Vu deux épisodes et je vais m'arrêter là, c'est pourtant bien filmé et interprété mais je ne m'attache pas aux personnages et je me suis ennuyé pendant quasiment deux heures.
La première saison de "Criminal Record", disponible sur Apple TV+, se révèle comme un récit policier efficace. Bien que la série n'apporte pas grand-chose de neuf au genre thriller policier britannique, elle se dévoile néanmoins avec une intrigue assez captivante et plutôt bien rythmée avec ses rebondissements convaincants. En dépit de son manque d’originalité, elle compense avec des performances convaincantes et solides des acteurs principaux Cush Jumbo et Peter Capaldi. De plus, la mise en scène, bien que classique, réussie à créer une atmosphère tendue renforçant l'effet morose de la série. En résumé, "Criminal Record" ne révolutionne rien au genre, mais c’est une série qui peut plaire surtout pour les amateurs de polars anglais. - 14/20 Critique sur Criminal Record (saison 1) Vue du 17 au 23.02.2024 sur Apple TV+
J’ai vu les 6 premiers épisodes, les acteurs sont bons, tout le travail technique aussi. Ce qui gâche cette série c’est le scénario qui pèche, qui se délite au fur et à mesure, du n’a ni queue ni tête, ça tourne en rond. C’est vraiment dommage
C'est pas mal, mais à la fin je n'ai pas pu m'empêcher de penser, tout ça pour ça ! Les acteurs sont plutôt bons, le scénario se veut très réaliste, mais il y a quelques invraisemblances et il s'enlise un peu à mi-parcours. Le mérite de cette série britannique est de faire réfléchir sur les préjugés et les méthodes, de quoi s'interroger après des décennies de séries avec des policiers border-Line sans que ça ne pose aucun problème.
une intrigue qui commence bien, au moins pendant 5 minutes. Dès que l'on s'aperçoit que le suspect emprisonné est noir et que ça sent l'injustice, on sait que le vrai meurtrier est blanc, sans aucun doute. Je résume, le chef de la police est une femme, les bons flics sont des femmes noires, les méchants flics des hommes blancs racistes, même celui en fauteuil roulant, que les femmes blanches sont soit folles, soit toxico , à part l'avocate qui défend l'accusé à tort, Bref, bon score ESG. à oublier d'urgence.
Les gentils noirs vs les méchants blancs. On notera l'effort à plusieurs reprises des tentatives de jumpscare en faisant croire qu'un noir ait pu commettre un méfait spoiler: , mais que France Inter se rassure, c'était bien un vilain mâle blanc le fautif à chaque fois. Ha non, c'est vrai le gentil noir à commis un vol pendant les émeutesspoiler: , ha ha je vous ai fait peur mais en fait c'était pour le fils adoptif parce que hey! , je vous ai dis qu'il est gentil.
Et le final grandiose spoiler: quand la gentille noire va même découvrir comment le méchant blanc a tout manigancé grâce à un dessin animé de Tex Avery. . Même le père blanc marié à une femme noire, c'est un vilain raciste. Bref, vous avez compris,encore un chef d'œuvre qui brise les codes du manichéisme. On salue la qualité grandissante des séries britanniques depuis quelques années avec l'influence grandissante des sujets de Joe Biden (Disney avec Doctor Who, Apple avec Criminal Record, etc...).
spoiler: Tout ça pour ça.
Encore une fin nulle qui fait qu’on regrette d’avoir perdu près de 8 heures.
Ok, les acteurs récitent bien ce qu’ils ont appris (mimiques, grimaces, tonalités, etc.) ça n’en fait pas de grands comédiens ; pour être un grand comédien il faut surprendre. Les scénaristes s’assurent que pendant toute la série le spectateur reste en tension avec un espoir de justice, de vengeance, de punition etc.
Et ben non , seule une phrase supposée culpabilisante est dite au ripou en chef comme si ce dernier allait se décomposer à l’écoute de cette phrase.
ET merde, encore une série qui rend agressif.