Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
20 Minutes
par Clio Weickert
Une autofiction décalée, drôle et truffée d’autodérision, dans laquelle la réalisatrice malmène avec délice son personnage, se moque de son statut d’actrice et de cette image d’intello évaporée et un peu mièvre qui lui colle à la peau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La rédaction
Judith Godrèche réalise là avec un brio une série décalée et rythmée. Il n’en fallait pas plus pour nous convaincre !
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Voix du Nord
par Benjamin Dubrulle
C’est fantasque et sombre à la fois. On passe de la comédie au drame. De la légèreté à la gravité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La rédaction
Ahurissante, réjouissante et émouvante mise en abyme, sa série, mise en musique par son fils, décrit ce come-back à Paris avec sa fille (incarnée par sa vraie fille), notamment ses tentatives pour lancer des films et séries.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Souvent drôle et gentiment barré, le récit épingle au passage la misogynie et le cynisme du milieu du cinéma.
Marie Claire
par Clélia Cohen
Malgré un léger manque de rythme, la série imprime un ton, mélange de fantaisie et de gravité, résolument singulier.
Téléstar
par Romain Nigita
Judith Godrèche revient sur sa relation avec à l'adolescence avec le cinéaste Benoît Jacquot : c'est là qu'elle est la plus émouvante et la plus imaginative dans sa mise en scène.
Le Monde
par Audrey Fournier
L’écriture est fragile, souvent maladroite, les dialogues ont parfois la scansion du théâtre sans que cela nous détourne des enjeux qui se déploient sous nos yeux et qui sont ceux de l’emprise, celle qui prospère à l’ombre du « mentorat » des jeunes actrices par les cinéastes qui les regardent et les dirigent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Jonathan Blanchet
Judith Godrèche signe sa première série, qui interroge et revisite sa carrière, non sans humour. Une autofiction moins badine qu'il n'y paraît.
Télé Câble Sat
par La Rédaction
Cette fiction imaginée par Judith Godrèche, actrice apparemment en manque de reconnaissance, est truffée de clichés.
Télérama
par Caroline Veunac
Décousue, Icon of French Cinema désarçonne quand même quand la loufoquerie l’emporte, et que la comédie de mœurs vire en vol au-dessus d’un nid de coucou.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Une autofiction décalée, drôle et truffée d’autodérision, dans laquelle la réalisatrice malmène avec délice son personnage, se moque de son statut d’actrice et de cette image d’intello évaporée et un peu mièvre qui lui colle à la peau.
Elle
Judith Godrèche réalise là avec un brio une série décalée et rythmée. Il n’en fallait pas plus pour nous convaincre !
La Voix du Nord
C’est fantasque et sombre à la fois. On passe de la comédie au drame. De la légèreté à la gravité.
Le Parisien
Ahurissante, réjouissante et émouvante mise en abyme, sa série, mise en musique par son fils, décrit ce come-back à Paris avec sa fille (incarnée par sa vraie fille), notamment ses tentatives pour lancer des films et séries.
Le Journal du Dimanche
Souvent drôle et gentiment barré, le récit épingle au passage la misogynie et le cynisme du milieu du cinéma.
Marie Claire
Malgré un léger manque de rythme, la série imprime un ton, mélange de fantaisie et de gravité, résolument singulier.
Téléstar
Judith Godrèche revient sur sa relation avec à l'adolescence avec le cinéaste Benoît Jacquot : c'est là qu'elle est la plus émouvante et la plus imaginative dans sa mise en scène.
Le Monde
L’écriture est fragile, souvent maladroite, les dialogues ont parfois la scansion du théâtre sans que cela nous détourne des enjeux qui se déploient sous nos yeux et qui sont ceux de l’emprise, celle qui prospère à l’ombre du « mentorat » des jeunes actrices par les cinéastes qui les regardent et les dirigent.
Première
Judith Godrèche signe sa première série, qui interroge et revisite sa carrière, non sans humour. Une autofiction moins badine qu'il n'y paraît.
Télé Câble Sat
Cette fiction imaginée par Judith Godrèche, actrice apparemment en manque de reconnaissance, est truffée de clichés.
Télérama
Décousue, Icon of French Cinema désarçonne quand même quand la loufoquerie l’emporte, et que la comédie de mœurs vire en vol au-dessus d’un nid de coucou.