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Alexarod
276 abonnés
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Critique de la saison 6
3,5
Publiée le 27 avril 2017
Déjà bravo aux producteurs pour avoir mis Howard en apesanteur, c’est bien fait et réaliste. Ensuite on en revient au quotidien des geeks, à la relation homosexuelle sous-jacente, à la différence que les situations ont évoluées : Howard et Bernadette vivent mariés, Stuart prend une place plus importante dans le groupe petit à petit, la relation de Leonard et Penny avance aux yeux de tous, Amy s’aguerrit au point qu’il y ait des contacts avec Sheldon et que ça parle sexualité, puis spoiler: Raj’ trouve plus ou moins quelqu’un en se dénigrant, mais surtout ça l’amènera à casser son blocage envers les filles . On a aussi le désormais habituel et culte déguisement, en cosplay Star Trek pour une convention cette fois, mais ça rend toujours bien, puis pendant ce temps les filles s’intéressent aux comics, génial. Puis le professeur Proton arrive, Sheldon le prenant même comme père adoptif. Dans une mesure générale ce dernier s’ouvre et montre davantage de sentiments humains. Sans faire de déséquilibre quant aux sorts et à la présence de chacun, les scénaristes font encore avancer la trame, les personnages, l’histoire commune, tout en gardant un comique de circonstance et bienvenu. La vitesse de croisière est atteinte, et elle est bonne.
La saison la moins bonne à mes yeux. Pourquoi ? Principalement parce que la routine s’installe, la machine est lancée et le moteur ronronne, pas de risques, pas de grande surprise, pas de révélation extraordinaire ni d’humour décapant. En fait c’est plutôt une saison de transition, nos héros mûrissent. Du coup ça évolue : Sheldon et Penny dans leurs carrières, spoiler: Raj et Emily sa nouvelle petite amie ou Penny et Leonard qui se fiancent pour de bon . Évidemment ça ne convient pas à Shelly pour qui c’est trop, surtout avec sa mère qui va à l’encontre de sa foi. Bon ça reste dans la lignée de toute la série, c’est marrant, les persos demeurent avec leurs caractéristiques, ça avance un peu, on voit que Penny a vraiment du mal avec l’alcool (entre coucher avec Raj’, se marier avec Zack, tenter de renverser une vache…) ou ses atermoiements amoureux, que Sheldon aussi et qu’il connaît le football américain, Leonard rentre de voyage sans rien de particulier… Bref rien de passionnant, surtout que l’esprit geek se perd un peu. Notons toutefois que l’épisode de Noël est vraiment pas mal, en imaginant leurs vies sans Sheldon, ou juste avec une variante, ça donne des compositions amusantes. Puis le professeur Proton en Jedi c’est génial et super bien fait. Bref un final au top, mais une saison trop longue pour faire évoluer l’histoire générale.
La saison précédente ayant fait très fort, en renouvelant l’intrigue, en approfondissant la culture geek et la psychologie des personnages notamment, cette 4ème s’annonçait en deçà. C’était sans compter sur le Némésis n°2 : le pendant de Sheldon alias Amy. On découvre donc un nouveau perso de la bande spoiler: qui deviendra récurrent et qui suivra un développement différent de celui de son alter ego , ce qui tendrait à prouver que les nanas sont différentes des mecs. Amy apporte un énième renouveau, ce qui empêche de se lasser de la série, et son personnage est d’emblée façonné comme étant pire que Sheldon. Autre femme qui arrive : la sœur de Raj’ qui spoiler: a des mœurs très libérés, incompatible avec sa vie en Inde, et qui a une relation avec Leonard depuis un moment, inattendu. Enfin Bernadette revient, on apprend pourquoi elle est partie, tort de la saison 3 réparé, puis elle aussi prend de l’importance. A noter un passage avec Sheldon en Flash bien fait et la voix française de Raj’ qui change dans les 2 derniers épisodes, mais surtout un cliffhanger final balaise. De bons points néanmoins avec le dernier épisode, le père de Penny ou des incartades de Will Wheaton et de la mère d’Howard. Les femmes prennent le pouvoir dans cette 4ème saison, c’est pas plus mal mais ça ne vaut pas les saisons précédentes. Si cette dernière demeure plaisante et apporte de nouveaux éléments, le niveau global baisse un peu, comme l’humour.
Après les pistes lancées en fin de saison 9, auxquelles on commence à être habitué d’ailleurs, on peut s’attendre à de grands changements. Si la trame des saisons commence à se ressembler, malgré le fait que nos héros ne seront plus des geeks asociaux loosers patentés et célibataires, leurs devenirs est intéressant. On le voit surtout lors de l’épisode 8 où tout le monde ou presque est impliqué, et où Sheldon détonne. Chacun évolue à sa façon, et surtout les couples habitent enfin ensemble, amenant son lot de situations cocasses. Les intervenants passagers sont là (parents des héros), Stuart a toujours une place importante et on découvre également enfin la famille de Penny. Cette dernière a une meilleure coupe et sort aussi de son côté paumé. Le bébé d’Howard et Bernadette arrive avec une voix… particulière, Raj est célibataire sans qu’on comprenne vraiment pourquoi ou comment, et il tente une approche osée pour lui, avec une femme plus âgée. Bref du nouveau malgré pas mal d’éléments imposés. La série se réinvente un peu, et malgré les changements radicaux l’humour demeure. Le rythme de croisière est atteint, et les derniers épisodes sont toujours aussi intéressants.
