Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Caroline Constant
La série, en creux, pose des questions plutôt pertinentes : qu’est-ce qu’un héros ? À qui appartient une légende ? Peut-on être à la fois un héros et une ordure ? Elle finit par une ode à une révolution et à l’espoir aussi joyeuse, vibrante et légère que toute la série.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Avec ce Zorro que réalisent Emilie Noblet et Jean-Baptiste Saurel, les Français débarquent à "Los Angeles" (en espagnol dans le texte) et proposent un programme où dominent l'humour et un sens de l'autodérision, inhérents évidemment à la franchise mais portés à leur paroxysme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Arnaud Sagnard
La série de Benjamin Charbit et Noé Debré transcende avec maîtrise et insolence la franchise du justicier masqué.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Grâce à une réalisation ample qui met en valeur les décors naturels d’Andalousie et à un sens du détail assez poussé, on retrouve le frisson intemporel de l’aventure. Et l’humour ne vient pas dénaturer ce sentiment, bien au contraire. Une très belle actualisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Jean-Christophe Buisson
Sans doute flirte-t-on avec la parodie et a-t-on parfois l'impression d'être dans OSS 117 ou M. et Mrs. Smith, mais ces huit épisodes se regardent avec délectation et parfois jubilation. Et au galop !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Jean Dujardin a servi assez longtemps dans les services français pour maîtriser parfaitement l’équilibre entre pastiche et construction d’un personnage, Grégory Gadebois offre à son sous-officier une dimension poétique charmante, Audrey Dana joue comme dans du Feydeau. Le genre de cadeau inattendu dont on se demande à quoi il sert mais dont on ne peut se défaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Anaïs Berno
Jean Dujardin se glisse sous le masque de "Zorro" dans une version étonnamment moderne, drôle et généreuse du mythe du justicier.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Sud Ouest
par Jean-Michel Selva
Les créateurs de cette série ont pris ici le parti de l’humour et de l’autodérision. (...) Il en résulte un bon divertissement aux moments désopilants et aux scènes d’action bien ficelées.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La puissance comique de Jean Dujardin, associée à la complicité d'une troupe d'élite, chahute avec une irrévérence joyeuse la légende pour mieux la célébrer.
Voici
par D.B.
"Zorro" se veut grand spectacle et grosse comédie, entre Les Nuls et "OSS 117". Mais pas que : le récit fait aussi la part belle à la vie de couple de Diego et à l'usure qui la mine.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce "Zorro" vaudevillesque peine dans son ensemble à soutenir la comparaison avec les films de Michel Hazanavicius, malgré quelques bonnes idées et situations faisant mouche, comme parfois son drôle de trio amoureux.
Le Point
par La rédaction
Comique de situation, gags et dialogues au second degré... On rit des déboires de ce Zorro déconstruit qui n'est pas loin de finir sur un canapé… à regarder Zorro !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Si la série ne parvient pas toujours à trouver un équilibre entre les genres qu'elle frôle, de l'aventure pure à la romance, si elle n'assume pas non plus sa dimension de fable politique au service des opprimé.es, on aime qu'elle finisse par trouver sa voie dans un territoire de purs sentiments.
Libération
par Marius Chapuis
Le côté suranné du personnage, ce Zorro l’assume pleinement et en rajoute en travaillant aussi bien narrativement que visuellement le langage de la passion tout feu tout flamme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Jonathan Blanchet
Une fois la grille de lecture acceptée, cette nouvelle itération feuilletonnante fait preuve de tout le sens de l'épique que l'on pouvait en attendre.
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Tout en respectant les codes du genre, Jean Dujardin propose une version paumée et candide du personnage. Un régal.
Télé Loisirs
par Stéphanie Fuzeau
Dans cette adaptation où un Don Diego vieillissant reprend l'épée, l'acteur cabotine avec panache, comme il sait le faire, et le résultat est très plaisant.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On a aimé les grands espaces sauvages du sud de l’Espagne. On a surtout remarqué la performance de Grégory Gadebois, un sergent Garcia impayable, mélancolique, touchant même, réalisant l’importance de son lien psychanalytique avec celui qu’il poursuit inlassablement.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Pauline Conradsson
Une adaptation plutôt réussie, qui mêle humour potache, scènes d’actions rocambolesques, et réflexions plus intimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Téléstar
par Romain Nigita
Dans ce pastique du célèbre héros, Jean Dujardin est en pilote automatique et nous ressert la même performance au second degré que dans les "OSS 117".
