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Encore une perle qui n'a pas passé le cap de la 1re saison! On se demande pourquoi, tant la série est attachante et réussie.
D'abord, le sujet est neuf : la liberté sexuelle, l'échangisme et l'émancipation des femmes dans les 70's. Là encore, les scénaristes américains réussissent l'exploit de toujours surfer sur la limite du politiquement correct et du tout public en dépit du sujet osé (et casse-gueule, de surcroît).
Ensuite, le casting féminin est remarquable : si ma préférence va à Molly Parker dont la présence est sidérante en dépit de sa fragilité, j'ai adoré Lana Parilla, très naturelle et qui "en jette" ainsi que Miriam Shor qui s'en sort remarquablement dans un rôle stéréotypé de ménagère frigide et bien-pensante. Et celui mascullin n'est pas en reste, même si Grant Show m'a moins convaincu et que la série accorde davantage de place aux femmes.
Enfin, un très joli portrait de couples, d'enfants et d'un époque somme toute assez méconnue (les décors sont particulièrement soignés). Il y a des sentiments, de la profondeur, de la maturité mais surtout beaucoup de remises en question des sacro-saintes valeurs familiales, sans moralisme aucun, l'importance de l'émancipation de soi et de son couple (à chaque couple, ses propres règles) en plus de dénoncer un mal toujours actuel : souvent on fonde une famille sans se correspondre, on "se contente de" ...
Vraiment dommage qu'on ne ait donné à voir l'évolution de cette série remarquable.
D'abord, le sujet est neuf : la liberté sexuelle, l'échangisme et l'émancipation des femmes dans les 70's. Là encore, les scénaristes américains réussissent l'exploit de toujours surfer sur la limite du politiquement correct et du tout public en dépit du sujet osé (et casse-gueule, de surcroît).
Ensuite, le casting féminin est remarquable : si ma préférence va à Molly Parker dont la présence est sidérante en dépit de sa fragilité, j'ai adoré Lana Parilla, très naturelle et qui "en jette" ainsi que Miriam Shor qui s'en sort remarquablement dans un rôle stéréotypé de ménagère frigide et bien-pensante. Et celui mascullin n'est pas en reste, même si Grant Show m'a moins convaincu et que la série accorde davantage de place aux femmes.
Enfin, un très joli portrait de couples, d'enfants et d'un époque somme toute assez méconnue (les décors sont particulièrement soignés). Il y a des sentiments, de la profondeur, de la maturité mais surtout beaucoup de remises en question des sacro-saintes valeurs familiales, sans moralisme aucun, l'importance de l'émancipation de soi et de son couple (à chaque couple, ses propres règles) en plus de dénoncer un mal toujours actuel : souvent on fonde une famille sans se correspondre, on "se contente de" ...
Vraiment dommage qu'on ne ait donné à voir l'évolution de cette série remarquable.
Une complète immersion dans les 70's , une série géniale au scénario bien écrit et qu'on arête au bout
d'une saison faute d'audience , quel dommage .
d'une saison faute d'audience , quel dommage .
Top ! Tournée à la seventies.. Même le scénario fait "d'époque" . Je suis fan. On dirait que la série à été faite en 76. Dommage qu'il n'y ait pas eu de suite. Mais peut être qu'allociné peut faire remonter le regret général..
je suis fan , dommage qu'il n y est pas de suite !!!!
« Swingtown » est une série qui revisite les années 70 à travers le destin de 3 couples de la banlieue blanche bourgeoise de Chicago et de leurs rejetons. Un couple est libéré sexuellement, un autre n’a de relations sexuelles que le vendredi soir et un troisième balance entre les 2 comportements.
Cette série n’a connu qu’une seule saison de 13 épisodes. Cela était prévisible car le traitement scénaristique se fait en demi-teinte, parfois à la limite du soporifique. Elle aurait méritée un traitement plus audacieux avec une approche plus « Rock’n’roll ».
Les acteurs sont convaincants. A commencer par Lana Parrilla, l’actrice qui interprète le personnage de Trina Decker. Cette brune piquante au cheveux courts est bien « castée » pour le rôle de la libertine racée et intelligente. Son mari, en revanche, est assez caricatural avec son attirail complet de Casanova de bas-étage avec bacchantes et brushing impeccable. Mention « très bien » aussi à la rousse et charmante Molly Parker et à Mirian Shor, dans son interprétation de personnage aux dents longues.
Dans « Swingtown », il est question de Richard Milhous Nixon et de l’affaire du Watergate, de « Gorge profonde » le film, de démonstration Tupperware et de femmes au foyer qui s’émancipent, de liberté des mœurs et de libération sexuelle, de l’ombre de la guerre du Viêt-Nam qui s’estompe, etc. La petite histoire dans la Grande.
La série rappelle certains passages « Boogie Night » de P.T. Anderson, notamment dans les scènes où apparaît le couple libertin. La bande-son n’est pas exploitée à son maximum certainement pour des raisons de royalties trop onéreux pour un budget limité de série TV.