Après la « date » bizarre des 2 protagonistes on enchaîne sur une nouvelle saison. Maintenant que la principale attente des spectateurs a été atteinte que nous réserve-t-elle ? Pas facile de se renouveler alors, le pitch principal étant cassé il faut trouver un autre recours scénaristique. Il faut avouer que les créateurs de la série s’en sortent pas mal : ils capitalisent sur les personnages et leurs différences. Cela permet de mieux les connaître, chose qui était un peu mis de côté dans la saison 1, et ça nous intègre davantage dans leur bande. Du coup arrivent des éléments qui seront récurrents par la suite tels le rire, les sarcasmes et les manies de Sheldon, notamment son toc de frapper 3x à la porte, ou encore la drague lourde et incessante d’Howard de tout ce qui est féminin jusqu’au point de se faire démolir par Penny, l’apparition de Kripke, ainsi que de Stuart, et surtout l’arrivée de la mère de Léonard et son cortège de soucis… Tout ça construit davantage la trame de la série, et je pense que c’est la base qui lui permet de durer maintenant : on s’attache enfin aux persos. Du coup, on apprend comment ils se sont rencontrés, on constate que Raj’ et Howard forment vraiment un petit couple non assumé, les petites habitudes bien ancrées de la bande sortent au grand jour, et quand Penny donne des conseils de couple à Leonard ça en devient marrant. Par contre, la petite amie de Leonard ou la voisine qui disparait d’un coup sans raison c’était très moyen, de même que spoiler: le fait que Léonard et Penny couchent presqu’ensemble ne laisse aucune séquelle sur leur relation, mais c’est réservé pour la suite . Je mets une note égale à la 1ère saison, car si c’est souvent la + importante, celle qui lance tout, je me demande si celle-ci n’est pas celle qui a fait perdurer la série par la suite. En effet, elle permet de se lier aux protagonistes, et en se renouvelant ainsi elle ramène de nouveaux ressorts scénaristiques qui perdureront. Bref, un renouveau (déjà), de l’humour toujours présent, davantage de profondeur, on signe.
Ça démarre fort avec le retour de la bande de l’Arctique, et encore c’est pas grand-chose, mais leurs barbes si. Bon ça fait Robinson Crusoé, et on remarque encore à quel point Sheldon se distingue des autres jusque dans ce détail, mais ça change, de même que le mauvais coup qu’ils ont fait au déjanté du groupe. Enfin le principal n’est pas là mais plutôt autour de la trame qui articulera la saison : la relation Penny-Léonard, spoiler: enfin là, enfin consommée, même si c’est alambiqué, mais déjà finie aussi . Certes on l’attendait, mais le fait de pouvoir en profiter pleinement est plaisant. Pour le coup on passe par toutes les étapes de la vie de couple et on peut en voir les conséquences, notamment sur Sheldon spoiler: qu’ils se partagent comme un gosse de parents divorcés . A part ça on approfondit les personnages, le côté geek ressort davantage, surtout lorsqu’on a droit à une apparition de Stan Lee ou l’arrivée de Will Wheaton. Bon a aussi droit à un retour de la mère de Léonard ainsi qu’à une Bernadette qui pointe son nez (dont la relation avec Howard va suivre le même chemin que celle du couple phare apparemment). Un Sheldon en Gollum très bien fait, de même que son discours de l’épisode 18… mais surtout un avant dernier épisode génial, où l’on apprend comment les 2 héros sont devenus colocataires, et un final qui amène du neuf en perspective. Bref du très bon encore une fois, la série continue de se renouveler et d’avancer, difficile de la départager des autres tant elle apporte toujours son lot d’humour sans ressembler aux saisons passées, chapeau.
On découvre les personnages, attachants, drôles, et la série est très intelligemment écrite, traduite et au format parfait pour de l'humour. Une vraie belle surprise.
J'ai commencé à regarder cette sitcom parce que je n'avais rien d'autre sous la main. Au début je n'avais pas trop accroché, les vannes ne sont pas toujours très fines, les rires du public sont pénibles car ils arrivent quelques fois avant la fin des répliques.. mais au fur et à mesure des épisodes je me suis attachée à certains personnages et leurs évolutions respectives s'avèrent intéressantes. J'ai hâte de découvrir la saison 7 prévue pour cet automne.
Après tout ce qui a été avancé à la fin de la saison précédente tout est relancé, de bon augure pour renouveler tout le scénario, alors avec la spoiler: mort de la mère d’Howard et son demi-frère (vite zappé en plus) … Déjà on revient aux bases : les geeks. Bon pas beaucoup mais déjà davantage qu’à la saison précédente. Les histoires étant posées on s’en soucie moins, de même que les situations professionnelles. Du coup, Emily et Stuart sont en retrait, mais cela permet d’approfondir la psychologie des personnages, et ce n’est pas plus mal. Entre Bernadette et son côté hargneux, Raj et son chien, ou le spoiler: divorce de ses parents (sans conséquences apparemment), Sheldon qui revient (bon ça c’était attendu) et devient plus mature, notamment en disant un genre de « je t’aime » à Amy ou en envisageant des rapports physiques … on en apprend plus sur eux. A côté de ça il y a également le bal de promo, un « dernier » fun with flags bien sympa, la rencontre des mères des 2 héros etc, même si ça ne débouche pas sur grand-chose au final. La trame reste inchangée, contrairement à la coupe de Penny qui ne déplait pas qu’à Sheldon, la nouveauté n’est plus là mais ça s’enlise un peu aussi, les scénaristes faisant durer pour donner le change pendant que les acteurs font grève pour être augmentés à un million de dollars l’épisode. Reste que vu les sujets abordés on aurait pu avoir une meilleure saison, dommage.
une serie , tres debile qui ne sert a rien , les roles sont caricaturaux , les blagues ne font rire personne , et c'est cliché a fond , une enorme deception .
Certainement la série qui me fait le plus rire. Les épisodes sont un peu courts. Personnages attachants, situations et répliques cultes ! Une vraie série de geeks !