Ecran Large
par Antoine Desrues
Ce Zorro se voudrait pastiche de la série de Disney. On est plutôt face à une piètre parodie, où Jean Dujardin refait "OSS 117", et amoindrit les rares pistes de réflexion de ce foutoir déséquilibré.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
La série, en creux, pose des questions plutôt pertinentes : qu’est-ce qu’un héros ? À qui appartient une légende ? Peut-on être à la fois un héros et une ordure ? Elle finit par une ode à une révolution et à l’espoir aussi joyeuse, vibrante et légère que toute la série.
Franceinfo Culture
Avec ce Zorro que réalisent Emilie Noblet et Jean-Baptiste Saurel, les Français débarquent à "Los Angeles" (en espagnol dans le texte) et proposent un programme où dominent l'humour et un sens de l'autodérision, inhérents évidemment à la franchise mais portés à leur paroxysme.
L'Obs
La série de Benjamin Charbit et Noé Debré transcende avec maîtrise et insolence la franchise du justicier masqué.
Le Dauphiné Libéré
Grâce à une réalisation ample qui met en valeur les décors naturels d’Andalousie et à un sens du détail assez poussé, on retrouve le frisson intemporel de l’aventure. Et l’humour ne vient pas dénaturer ce sentiment, bien au contraire. Une très belle actualisation.
Le Figaro
Sans doute flirte-t-on avec la parodie et a-t-on parfois l'impression d'être dans OSS 117 ou M. et Mrs. Smith, mais ces huit épisodes se regardent avec délectation et parfois jubilation. Et au galop !
Le Monde
Jean Dujardin a servi assez longtemps dans les services français pour maîtriser parfaitement l’équilibre entre pastiche et construction d’un personnage, Grégory Gadebois offre à son sous-officier une dimension poétique charmante, Audrey Dana joue comme dans du Feydeau. Le genre de cadeau inattendu dont on se demande à quoi il sert mais dont on ne peut se défaire.
Ouest France
Jean Dujardin se glisse sous le masque de "Zorro" dans une version étonnamment moderne, drôle et généreuse du mythe du justicier.
Sud Ouest
Les créateurs de cette série ont pris ici le parti de l’humour et de l’autodérision. (...) Il en résulte un bon divertissement aux moments désopilants et aux scènes d’action bien ficelées.
Télé 7 Jours
La puissance comique de Jean Dujardin, associée à la complicité d'une troupe d'élite, chahute avec une irrévérence joyeuse la légende pour mieux la célébrer.
Voici
"Zorro" se veut grand spectacle et grosse comédie, entre Les Nuls et "OSS 117". Mais pas que : le récit fait aussi la part belle à la vie de couple de Diego et à l'usure qui la mine.
Le Journal du Dimanche
Ce "Zorro" vaudevillesque peine dans son ensemble à soutenir la comparaison avec les films de Michel Hazanavicius, malgré quelques bonnes idées et situations faisant mouche, comme parfois son drôle de trio amoureux.
Le Point
Comique de situation, gags et dialogues au second degré... On rit des déboires de ce Zorro déconstruit qui n'est pas loin de finir sur un canapé… à regarder Zorro !
Les Inrockuptibles
Si la série ne parvient pas toujours à trouver un équilibre entre les genres qu'elle frôle, de l'aventure pure à la romance, si elle n'assume pas non plus sa dimension de fable politique au service des opprimé.es, on aime qu'elle finisse par trouver sa voie dans un territoire de purs sentiments.
Libération
Le côté suranné du personnage, ce Zorro l’assume pleinement et en rajoute en travaillant aussi bien narrativement que visuellement le langage de la passion tout feu tout flamme.
Première
Une fois la grille de lecture acceptée, cette nouvelle itération feuilletonnante fait preuve de tout le sens de l'épique que l'on pouvait en attendre.
Télé Câble Sat
Tout en respectant les codes du genre, Jean Dujardin propose une version paumée et candide du personnage. Un régal.
Télé Loisirs
Dans cette adaptation où un Don Diego vieillissant reprend l'épée, l'acteur cabotine avec panache, comme il sait le faire, et le résultat est très plaisant.
La Voix du Nord
On a aimé les grands espaces sauvages du sud de l’Espagne. On a surtout remarqué la performance de Grégory Gadebois, un sergent Garcia impayable, mélancolique, touchant même, réalisant l’importance de son lien psychanalytique avec celui qu’il poursuit inlassablement.
Le Parisien
Une adaptation plutôt réussie, qui mêle humour potache, scènes d’actions rocambolesques, et réflexions plus intimes.
Téléstar
Dans ce pastique du célèbre héros, Jean Dujardin est en pilote automatique et nous ressert la même performance au second degré que dans les "OSS 117".
Ecran Large
Ce Zorro se voudrait pastiche de la série de Disney. On est plutôt face à une piètre parodie, où Jean Dujardin refait "OSS 117", et amoindrit les rares pistes de réflexion de ce foutoir déséquilibré.