Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Dans la lignée de "The Boys" ou d'"Umbrella Academy", "SupraCell" joue tant sur son aspect fantastique que sur son côté drame de banlieue, largement développé sur fond de guerre des gangs.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Les personnages courent très vite, deviennent invisibles, se téléportent, mais rien d’ébouriffant par rapport aux petits drames de ces êtres un brin lisses mais attachants. En un sens, la série s’apparente plutôt à un soap pas désagréable dans le South London.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Ecrite et réalisée par le rappeur Rapman, cette série britannique joue avec les codes des super-héros en les inscrivant dans une réalité du quotidien.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Porté par une troupe de jeunes comédiens convaincus et convaincants, SupraCell finit, malgré sa gaucherie adolescente, par imposer sa chronique fantastique du quotidien de South London.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Dans ce début de saison, le rythme manque d'entrain et le jeu de certains acteurs n'est pas naturel. Ce n'est qu'à la fin du quatrième épisode que les choses s'enclenchent et semblent enfin apporter la dose d'action qu'on attendait.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Point
par Yaël Djender
Certes, SupraCell ne révolutionnera pas le genre, comme elle l'escomptait peut-être. La série marque cela dit une belle progression par rapport au reste des incursions récentes plutôt décevantes de Netflix dans le domaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 7 Jours
Dans la lignée de "The Boys" ou d'"Umbrella Academy", "SupraCell" joue tant sur son aspect fantastique que sur son côté drame de banlieue, largement développé sur fond de guerre des gangs.
Télérama
Les personnages courent très vite, deviennent invisibles, se téléportent, mais rien d’ébouriffant par rapport aux petits drames de ces êtres un brin lisses mais attachants. En un sens, la série s’apparente plutôt à un soap pas désagréable dans le South London.
Téléstar
Ecrite et réalisée par le rappeur Rapman, cette série britannique joue avec les codes des super-héros en les inscrivant dans une réalité du quotidien.
Le Monde
Porté par une troupe de jeunes comédiens convaincus et convaincants, SupraCell finit, malgré sa gaucherie adolescente, par imposer sa chronique fantastique du quotidien de South London.
Télé Loisirs
Dans ce début de saison, le rythme manque d'entrain et le jeu de certains acteurs n'est pas naturel. Ce n'est qu'à la fin du quatrième épisode que les choses s'enclenchent et semblent enfin apporter la dose d'action qu'on attendait.
Le Point
Certes, SupraCell ne révolutionnera pas le genre, comme elle l'escomptait peut-être. La série marque cela dit une belle progression par rapport au reste des incursions récentes plutôt décevantes de Netflix dans le domaine.