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Moderne, drôle, fin, décalé, sensible, sincère. Les couleurs sont magnifiques, le cadrage est sophistiqué, l’esthétique, la musique est à écouter. Bravo!
Autant Judith était émouvante dans "Quotidien" de Yann barthes l'autre soir sur TMC, autant sa série est nulle.... Difficile même d'aller au delà du 1er épisode tellement c 'est trop autocentré...
La cause est belle ... Dommage que ce soit si mal joué ou surjoué. La mise en scène est plate, les scènes répétitives (les discussions inintéressantes pendant que les actrices se goinfrent...) Les personnages sont tous antipathiques...Il fait savoir rester objectif, j'aurais aimé adorer ce film, c'est loin d'être le cas
j ai adoré cette mini série qui met la lumière sur une star du cinéma français trop peu présente. je l ai trouvé d une humilité d une transparence livrant à cœur ouvert les démons de sa vie. Judith Godreche fait partie du panthéon des actrices française et cette réalisation montre qu elle est encore meilleure derrière la caméra. Bravo !!!
Bonne série, regardée d'une traite (les épisodes durent 30 mn). Judith Godrèche se jour d'elle-même et fait preuve d'une belle auto-dérision. Quelques lenteurs parfois, l'ensemble reste plaisant et agréable à regarder. Toute sa famille a mis la main à la patte pour cette série : son fils a participer à la musique du générique, aux sous-titrage, sa fille jour son propre rôle, et même le chien est de la partie. La double lecture de la série est intéressante : Judith aujourd'hui et l'ado de 14 ans découvrant l'univers du cinéma. Est-ce qu'il y aurait du transgénérationnel dans cette série ? De l'intergénérationnel certainement en revisitant son passé, en étant présente pour éviter à sa fille une répétition traumatique.
Bonjour
Pathétique dans l écriture et la réalisation
Mauvais casting, une série a oublier, je comprend pourquoi l auteure fait autant de bruit avec son histoire pour avoir de la publicité pour sa série nullissime
Trés decu
Pathétique dans l écriture et la réalisation
Mauvais casting, une série a oublier, je comprend pourquoi l auteure fait autant de bruit avec son histoire pour avoir de la publicité pour sa série nullissime
Trés decu
Un demi épidode, j'aurai tenu...
L'image est inimaginablement laide, les couleurs sont un peu jaunasses et l'image semble avoir été passée par un filtre qui rend tout un peu moumou. spoiler: Je pensais d'abord que c'était un effet flashback... comme la première scène se déroule dans le passé... Mais non... toute la suite a cette même esthétique molle, cotonneuse... à l'aune de tout le reste.
Le montage est, lui, d'emblée chaotique. Dès la première scène, on a la sale impression de sentir en arrière plan les séquences coupées au montage, tout simplement parce qu'elles manquent et que, du coup, ça va tout le temps trop vite. Il y a à chaque fois tout juste la place/le temps pour caser les (mauvais) dialogues: Dans les scènes (qui s'enchaînent à une cadence stroboscopique) les plans ne commencent pas avant que l'acteur parle et la caméra s'éteint dès qu'il ferme la bouche. Irritant au possible. À croire que le tournage a été fait en 35mm et que la production était regardante sur le métrage de pellicule utilisée... Dès la première scène, c'est bâclé: On n'a pas le temps de découvrir les personnages que l'on change déjà d'époque, de lieu. L'identification est impossible. Est-ce le format de la série qui a obligé la réalisatrice à tenter d'obtenir une forme de "punch" en enchaînant les scènes sans traîner ? En tout cas, ça ne fonctionne pas du tout: on a le sentiment de regarder un résumé de film très lapidaire mais très long, un genre de synopsis filmé qui n'en finirait pas...
Le jeu de tous les acteurs (grands, petits, vieux, jeunes) est inconcevablement mauvais. spoiler: Du coup, ça nous est complètement égal que certains des acteurs soient en fait des proches de Judith Godrèche qui jouent leur propre rôle... du moment qu'ils sont insupportablement faux.
Et ce n'est pas du faux à la Rohmer, qui permettrait de vraiment entendre le texte, non, c'est du faux faux, tout bêtement. De toute façon, il n'y a pas de texte à entendre...
