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Marie Galante
2 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 3 février 2024
Une très belle série, jeu d acteurs, mise en scène magnifique, des retours en arrière filmés avec originalité. C'est un univers noir et une famille en souffrance mais attachante dans sa dureté. Le récit avec la voix d olivier Gourmet donne de la profondeur à la série. Je recommande. Âme sensibles s abstenir.
vraiment dommage que le dernier épisode (dont je ne révèlerais rien) soit raté car sinon c'est plutôt une bonne série avec une ambiance bien noire et un scénario jusque là assez bien ficelé même si le trop plein d'intrigues nuit au final au résultat.
Époustouflant ! Quelle qualité d'interprétation, de scénario, de mise en scène , de jeux d'acteurs ! une série où sensibilité et tendresse se mêle aux réalités douloureuses de la vie . J'ai particulièrement apprécié la coloration et l'identité de chaque personnage et tout particulièrement Pierre et Joy .Bravo pour les interprétations faites par Olivier Gourmet et Eliane Umuhire .
Rares sont mes critiques mais pourtant là, impossible de se taire. 6 épisodes de haute intensité. Dès le début, nous sommes plongés dans l'univers des dockers. Chaque nouvel épisode apporte une profondeur supplémentaire à la série et aux personnages explorant des thèmes sociaux et sociétaux majeurs révélant la complexité de l'Homme. Il faut quelques minutes pour que l'émotion redescende. Bravos et mention spéciale à la musique qui ajoute une puissance remarquable.
Série prétentieuse, le genre de scénario qui se croit intéressant juste parce qu'il dévoile lentement les clefs pour comprendre, hélas c'est du tissage autour d'un vite intersidéral, ne perdez pas votre temps avec cette mauvaise série sans talent.
Excellente mini-série ! Musique, acteurs, paysages, scénario : tout est parfait pour nous faire entrer rapidement dans l'ambiance et nous garder en haleine jusqu'au bout !
Excellente mini série, d'une grande qualité visuelle et d'un entrevêchement de drames et de grâce, portée par un scénario et des acteurs brillants, qui campent leurs personnages de manière très crédible. La beauté du Havre et ses monuments est magnifiée, les belles gueules aussi. Bravo et merci
Noir c'est noir ! Dans l'ensemble, "De grâce" est un bon thriller tragique : l'intrigue est bien menée (très bon premier épisode) , l'atmosphère sinistre à souhait (comme toujours nombreuses scènes nocturnes), éclairages soignés, gros plans expressifs; le jeu des acteurs et des actrices est convaincant. L'aspect documentaire - le fonctionnement d'un grand port avec ses murailles de containers, ses dockers, ses trafics - est fascinant et prend parfois une dimension esthétique grâce à la qualité des prises de vue. Enfin, la musique est généralement bien adaptée et pas trop insistante. Mais, comme l'ont signalé plusieurs commentateurs, les choses se gâtent à mesure de la progression de la fiction et de l'accumulation des péripéties. Quelle famille ! Et quelle histoire ! Les invraisemblances, de détail ou plus sérieuses, se multiplient. Le comble est atteint dans le dernier épisode, où le dénouement, avec ses actions et révélations riches en coups de théâtre, peine à convaincre. La tragédie se dégrade en mélodrame. Trop c'est trop ! Dommage.
J’ai rarement voulu lâcher une série après le premier épisode. Là, il n’y a pas grand chose qui accroche. On a l’impression que les acteurs s’ennuient suivant un scénario qui cherche à nous plonger dans un univers fermé et violent. Voir Permis de vivre, série espagnole sur le même thème ou même Family business qui tiennent bien l’écran et chercher à comprendre pourquoi tant de séries françaises nous déçoivent tant. Les dix dernières minutes du 6ème et dernier épisode nous révèlent ce qui nous a manqué pour suivre avec un peu plus de compréhension le scénario de cette fresque tragique.
Pas terrible… Très « français », on cherche à faire littéraire. Tout est « composé » et ça se voit… pendant des heures. On ne peut que rêver : si les Scandinaves s’étaient emparés du scénario, qu’en auraient-ils fait ??? À souligner : la performance magistrale de Pierre Lottin. Il rend palpable un personnage criant de justesse, de vérité, de tragique. Tout le reste relève d’un incessant bla bla prétentieux.