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Lassusdominique
2 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 12 février 2024
De Grace, merci pour cette serie au havre qui n'est pas en paix avec la drogue. Un Scenario original ou tous les acteurs de la famille Leprieur ont leur role a jouer dans cette vie de docker ! La lumiere de serie tres sombre comme la musique aussi est excellente ! FORMIDABLE
C'est noir, très noir. On songe à un drame antique voire à une tragédie grecque. L'intrigue est assez quelconque mais tout est dans l'ambiance. Olivier Gourmet est excellent, débordant d'émotion derrière sa facade hiératique, et les autres acteurs sont bien dans l'ensemble, même si certains personnages sont caricaturaux et survolent un peu parfois. Par contre le son est horrible, régulièrement on peine à entendre certains dialogues et pourtant j'ai une barre de son haut de gamme. Malgré ces réserves ça reste une très bonne série.
Eh bien, je fais partie de ceux qui aiment. Oui, cette série est sombre, mais pas glauque et c’est une partie de son charme. Olivier Gourmet est imposant de retenue et Pierre Lottin étonnant. Chaque membre de cette famille recherche sa vérité en solo, mais tous se retrouvent.
Très décevant, malgré une idée de départ alléchante. La voix off assez pompeuse et mélodramatique donne bien le ton de la série : on va être dans du lourd, du pathos voir du surjoué. C'est glauque et sombre, au sens littéral du terme, puisque sur un tiers du temps, on ne voit quasi rien. Le principal problème tient au manque de crédibilité des éléments de l'intrigue. Tellement d'invraisemblance ! Et l'obstination de tous les membres de cette famille à prendre systématiquement des décisions stupides devient lassante. Le dernier épisode fait sourire, tellement ça part dans tous les sens et ça frôle le grand n'importe quoi. Vrais point positif : la composition "habitée" de Pierre Lottin, excellent acteur que je découvre.
Dialogues parfois inaudibles. Acteurs qui chuchottent et ne savent pas articuler. Prise de son exécrable. Scénario confus. Sujet intéressant mais mal traité. Mini-série médiocre.
Très belle mini-serie où Le Havre est un personnage à part entière. Une tragédie familiale et sociale contemporaine avec un Olivier Gourmet plus épatant que jamais dans le rôle d'un patriarche qui n'a pas livré tous ses secrets. Enfin une série française de qualité. Merci qui ? Arte, une fois de plus.
Attention si vous voulez un avis objectif, lisez les premières critiques qui s'affichent et qui sont peu reluisantes... les autres sont des critiques bidonnées par la production et l'équipe de la série, comme souvent dans les productions françaises les critiques allocinés sont un mélange de vraies critiques et de critiques bidons. La méthode est souvent la même : dès que les notes tendent à être un peu mauvaises, on appelle les copains à la rescousse.
Pour ma part j'ai vu la série. c'est de la série française typique bas de gamme, jeu d'acteur bidon, musique bidon mal composée, mal produite. Réalisation et mis en scène digne d'un premier film en première année d'école de cinéma. Seul la photographie trouve "De Grace" à mes yeux (tentative de jeu de mots)
Le problème c'est la manque de subtilité. Tout est si sombre ...Pas comme dans la vie mais comme une mauvaise série française où l'on arrive pas à créer la nuance. L'histoire à la fin art dans tous le sens, j'ai commencé m'endormir. En fait on regarde on se laisse emporter et en même temps on sature de cette musique qui dit ce que les dialogues ont été incapable de faire, de cette voix off super dramatique trop dramatique (au sens théâtrale). Bref on accroché parce que le sombre nous demande de la concentration mais c'est un peu loupé sur le fond.
J'ai regardé jusqu'au bout cette série. Malheureusement, je n'ai pas eu de " sursaut " de plaisir. Trop sombre, trop noir, trop violent, trop vulgaire. Même si Olivier Gourmet tire largement son épingle du jeu, sa voix off est lourde. Les autres acteurs sont bons mais on a l'impression qu'ils ont une chappe de plomb sur la tête. Et toujours ces trafics de drogue qui pourrissent la vie....Aucune lueur d'optimisme ... Même les histoires d'amour ne sont pas belles. Il nous reste les images des docks, la nuit, pour se souvenir de cette série.
Je me suis complètement laissée abuser par le label Arte. Cette série est une bouse. En plus de la prise de son qui.ne laisse entendre qu'un mot sur deux, rien n'est crédible, RIEN. Comment et pourquoi une famille de dockeurs a deux maison dont une inhabitée ? Pourquoi n'y a t-il pas eu de perquisition alors il y a assassinat ? Pourquoi un juge parisien (compagnon de la fille avocate de la victime) est saisi d'une affaire qui se passe au Havre ? Pourquoi n'y a-t-il pas d'enquête plus sérieuse sur les fils après le meurtre du père ? Je passe sur la grotesque substitution du sac de drogue et j'arrête après le 3eme épisode.
A en croire nombre de critiques TV, "De grâce" est la série du moment. Effectivement, ça semblait plutôt alléchant (idée originale, milieu des dockers du Havre, label "Arte", etc.) Malheureusement, dès le départ, le visionnage est complètement gâchée par un concours de bouillie orale : la plupart des acteurs murmurent paresseusement leur texte d'une voix atone et sont souvent inaudibles. La palme d'or échouant (c'est le mot) à Pierre Lottin qui, visage crispé - va être ridé avant l'âge ce garçon ! -, mâchouille péniblement son texte du bout de lèvres amorphes. La mise en scène est à l'avenant, digne d'un TV film des plus médiocres. Le scénario semble avoir été écrit d'un seul jet d'où beaucoup de clichés, d'invraisemblances, d'incohérences ; les uns après les autres, les épisodes s'embourbent dans des longueurs inutiles et ennuyeuses, dans une semi-obscurité exaspérante. D'ailleurs, malgré quelques belles images du port, cadrage et prise de vue sont souvent quelconques. Seul point à retenir, la critique acerbe d'un certain syndicalisme mafieux qui se comporte plus en guilde corporative, avare de ses privilèges et de son pouvoir dictatorial, que comme des groupements de travailleurs désireux de discuter en bonne intelligence avec employeurs et Administration dans l'intérêt collectif, sans perdre de vue la défense des employés ! Finalement, j'ai lâché au troisième épisode;