Les dialogues sont mal écrits, pas naturels, ni drôles, ni fins, ni intéressants, ni étonnants, ni rien...
Le propos, quant à lui, est insupportablement autocentré. La relation tendancieuse avec "un réalisateur célèbre âgé de 40 ans quand elle en a 14" est ridiculement amorcée dans une scène d'audition catastrophique, vu que la jeune actrice qui joue Judith Godrèche ado est une vraie potiche et qu'on ne voit pas bien ce qui, chez elle, pourrait subjuguer le monsieur... On est quand même très très très loin de Jodie Foster dans Taxi driver. spoiler:
Tous (Judith Godrèche la première) ont un jeu outré, à la limite du gras, du grossier. Ça pourrait être un choix, pourquoi pas (pour obtenir un effet comique?), sauf que je n'ai pas vu ou pas compris la raison de ce choix (vu que je n'ai pas vu où aurait été le comique), et même je doute que c'en soit vraiment un, de choix. On sent plutôt des acteurs très mal dirigés et surtout obligés de jouer des scènes bien trop rapides et brèves pour qu'ils puissent entrer dans leurs personnages. Bon et puis tout ça pour assister à l'automonstration compassée de la vie de Madame Godrèche, c'est trop pour moi. C'est paraît-il quand même avec humour et autodérision qu'elle le fait. Si c'est le cas, alors laissons lui quand même d'avoir inventé l'humour guindé et l'autodérision pathétique...
L'image est inimaginablement laide, les couleurs sont un peu jaunasses et l'image semble avoir été passée par un filtre qui rend tout un peu moumou. spoiler: Je pensais d'abord que c'était un effet flashback... comme la première scène se déroule dans le passé... Mais non... toute la suite a cette même esthétique molle, cotonneuse... à l'aune de tout le reste.
Le montage est, lui, d'emblée chaotique. Dès la première scène, on a la sale impression de sentir en arrière plan les séquences coupées au montage, tout simplement parce qu'elles manquent et que, du coup, ça va tout le temps trop vite. Il y a à chaque fois tout juste la place/le temps pour caser les (mauvais) dialogues: Dans les scènes (qui s'enchaînent à une cadence stroboscopique) les plans ne commencent pas avant que l'acteur parle et la caméra s'éteint dès qu'il ferme la bouche. Irritant au possible. À croire que le tournage a été fait en 35mm et que la production était regardante sur le métrage de pellicule utilisée... Dès la première scène, c'est bâclé: On n'a pas le temps de découvrir les personnages que l'on change déjà d'époque, de lieu. L'identification est impossible. Est-ce le format de la série qui a obligé la réalisatrice à tenter d'obtenir une forme de "punch" en enchaînant les scènes sans traîner ? En tout cas, ça ne fonctionne pas du tout: on a le sentiment de regarder un résumé de film très lapidaire mais très long, un genre de synopsis filmé qui n'en finirait pas...
Le jeu de tous les acteurs (grands, petits, vieux, jeunes) est inconcevablement mauvais. spoiler: Du coup, ça nous est complètement égal que certains des acteurs soient en fait des proches de Judith Godrèche qui jouent leur propre rôle... du moment qu'ils sont insupportablement faux.
Et ce n'est pas du faux à la Rohmer, qui permettrait de vraiment entendre le texte, non, c'est du faux faux, tout bêtement. De toute façon, il n'y a pas de texte à entendre...
Les dialogues sont mal écrits, pas naturels, ni drôles, ni fins, ni intéressants, ni étonnants, ni rien...
