Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Emeline Collet
66-5 sur Canal + donne un coup de jeune à la série judiciaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marius Chapuis
Crue, lorgnant une fidélité quasi documentaire, mais éminemment dépendante du duo flics-voyous sans qui rien ne semble pouvoir exister.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Cette série judiciaire étonne par la solidité de son approche du genre, efficace et prenante.
Télérama
par Caroline Veunac
Nourrie de cette capacité d’empathie, 66-5 reconnaît à chacun une histoire, une humanité, des circonstances qui lui sont propres. Et en donnant le premier rôle à une transfuge de classe, la série décuple la perception du contexte social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par CNEWS
Capable de donner corps à une "caillera" et d'être tout aussi crédible au cours d’une plaidoirie, Alice Isaaz y propose une superbe performance.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Figaro Magazine
par Céline Fontana
La série est une réussite enfin par ses seconds rôles, complexes et justes. Avec la volonté d'esquisser des portraits d'héroïnes du quotidien, qui cherchent à trouver leur place et, parfois, y réussissent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Téléstar
par Romain Nigita
Cette héroïne illustre le fossé entre deux mondes et la difficulté de passer de l'un à l'autre. Soit le portrait humain mais sans concession de la banlieue, entre les trafics et les personnages attachants comme Yasmine, la meilleure amie de Roxane, incarnée par l'excellente Nailia Harzoune.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Empruntant son titre à un alinéa de l’article de la loi de 1971 régissant la profession d’avocat et portant sur le secret professionnel, la nouvelle série de la scénariste d’Engrenages repose, comme beaucoup de fictions françaises, sur le passage du périphérique parisien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Fabrice Dupreuilh
66-5, sans se montrer révolutionnaire, joue avec les clichés pour mieux les faire exploser. Et nous entraîne avec nervosité dans le sillage d'une « battante » comme aime à la définir Alice Isaaz, son interprète.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
"66-5" n’échappe pas à tous les clichés sur la banlieue, mais en contourne un certain nombre, en montrant d’abord un lieu habitable, à conquérir, où il est possible de respirer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jonathan Blanchet
Entre deux temporalités, la série s’égare, délaisse son point de vue pour mettre l’emphase sur l’histoire criminelle qu’elle va devoir démêler, contraignant la fiction à des contorsions et rebondissements à marche forcée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
66-5 sur Canal + donne un coup de jeune à la série judiciaire.
Libération
Crue, lorgnant une fidélité quasi documentaire, mais éminemment dépendante du duo flics-voyous sans qui rien ne semble pouvoir exister.
Télé Câble Sat
Cette série judiciaire étonne par la solidité de son approche du genre, efficace et prenante.
Télérama
Nourrie de cette capacité d’empathie, 66-5 reconnaît à chacun une histoire, une humanité, des circonstances qui lui sont propres. Et en donnant le premier rôle à une transfuge de classe, la série décuple la perception du contexte social.
CNews
Capable de donner corps à une "caillera" et d'être tout aussi crédible au cours d’une plaidoirie, Alice Isaaz y propose une superbe performance.
Le Figaro Magazine
La série est une réussite enfin par ses seconds rôles, complexes et justes. Avec la volonté d'esquisser des portraits d'héroïnes du quotidien, qui cherchent à trouver leur place et, parfois, y réussissent.
Téléstar
Cette héroïne illustre le fossé entre deux mondes et la difficulté de passer de l'un à l'autre. Soit le portrait humain mais sans concession de la banlieue, entre les trafics et les personnages attachants comme Yasmine, la meilleure amie de Roxane, incarnée par l'excellente Nailia Harzoune.
Le Monde
Empruntant son titre à un alinéa de l’article de la loi de 1971 régissant la profession d’avocat et portant sur le secret professionnel, la nouvelle série de la scénariste d’Engrenages repose, comme beaucoup de fictions françaises, sur le passage du périphérique parisien.
Le Point
66-5, sans se montrer révolutionnaire, joue avec les clichés pour mieux les faire exploser. Et nous entraîne avec nervosité dans le sillage d'une « battante » comme aime à la définir Alice Isaaz, son interprète.
Les Inrockuptibles
"66-5" n’échappe pas à tous les clichés sur la banlieue, mais en contourne un certain nombre, en montrant d’abord un lieu habitable, à conquérir, où il est possible de respirer.
Première
Entre deux temporalités, la série s’égare, délaisse son point de vue pour mettre l’emphase sur l’histoire criminelle qu’elle va devoir démêler, contraignant la fiction à des contorsions et rebondissements à marche forcée.