« Swingtown » démontre qu’on n’arrête pas la marche inéluctable du progrès social et celle de l’évolution des mentalités. Une 2ème saison aurait peut-être permis de faire intervenir des couples afro-américains. Leur absence se fait bizarrement ressentir dans cette unique fournée.
Cette série n’a connu qu’une seule saison de 13 épisodes. Cela était prévisible car le traitement scénaristique se fait en demi-teinte, parfois à la limite du soporifique. Elle aurait méritée un traitement plus audacieux avec une approche plus « Rock’n’roll ».
Les acteurs sont convaincants. A commencer par Lana Parrilla, l’actrice qui interprète le personnage de Trina Decker. Cette brune piquante au cheveux courts est bien « castée » pour le rôle de la libertine racée et intelligente. Son mari, en revanche, est assez caricatural avec son attirail complet de Casanova de bas-étage avec bacchantes et brushing impeccable. Mention « très bien » aussi à la rousse et charmante Molly Parker et à Mirian Shor, dans son interprétation de personnage aux dents longues.
Dans « Swingtown », il est question de Richard Milhous Nixon et de l’affaire du Watergate, de « Gorge profonde » le film, de démonstration Tupperware et de femmes au foyer qui s’émancipent, de liberté des mœurs et de libération sexuelle, de l’ombre de la guerre du Viêt-Nam qui s’estompe, etc. La petite histoire dans la Grande.
La série rappelle certains passages « Boogie Night » de P.T. Anderson, notamment dans les scènes où apparaît le couple libertin. La bande-son n’est pas exploitée à son maximum certainement pour des raisons de royalties trop onéreux pour un budget limité de série TV.
« Swingtown » démontre qu’on n’arrête pas la marche inéluctable du progrès social et celle de l’évolution des mentalités. Une 2ème saison aurait peut-être permis de faire intervenir des couples afro-américains. Leur absence se fait bizarrement ressentir dans cette unique fournée.
Swingtown est une très bonne série créée par Mike Kelley. Le concept est plutôt bien trouvé, La mise en scène est correcte, les épisodes sont biens menés et la série est intéressante pendant toute la première saison. De plus, les acteurs comme Molly Parker, le grand Jack Davenport ou encore Miriam Shor sont tous convaincants dans leurs rôles. Bref, c’est à découvrir…
Avec Swingtown prenez la machine à remonter le temps pour aller dans les années 70's ou plus précisement le 2 juillet 1976!!! et decouvrez la vie de l'époque d'avant le sida avec tous ses excès et l'aplication littéral de l'expression "sex, drogue and rock'n'roll" !!!!
JeremGar
un couple marié déménage et fait la rencontre d'un couple libertin dans les années 70. Une rencontre qui changera leur comportement, leurs moeurs et leur vision des choses. Une série ayant pour ambiance les 70's très captivante. à suivre!
Pas besoin d'être un fan des 70's pour devenir accroc à cette série. Une mise en scene très travaillées, des acteurs de bons crus et une BO impeccablement choisie et remasterisée donnent un charme unique à cette série promise à un bel avenir tant le scénario est abouti, plein de surprises parfaitement jubilatoires !!!
A consommer sans modération...
A consommer sans modération...
Un premier épisode qui est très prometteur pour la suite. Casting, scénario, ambiance sont super. Un thème que je n'avais pas encore retrouvé dans une série: libération sexuelle en 70.
J'espère que la suite restera aussi bonne voir meilleur.
J'espère que la suite restera aussi bonne voir meilleur.
Bonne série TV qui possède des sujets taboos, c'est assez dommage quand on parle de cette période. Néanmoins, le jeu d'acteur est très bon et c'est un plaisir de la regarder cette saison.
Voila une série sur un sujet qui aurait pu être lourd comme sujet hors il n'en est rien. Servi par de bon acteurs elle s'avère infiniment plus fine et finallement plus agréable à suivre que par exemple Desperate Housewives. Et cela sur un sujet qui n'etait pas ma tasse de thé ! J'ai eu du plaisir à me retrouver dans ces seventeens avec cet aspect démodé sur un arrière plan social post-Nixon. D'une certaine façon je me sens plus proche des personnages de cette série que dans D.H. ou Californication. On peut donc regreter que la série ne connaisse à priori qu'une seule saison malgrès des notes assez favorables.
Vraiment exellente série, mieux que desperate Housewives mieux que californication... Bref c'est ce genre de série que l'on regrettera seulement dans une dizaine d'années.
Une série originale qui me fait apprendre des choses sur cette époque là ! N'ayant vu que les 3 premiers épisodes difficile de se faire une vrai idée mais c'est une bonne série. A voir en tout cas une fois rien que pour le scenario lol
Très bonne série avec des acteurs très convaincants, une série qui nous plonge dans l'amérique puritaine des années 70 avec en ligne de mire la libération sexuelle en aucun cette série est sulfureuse, elle nous amène à voir le comportement de chacun face à cette vague et l'impact auprès des autres!