Le propos, quant à lui, est insupportablement autocentré. La relation tendancieuse avec "un réalisateur célèbre âgé de 40 ans quand elle en a 14" est ridiculement amorcée dans une scène d'audition catastrophique, vu que la jeune actrice qui joue Judith Godrèche ado est une vraie potiche et qu'on ne voit pas bien ce qui, chez elle, pourrait subjuguer le monsieur... On est quand même très très très loin de Jodie Foster dans Taxi driver. spoiler:
Tous (Judith Godrèche la première) ont un jeu outré, à la limite du gras, du grossier. Ça pourrait être un choix, pourquoi pas (pour obtenir un effet comique?), sauf que je n'ai pas vu ou pas compris la raison de ce choix (vu que je n'ai pas vu où aurait été le comique), et même je doute que c'en soit vraiment un, de choix. On sent plutôt des acteurs très mal dirigés et surtout obligés de jouer des scènes bien trop rapides et brèves pour qu'ils puissent entrer dans leurs personnages. Bon et puis tout ça pour assister à l'automonstration compassée de la vie de Madame Godrèche, c'est trop pour moi. C'est paraît-il quand même avec humour et autodérision qu'elle le fait. Si c'est le cas, alors laissons lui quand même d'avoir inventé l'humour guindé et l'autodérision pathétique...
Subtile Judith Godreche. Se montre un peu moins fine qu'elle n'est pour la comédie. Ceux qui aiment l'humilité qui conduit au rire adoreront. Me too.
Vraiment bizarre cette série. Au départ, plutôt perplexe devant ce mélange d'auto-centrisme très complaisant de petite bourgeoise qui se veut tellement cool et d'autodérision. A la fois de, avec, et à la gloire de Judith Godrèche mais qui en même temps se met en scène en looseuse assez pathétique. Je ne savais pas trop quoi en penser, qu'est-ce qu'elle cherchait à nous raconter dans cette histoire.
Des passages vraiment grotesques et sidérant de manque de crédibilité, sous prétexte de femme libérée (qui demande à voir les dick pick de sa femme de ménage ??)
Pas du tout convaincue par l'interprétation de Judith Godrèche dont les mimiques et les larges sourires sonnent faux et forcés. Jeu de Tess Barthémy approximatif, mais de jolies scènes de danse.
C'est devenu carrément malaisant lorsque j'ai découvert que c'est totalement autobiographique, sa fille jouant jouant son propre rôle par exemple. Je ne connaissais pas le passé de Judith Godrèche avec Benoit Jacquot.
Je trouve très gênant ce déballage de sa vie privé sans distanciation, brute, en forme de thérapie prenant le spectateur à témoin. J'ai eu le même ressenti lorsque j'ai vu le film de Gad El Maleh "Reste un peu". L'impression d'assister à l'exposition de l'intimité d'une personne que je ne connais pas. Comme si une parfaite inconnue me racontait ses histoires de cul dans le détail.
Après, je comprends l'envie de la réalisatrice de parler de ce vécu, et je ne veux pas non plus complètement descendre la série parce que je pense que c'est quelque chose d'important pour elle, mais globalement ça ne m'a pas plu, malgré des passages plaisants.
Des passages vraiment grotesques et sidérant de manque de crédibilité, sous prétexte de femme libérée (qui demande à voir les dick pick de sa femme de ménage ??)
Pas du tout convaincue par l'interprétation de Judith Godrèche dont les mimiques et les larges sourires sonnent faux et forcés. Jeu de Tess Barthémy approximatif, mais de jolies scènes de danse.
C'est devenu carrément malaisant lorsque j'ai découvert que c'est totalement autobiographique, sa fille jouant jouant son propre rôle par exemple. Je ne connaissais pas le passé de Judith Godrèche avec Benoit Jacquot.
Je trouve très gênant ce déballage de sa vie privé sans distanciation, brute, en forme de thérapie prenant le spectateur à témoin. J'ai eu le même ressenti lorsque j'ai vu le film de Gad El Maleh "Reste un peu". L'impression d'assister à l'exposition de l'intimité d'une personne que je ne connais pas. Comme si une parfaite inconnue me racontait ses histoires de cul dans le détail.
Après, je comprends l'envie de la réalisatrice de parler de ce vécu, et je ne veux pas non plus complètement descendre la série parce que je pense que c'est quelque chose d'important pour elle, mais globalement ça ne m'a pas plu, malgré des passages plaisants.
A la fois légère et drôle puissante et très bien écrite et filmée. Il y a quelque chose de profondément touchant. Il ne faut pas manquer la série. C'est un petit bijou.
Maniéré, long pénible et nombriliste.
