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Une saison dans la lignée de la précédente avec peu de renouvellement et un rythme de croisière, mais une évolution progressive des personnages qui fait sens.
Audrey L
Une hilarante chasse au trésor, un drôlatique papy "Professeur Proton" et un James Earl Jones (et Carrie Fisher !!!) délicieusement en auto-dérision, clairement cette saison a mis la barre haute ! En revanche, on ne comprend toujours pas à quoi jouent les scénaristes avec le personnage de Raj, de plus en plus mal écrit (entre une relation étrange avec un petit chien qui ressort une fois de temps en temps pour combler les trous - et qui disparaît des radars ensuite -, des amourettes féminines à la pelle toutes plus inintéressantes les unes que les autres et parfois un célibat qui le rend marginal, c'est le bazar complet). Beaucoup de disputes, aussi, qui sont épuisantes car elles ne servent qu'à ralentir les évidences relationnelles (on essaie clairement de gagner quelques saisons, mais l'envie du spectateur n'y est pas). Assez sympathique sur l'ensemble de la saison, on remarque un renouvellement des gags (un peu moins "irruption d'un nouvel élément et on en parle exclusivement pour tous les gags") et surtout quelques épisodes qui valent vraiment le coup : surtout Earl Jones et Carrie Fisher !!!
Fan de la série depuis ces débuts je vais être obligé d’être critique envers cette saison 7 qui fait une transition entre l'esprit geek et les séries de " canapé " ou l'on voit la vie de couple de quelques protagonistes. Alors pour l'instant je juge uniquement sur 9 épisodes mais ça devient vraiment " les amours de TBBT " et l'essence même de la série disparaît :(
Je vais continuer car fan depuis le début, mais cette saison me déçoit. Donc messieurs les scénaristes : Stop la love attitude et merci de faire revenir nos scientifiques/geeks adorés
Je vais continuer car fan depuis le début, mais cette saison me déçoit. Donc messieurs les scénaristes : Stop la love attitude et merci de faire revenir nos scientifiques/geeks adorés
Alexarod
La saison la moins bonne à mes yeux. Pourquoi ? Principalement parce que la routine s’installe, la machine est lancée et le moteur ronronne, pas de risques, pas de grande surprise, pas de révélation extraordinaire ni d’humour décapant. En fait c’est plutôt une saison de transition, nos héros mûrissent. Du coup ça évolue : Sheldon et Penny dans leurs carrières,
spoiler:
Raj et Emily sa nouvelle petite amie ou Penny et Leonard qui se fiancent pour de bon
. Évidemment ça ne convient pas à Shelly pour qui c’est trop, surtout avec sa mère qui va à l’encontre de sa foi.
Bon ça reste dans la lignée de toute la série, c’est marrant, les persos demeurent avec leurs caractéristiques, ça avance un peu, on voit que Penny a vraiment du mal avec l’alcool (entre coucher avec Raj’, se marier avec Zack, tenter de renverser une vache…) ou ses atermoiements amoureux, que Sheldon aussi et qu’il connaît le football américain, Leonard rentre de voyage sans rien de particulier… Bref rien de passionnant, surtout que l’esprit geek se perd un peu. Notons toutefois que l’épisode de Noël est vraiment pas mal, en imaginant leurs vies sans Sheldon, ou juste avec une variante, ça donne des compositions amusantes. Puis le professeur Proton en Jedi c’est génial et super bien fait. Bref un final au top, mais une saison trop longue pour faire évoluer l’histoire générale.
. Évidemment ça ne convient pas à Shelly pour qui c’est trop, surtout avec sa mère qui va à l’encontre de sa foi.
Bon ça reste dans la lignée de toute la série, c’est marrant, les persos demeurent avec leurs caractéristiques, ça avance un peu, on voit que Penny a vraiment du mal avec l’alcool (entre coucher avec Raj’, se marier avec Zack, tenter de renverser une vache…) ou ses atermoiements amoureux, que Sheldon aussi et qu’il connaît le football américain, Leonard rentre de voyage sans rien de particulier… Bref rien de passionnant, surtout que l’esprit geek se perd un peu. Notons toutefois que l’épisode de Noël est vraiment pas mal, en imaginant leurs vies sans Sheldon, ou juste avec une variante, ça donne des compositions amusantes. Puis le professeur Proton en Jedi c’est génial et super bien fait. Bref un final au top, mais une saison trop longue pour faire évoluer l’histoire générale.
Franchement, c’est très difficile de s’intéresser encore totalement à cette anti-série qu’est The Big Bang Theory. Et c’est récurrent chez Chuck Lorre, avec le succès qui va avec.
C’est incroyable qu’une telle série soit encore regardée par autant de spectateur. Non pas parce qu’elle est mauvaise, loin de là, il y a bien pire que cela. Mais pour ses faux changements d’intrigues (Penny se met avec Leonard, puis elle quitte Leonard, puis elle se remet avec Leonard, mais se pose des questions sur sa relation avec Leonard pendant que Sheldon joue l’antisocial…), ses personnages ne peuvent réellement évoluer dans un sens où on sent la différence entre la première saison et la dernière. Clairement, les scénaristes n’ont pas envie de tenter des choses risquées et ils la jouent safe, ce qui nuit gravement à l’intérêt qu’on peut porter à cette série quand on en regarde une bonne trentaine par an, car elle n’apporte rien à cet art, sous couvert d’un postulat qui était quelque peu original il y a 7 ans. On notera quand même les bonnes prestations de Regina King et de Tania Raymonde.
