Mon compte
    Tiny Beautiful Things
    Note moyenne
    3,4
    7 titres de presse
    • The Playlist
    • Télérama
    • Numerama
    • Télé 7 Jours
    • Le Monde
    • The Guardian
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    7 critiques presse

    The Playlist

    par Emma Fraser

    Hahn a longtemps offert des performances savoureuses, et en tant que Clare, elle est tout aussi efficace que la série elle-même.

    La critique complète est disponible sur le site The Playlist

    Télérama

    par Marianne Levy

    À l’heure du développement personnel décliné ad nauseam jusqu’aux posts Instagram, la série se révèle une ode à la vulnérabilité. C’est aussi un écrin sur mesure pour Kathryn Hahn.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Numerama

    par Marcus Dupont-Besnard

    Le résultat n’est pas aussi fort qu’on l’espérait, mais les deux actrices principales sont touchantes.

    La critique complète est disponible sur le site Numerama

    Télé 7 Jours

    par Christophe Séfrin

    Adaptée des nouvelles de Cheryl Strayed, cette série tantôt drôle, tantôt grave (mais toujours porteuse d’espoir) convoque les traumas de l’enfance et les fêlures du passé, jusqu’à ouvrir le champs des possibles vers une meilleure connaissance de soi et un véritable désir d’avenir.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    L’habileté de cette mise en fiction serait probablement restée vaine si ces huit épisodes avaient été privés de leur interprète centrale, Kathryn Hahn.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    The Guardian

    par Lucy Mangan

    Si vous êtes fan de Strayed ou si vous avez envie de pleurer un bon coup, profitez-en. Sinon, c'est un purgatoire d'un tout autre genre.

    La critique complète est disponible sur le site The Guardian

    Libération

    par Théo Ribeton

    A travers son alter ego muée en prophétesse du bien-être, Cheryl Strayed noie sa série dans un narcissisme victimaire qui ne s’assume pas.

    La critique complète est disponible sur le site Libération
    Back to Top