Alors c'était peut être de l'autodérision mais sans le talent et l'humour de Woodie Allen donc on y entre quasiment jamais et il ne reste que le minaudage.
Place aux artistes qui ont encore quelque chose à dire....
Alors c'était peut être de l'autodérision mais sans le talent et l'humour de Woodie Allen donc on y entre quasiment jamais et il ne reste que le minaudage.
Place aux artistes qui ont encore quelque chose à dire....
ferdinand75
Une sorte d'auto fiction , où Judith Godrèche se regarde le nombril sans cesse . Il n'y pas de scénario, juste ce pseudo retour en France pour trouver un nouveau rôle qui relancerait sa carrière . Il faut noter que Madame n'est pas vraiment une icone du cinéma français, tout juste un ou deux films dans son adolescence ( on est loin de Anna Karina , Juliette Binoche ou Isabelle Huppert, icônes elles), avec d'ailleurs les 2 réalisateurs "cultes" qu'elle égratigne maintenant . Il faut donc savoir , elle leur doit tout , ou rien ? et un cauchemar pour emprise ? Elle surjoue sans cesse se prenant pour une star du cinéma US, très maquillée, souvent ridicule, minaudant, grimassant. Et le film est très vulgaire, beaucoup de gros mots à connotation sexuelle, d'ailleurs très "crades" , pas drôles du tout. Entonnant pour quelqu'un qui se plaint d'abus? est-ce pour monter qu'elle est quand même libérée ? la ficelle est grosse. Sa manière de filmer la jeune actrice qui la représente ado est d'ailleurs assez ambiguë, utilisant les moyens qu'elle dénonce . On est souvent mal à l'aise devant cette néo fiction, que l'on a du mal à poursuivre jusqu'au bout .
quelques moments d autoderision un peu drôle. Le reste avec aucun autre intérêt pour le spectateur. Pour la réalisatrice ? faire travailler sa fille.
On ne peut que conseiller de regarder Icon of French Cinéma : une mini-série de six épisodes de 30 minutes chacun, disponible gratuitement sur Arte.tv, pleine d'humour et d'émotion, pleine d'ironie et de dérision, pleine de tâtonnements aussi, ceux d'une femme qui se bat avec les démons de son passé et d'une mère qui cherche à protéger sa fille.
Icon of French Cinéma pose un regard sans complaisance sur notre monde et se paie le luxe d'une critique acerbe du milieu du cinéma. La série écrite, réalisée et jouée par Judith Godrèche met en scène des tranches de la vie d'une femme dans des situations de tous les jours, notamment au restaurant, en train de manger, ce qui peut paraître dérisoire mais qui est si rare au cinéma : ça fait du bien !
Elle nous interroge sur le processus sélectif de la mémoire et sur la manière dont vivent en nous les traces de notre histoire.
En plus d'être un témoignage fort et courageux inspiré de la vie de l'actrice, c'est aussi une fiction qui raconte une belle histoire de sororité, comme on aimerait en voir plus souvent.
Un grand bravo à Judith Godrèche, et un grand merci.
Icon of French Cinéma pose un regard sans complaisance sur notre monde et se paie le luxe d'une critique acerbe du milieu du cinéma. La série écrite, réalisée et jouée par Judith Godrèche met en scène des tranches de la vie d'une femme dans des situations de tous les jours, notamment au restaurant, en train de manger, ce qui peut paraître dérisoire mais qui est si rare au cinéma : ça fait du bien !
Elle nous interroge sur le processus sélectif de la mémoire et sur la manière dont vivent en nous les traces de notre histoire.
En plus d'être un témoignage fort et courageux inspiré de la vie de l'actrice, c'est aussi une fiction qui raconte une belle histoire de sororité, comme on aimerait en voir plus souvent.
Un grand bravo à Judith Godrèche, et un grand merci.
Ce quu est dingue c est le nombre de faux comptes venus faire grimper la note de cette série totalement nulle. Le jeu d acteur est absolument mauvais. Il faudrait quand même le souligner car à ce point c est dramatique. On voit où elle souhaitait aller mais aucune profondeur dans les personnages ne vient étoffer le récit...Rien est drôle ...et cette volonté de se moquer de soi ne prend absolument pas on y croit absolument pas