Il n’empêche qu’il n’y a rien à sauver de cette série, sans pour autant qu’on puisse la blâmer. C’est pour cela que The Big Bang Theory est une série atypique. La jouer safe à sa 7e année, c’est franchement atterrant.
C’est incroyable qu’une telle série soit encore regardée par autant de spectateur. Non pas parce qu’elle est mauvaise, loin de là, il y a bien pire que cela. Mais pour ses faux changements d’intrigues (Penny se met avec Leonard, puis elle quitte Leonard, puis elle se remet avec Leonard, mais se pose des questions sur sa relation avec Leonard pendant que Sheldon joue l’antisocial…), ses personnages ne peuvent réellement évoluer dans un sens où on sent la différence entre la première saison et la dernière. Clairement, les scénaristes n’ont pas envie de tenter des choses risquées et ils la jouent safe, ce qui nuit gravement à l’intérêt qu’on peut porter à cette série quand on en regarde une bonne trentaine par an, car elle n’apporte rien à cet art, sous couvert d’un postulat qui était quelque peu original il y a 7 ans. On notera quand même les bonnes prestations de Regina King et de Tania Raymonde.
Il n’empêche qu’il n’y a rien à sauver de cette série, sans pour autant qu’on puisse la blâmer. C’est pour cela que The Big Bang Theory est une série atypique. La jouer safe à sa 7e année, c’est franchement atterrant.
Redzing
7 saisons et le show geeko-scientifique parvient toujours à nous faire rire ! Si la relation entre Leonard et Penny offre toujours quelques sourires, elle n'est plus vraiment ici au centre du scénario comme dans les premières saisons. La série préfère se concentrer sur ses personnages secondaires (Stuart, le vendeur de comic book dépressif, prend de plus en plus d'importance), ce qui n'empêche pas d'amener des situations amusantes et des bons mots toujours aussi efficaces. Sans oublier Jim Parsons, toujours excellent en Sheldon condescendant, égoïste et immature redoutablement intelligent, qui nous livre quelques frasques.
Toujours aussi drôle et toujours pour geek. On ne s'en lasse pas. Dans l'attente de la prochaine saison...
Sincèrement cette saison est une blague. La saison 6 avait déjà abaissé le niveau d'un cran, mais là, l'esprit geek n'est plus présent que par minuscules touches. Même Sheldon, lorsqu'il parle, ne sort quasiment plus que des banalités, alors que j'appréciais toujours ses anecdotes et ses références scientifiques. La série ne ressemble plus qu'à une sitcom d'histoires de couples sans âme.
Sans rire je crois sincèrement que les personnages féminins (hormis Penny qui est là depuis le début) et les intrigues de couple devraient rester secondaires ou récurrentes, afin que l'on continue à les voir depuis un points de vue de geek. Mais elles ne devraient certainement pas être les sujets principaux de chaque épisodes. C'est lourd et pas très drôle.
C'est d'autant plus dommage que "l'univers geek" recèle encore de nombreuses références qui n'ont jamais été exploitées. De souvenir je ne crois pas avoir vu la moindre référence à Stargate, Galaxy Quest, Starship troopers, Alien, toute la montagne de films et séries SF qui existe, ou encore à tout ce qui pourrait toucher au cyberpunk..... Il y a encore tellement à faire et à dire pour faire rire sur ces sujets.
Je crains le pire pour la saison 8.....
Sans rire je crois sincèrement que les personnages féminins (hormis Penny qui est là depuis le début) et les intrigues de couple devraient rester secondaires ou récurrentes, afin que l'on continue à les voir depuis un points de vue de geek. Mais elles ne devraient certainement pas être les sujets principaux de chaque épisodes. C'est lourd et pas très drôle.
C'est d'autant plus dommage que "l'univers geek" recèle encore de nombreuses références qui n'ont jamais été exploitées. De souvenir je ne crois pas avoir vu la moindre référence à Stargate, Galaxy Quest, Starship troopers, Alien, toute la montagne de films et séries SF qui existe, ou encore à tout ce qui pourrait toucher au cyberpunk..... Il y a encore tellement à faire et à dire pour faire rire sur ces sujets.
Je crains le pire pour la saison 8.....
Je ne suis pas contre la critique négative que j'ai pu lire, car il y a beaucoup moins le côté geek et scientifique des premiers épisodes mais j'aime aussi les histoires qu'ils leur arrivent. Les changements de caractère et leur petite progression dans le domaine des relations sociales, je ne pense pas que les scénaristes pouvaient encore surfer trop longtemps QUE sur le côté scientifique au risque de lasser le téléspectateur. Et je trouve au contraire qu'il y a une chouette combinaison des deux et en plus pas mal d'effets comiques qui reviennent des saisons précédentes, le genre de vannes où il faut avoir vu les saisons d'avant pour comprendre j'adore!!
Fan depuis le début!
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