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Sarah Rimbaud
3 abonnés
25 critiques
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Critique de la série
2,0
Publiée le 31 janvier 2024
Bon ben en fait je m'attendais à mieux. Ben nan c'est mou c'est très long. On essaye de comprendre gus et au final ben ya pas grand chose a comprendre lol. A la fin tu te dis tout ça pour ça? Juste une pseudo mafia le méchant est en prison les autres meurent.... Purée je me suis ennuyée.
Une famille de white trash australienne en banlieue de nulle part, accumule les emmerdes avec un soin particulier. Ça commence comme un film belge (« La Merditude des Choses »), mais sans le réalisme social et la qualité d’écriture. C’est bien gentil, mais on rit rarement et finalement on arrive péniblement au bout.
Très déçue de cette série qui devait s’avérer introspective , qui en fait se passe comme des faits divers qu’on regarde en attendant la porte de sortie de tous ces personnages non émouvant . J’ai pas accroché
"Boy Swallow Universe," une série d'animation australienne remarquable, plonge les spectateurs dans le quotidien complexe et captivant d'une famille peu ordinaire, vivant dans les quartiers défavorisés de l'Australie. Cette série se distingue par une interprétation magistrale de ses personnages, alliant une profondeur poétique et philosophique à une réalité souvent brutale. L'attachement aux personnages se fait rapidement, porté par un univers et une atmosphère qui captivent l'imaginaire.
La trame narrative, bien que servant davantage de toile de fond à l'exploration des dynamiques familiales et sociales, engage le spectateur dans une réflexion sur la résilience et les contradictions de l'existence humaine. Cependant, l'achèvement de la série soulève des avis partagés. Le dernier épisode, en prenant des libertés scénaristiques audacieuses, semble trahir la finesse et la cohérence de l'ensemble pour un dénouement qui emprunte aux codes du film d'horreur pour adolescents. Cette rupture stylistique, bien qu'ayant pour but de conclure l'histoire, peut donner l'impression d'une concession faite aux impératifs de la production ou à une volonté d'élargir l'audience, au détriment de la qualité narrative établie jusqu'alors.
En dépit de cette conclusion controversée, "Boy Swallow Universe" demeure une œuvre d'une richesse exceptionnelle. Il serait presque sage de s'abstenir de visionner le dernier épisode pour préserver l'intégrité de l'expérience, se concentrant ainsi sur la beauté et la complexité des épisodes qui précèdent, témoignant de la puissance évocatrice et de la singularité de cette série australienne.
Surfant sur la mode des parents dealers/camé et des enfants futés/perdus, cette série me semble ne jamais décoller ni trouver son rythme. OK pour saluer les acteurs (quoique Travis soit un peu "trop") mais moins les scénaristes. Peut-être que le sujet est trop galvaudé, et que pris isolément, ce roman tient la route. Mais il n'y aura plus de surprise, donc j'ai la flemme. Allons, encore un effort plus que deux épisodes
Série agréable à regarder, scénario plutôt bien ficelé. spoiler: Seul déception, la fin est quelque peu bâclée....Quand on voit qu'Eli et la journaliste entre dans l'entrepôt pour y découvrir le bunker qu'ils arrivent à ouvrir en appuyant sur un simple bouton, on se dit que les scénaristes ont dû avoir une grosse panne sur la fin.
Pour le reste les acteurs sont très bons! Mention spéciale à Eli (jeune et plus âgé).
Quelle belle découverte Une série qui nous plonge dans une population pauvre, un père alcoolique une mère toxicomane, reseau de drogue, corruptions et 2 enfants qui survivent et s epaulent. Une belle intrigue bien ficelée et des acteurs top dans leur role
Série australienne atypique avec d' anciennes gloires de séries t-v , Brian Brown , Simon Baker et Anthony LaPaglia mais c'est surtout le jeune Félix Cameron qui incarne le garçon de 13 ans , mêlé malgré lui à un trafic de drogue avec son beau-père, qui se révèle . Sa famille complètement à côté de la plaque avec une mère junkie , un frère lunaire , un beau-père barré et un père absent et alcoolique . Une fois entré dans la série , on attend le final . A voir
Quelle surprise que cette série. Une surprise qu'on prend en pleine poire et qui laisse une trace. Des personnages auxquels on s'attache et qui donnent envie de voir la suite au fil des épisodes. Mais là où ça frappe fort, c'est le casting : le jeu du gamin est bluffant notamment. Simon Baker est quasi méconnaissable. Ne vous laissez pas influencer par les deux trois avis négatifs. C'est qu'ils n'ont rien compris ou ce sont arrêtés aux 15 premières minutes.
Le garçon et l’univers est une série dramatique qui aborde des thèmes difficiles comme les violences domestiques, la pauvreté et la dépendance à l’alcool et aux drogues. Pour être tout à fait honnête j’ai trouvé les 5 premiers épisodes vraiment bien construit et fort en émotion et je les ai adorés ! En revanche je ne sais pas ce qu’il c’est passé mais les 2 derniers épisodes sont vraiment en dessous en terme de qualité et prennent une forme beaucoup plus simplistes par rapport aux autres et je trouve cela vraiment dommage que la série ne finisse pas d’une manière plus « mature ».
Autant les premiers épisodes sont bien faits, très bien joués, notamment le jeune Eli, autant le dernier épisode est invraisemblable, débile et navrant. Ça casse tout le reste.
Contrairement à beaucoup d'entre vous je suis tombé sous le charme dès le premier épisode. Cette série est simplement remarquable. Felix Cameron a très clairement un avenir dans le cinéma, jamais un gamin ne m'aura autant touché par son jeu d'acteur. Il est brillant. Ils sont d'ailleurs tous brillants. Je viens à peine de la terminer que j'y retourne une seconde fois. N'hésitez pas, foncez !