre pur divertissement et thriller psychologique. Efficace, mais frustrant.
Le Monde
"The Day of the Jackal" est avant tout un thriller brutal édifié à la gloire de son interprète principal, Eddie Redmayne.
Télé Loisirs
"The Day of the Jackal" ne convainc pas totalement, la faute à un scénario qui aurait mérité d'être plus dépouillé, sec, tendu, sans sous-intrigues superflues qui nuisent à la pression.
Télérama
"The Day of the Jackal" fait le tour de l’Europe, enchaîne les cartes postales, les accents et les rebondissements improbables. On n’y vient pas pour trembler mais pour s’amuser, malgré les trop nombreuses circonvolutions du récit