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Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 3 mars 2009
Et au 8ème jour, au pays de la pâte à modeler, le Dieu des pâtes créa Ned, un petit bonhomme aux doigts de fée ! Bonhomme attachant par ailleurs, attachant tout comme l'univers qui l'entoure, univers multicoloré où il fait bon vivre. Et on arrive à oublier tous nos soucis, assis au fond du canapé, grâce à tout cet univers : un ciel bleu constant, une Chuck qu'on aimerait prendre dans ses bras, un détective gros bisounours, deux tantes déjantées, et une poupée guimauvée. Tout cela change des séries où l'histoire est à dormir debout, ici le spectateur est la première victime du pouvoir du jeune Ned : on ne peut mourir d'ennui, les yeux écarquillés devant le poste ! J'adooooooooooore Pushing Daisies ! Fort fort fort dommage que la série soit vouée à l'extinction. Quelqu'un pourrait-il la ramener à la vie ?
Une série rafraîchissante avec des personnages haut en couleur ! L'originalité fait plaisir à voir cela change des autres niaiseries habituelles ! Dommage qu'elle n'ait pas duré plus longtemps ...
Au début, on pourrait croire que cette série ressemble à n'importe quelle série déjà vu...mais loin de là! Pushing Daisies rassemble tous les ingrédients pour devenir culte: des personnages délirants, un scénario rocambolesque, et une pincée de folie! Certes, il faut avoir un peu d'imagination pour apprécier cette série. Certes, on ne verra pas les scènes torrides de Desperate Housewives, ou sanglantes de Grey's Anatomy. Mais Pushing Daisies, avec ces aventures fleur bleue a déjà tout d'une grande!
De plus, les personnages sont inoubliables: Chuck est gravée dans les mémoires de chacun ayant regardé cette série!
Cet série est vraiment original la plus original que j'ai vu. Que sa soit la présentation de l'histoire ou l'attachement des personnages c vraiment sympas. Le seul point noir c la fin qui est bâcler ou on se pose encore pas mal de question même si ils on essayer de faire kom même un minimum heureusement.
Original, vivifiant, attendrissant - parfois hilarant -, et doux comme un petit nuage molletonné, voilà une série pleine de surprises qui redonne immédiatement le sourire. On ressort de chaque épisode en flottant quelque part entre un bonheur léger comme une plume et une insouciance enfantine. Un vrai délice à consommer sans modération.
Tout simplement beau. On regarde et on ne peut s'empêcher de sourire. Les lumières sont tout simplements magnifique. Avec la narration, on vit un retour en enfance quand on écoutait une histoire
Une série très agréable et rafraichissante. Les personnages sont drôles et attachants. C'est une série comme on en voit rarement. Je la recommande vivement.
Sorte de cousin US D'Amélie Poulain, Pushing daisies est l'une des séries les plus originales et novatrices de ces dernières années. Elle a la saveur et la douceur des bonbons de mon enfance. Injustement déprogrammée par ABC. Audimat... ton univers impitoyable!!!
Deja 2 ans que je regarde en boucle ces quelques 22 petits bijoux. je n'avais jamais vu un tel potentiel dans une série; et celui ci a été négligé. c'est à en detester le public américain et leur etroitesse d'esprist qui prefere s'abrutir devant d'innombrable remake des experts plutot que de gouter à l'explosion colorée des equètes du patissier et de Chuck ( la morte qui ne l'était plus ^^) je garde espoir de voir une saison 3 (et conseil cette série a tout les amateur de tim burton, de policier farfelu, de (trés) bon dialogue, de poésie, de romantisme, et de changement. )
un grand merci a Bryan Fuller (dead like me) et Barry Sonnenfield(men in black), ainsi qu'a tout les auteurs pour cette merveille
Deux petites saisons auront eu raison de "Pushing Daisies". Il y a de quoi le regretter, et pour cause: si la série a du mal à cacher son maigre budget, elle se démarque par son agréable originalité; son histoire; son casting (les deux acteurs principaux sont bons, les seconds rôles assurent, les "guests" de bonne qualité (par exemple le Jeff Winger de "Community")); le ton frais, joyeux, décalé, volontairement naif mais jamais mièvre; ses couleurs vives omniprésentes (comment ne pas penser à Jeunet et Tim Burton?); ses décors et costumes vifs et colorés qui donnent au show un côté rétro bien dans l'air du temps ("Mad Men", "Playboy Club" etc.)... Mais au delà des petites enquêtes auxquelles se livrent les protagonistes, tantôt futiles, tantôt prenantes, ce qui prend rapidement le pas c'est l'histoire d'amour entre les deux principaux personnages, passionnante allégorie de l'Amour dans tout ce qu'il a de charnel (ils sont tout les deux amoureux l'un de l'autre, mais s'ils se touchent, l'un des deux meurt). La fin de la série se comprend alors, et semble inéluctable, puisque celle ci s'en viens à reposer uniquement sur ce rapport, sujet bien maigre pour en faire durer le récit...